Estime De Soi Et Réinsertion Sociale éducateur Spécialisé

la mise en œuvre des mesures relatives aux soins, à l'insertion sociale et à la réduction des risques du plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies 2008-2011 Validée par le CNP le 9 juillet 2010 - Visa CNP 2010-136 Date d'application : immédiate Classement thématique : Protection sanitaire Résumé : Cette circulaire précise les modalités de mise en œuvre des mesures relatives aux soins, à l’insertion sociale et à la réduction des risques du plan gouvernemental de lutte contre

modifications ont suivi, permettant d’améliorer toujours plus les conditions de vie dans les prisons ainsi que l’accompagnement des détenus pendant et après la détention. De nos jours la réinsertion des détenus est devenue une préoccupation importante pour le gouvernement et les associations. En effet, la réinsertion des détenus a pour but de permettre à l’ancien détenu de reprendre une vie "normale" après sa sortie de prison, en le réintégrant dans la société. Nous allons ici nous demander s’il

TITRE 1DOSSIER DE PRATIQUES PROFESSIONNELLES « LE DEVELOPPEMENT DU POUVOIR D’AGIR DES PERSONNES » : UNE PRATIQUE DE L’EDUCATEUR SPECIALISE AU SERVICE DE L’INSERTION DE LA PERSONNE ACCOMPAGNEE JOVET Ludovic – Educateur spécialisé – 2018 ES– 201> Diplôme d’Etat d’Educateur Spécialisé Session 2015-2018 Institut Régional du Travail Social de la Réunion S o m m a i r e INTRODUCTION1 … ……............................................................................. p.1 I

Qu'est ce qu'un jeune délinquant d'abord? La délinquance juvénile est un ensemble de traits de comportements considérés comme anti-sociaux. C'est une forme de l'inadaptation sociale. Ce terme se définit strictement par rapport à la loi si bien que l'acte délictueux est celui qui entraîne unepeine légale; "L'expression "jeune délinquant" signifie un enfant qui commet une infraction à l'une quelconque des dispositions du Code criminel. Elle doit être distinguée de la délinquance des adultes dans

aumônier des prisons et le délégué à la probation. Elle avait pour but la création d’un Centre d’Hébergement et de Réadaptation Sociale (CHRS). Par la création de cet établissement d’accueil, ils souhaitaient faciliter la réadaptation sociale de vingt-deux hommes ex-détenus et de trois femmes en situation d’urgence. Appelé aujourd’hui Centre d’Hébergement et de Réinsertion Sociale, il est devenu au fil des années la base du développement de l’Association. Partant de cet établissement, l’Association a

portées sur la “définition” de la toxicomanie et ce qu’elle comprend ou pas (alcoolémie, addiction au jeu, addiction au chocolat...), les différentes formes de “traitements” (sevrage, traitements avec médicaments de synthèse…) et le rôle des éducateurs spécialisés (quel accompagnement ? avec ou sans objectif de “guérison” ?). Dans un premier laps de temps de travail, nous nous sommes immergés individuellement dans cet “univers” par le biais de recherches documentaires diverses. La difficulté a été

d'adultes de niveaux d'autonomie différente. Les caractéristiques des usagers sont le handicap mental et se sont des adultes. L'hébergement : Les frais d'hébergement sont à la charge, à titre principale de la personne hébergée et à défaut de l'aide social du département un minimum disponible est laissé à la personne hébergée, soit : 50% du montant mensuel de l'Allocation Adulte Handicapée pour les personnes travaillant en ESAT : 32% du montant mensuel de l'AAH pour les personnes accueillies en atelier

MENTAL". • Le handicap mental est la conséquence de limitations des facultés cognitives et en particulier de l’efficience intellectuelle. Il se définit par l’existence d’un quotient intellectuel (QI) inférieur à 70 et de troubles de l’adaptation sociale. Il se manifeste à tous les âges mais dans bien des cas dès l’enfance. Les causes en sont multiples ; on retiendra en particulier le rôle des affections génétiques, congénitales, périnatales, des traumatismes, infections, intoxications, accidents

une loi du 23 juillet 1912. *autonomie de ce DPM par rapport au droit pénal des majeurs , mais recul de l’autonomie du DPM. On a pu constater un rapprochement entre le DPM et le droit pénal des majeurs. * trouver des solutions permettant la réinsertion, la rééducation du mineur. Le DPM était un droit protectionniste. *Ledit rapport fait état d’une massification, d’un rajeunissement ou d’une violence accrue de la délinquance des mineurs. On note une forte représentation des garçons dans la délinquance

dans le respect des intérêts de la société et des droits des victimes, l’insertion ou la réinsertion des condamnés ainsi que la prévention de la récidive ». C’est dans ce cadre que les missions locales sont un de nos partenaires privilégiés, aux côtés de l’ANPE et des ASSEDIC. Leurs champs d’actions nous permettent de créer un lien dynamique entre la personne placée sous main de justice et son environnement social afin de pallier aux difficultés des jeunes dont nous avons la charge en apportant un soutien