Etat Providence Keynes

INTRODUCTION La redistribution des revenus est une politique d'égalisation des ressources opérée au moyen des impôts. Elle vise à réduire les écarts de revenu entre les ménages d'une même société. La redistribution concerne davantage les États-providence que les pays les plus libéraux. Pour donner une définition plus compréhensible nous disons que la redistribution est définie comme l‘ensemble des opérations par l’intermédiaire desquelles une partie des revenus est prélevée sur certains agents économiques

les bases de la société et notamment de la solidarité. L’état social de type conservateur va se redévelopper en reprenant des formes de solidarité anciennes (familles...) 2nde moitié du 20è : autre forme de solidarité régime libéral de l’état providence. Un certain nombre de protection sociale vont être mises en place pour ceux qui ne trouvent pas leur place sur le marché. 2 caractéristiques : assistance mise en place par l’état, et l’assurance qui dépend des grandes entreprises. Dans les pays

la marge de manœuvre est étroite. Une nouvelle approche du rôle et du poids de la fiscalité dans le financement du budget est indispensable, une approche cohérente avec la nouvelle dimension de l’Etat, qui se veut désormais " Etat régulateur " et non plus " Etat providence ". Cette nouvelle approche du statut de la fiscalité doit être également cohérente avec la double facette de l’agent socio-économique, celle d’être à la fois contribuable et citoyen. C’est à travers de telles conceptions,

notre système de protection sociale basé sur la solidarité tend à se privatiser ? En quoi la protection sociale permet-elle de qualifier l’Etat comme Etat providence ? L’état providence = Il prend en charge les risques sociaux avec le système de la protection sociale. C’est à la fin de la deuxième guerre mondiale que l’on a mis en place un état providence. Il repose sur le principe de la solidarité nationale.

 depuis  longtemps  l’objet   de  controverses  entre  économistes,  selon  qu’ils  sont  plutôt   favorables  à  un  État  neutre  ou,  au  contraire,  à  un  État   interven)onniste,  fortement  impliqué  dans  les  sphères  économique   et  sociale.   •  L’expression  "État-­‐providence"  désigne  l’ensemble  des   interven)ons  de  l’État  dans  le  domaine  social,  qui  visent  à  garan)r   un  niveau

manières dont une société doit être gouvernée et posée pour être « juste ». C’est dire que la question sociale est aussi une affaire d’Etat. Dans les sociétés démocratiques, le rôle et l’autorité de l’Etat ont été pensés en terme d’ « Etat social » et d’  « Etat-providence », car il s’agissait de concilier plusieurs enjeux, et notamment le libéralisme économique et la solidarité collective. De fait, et bien que des différences notables soient relevées entre les politiques sociales engagées par les Etats

(1998), valorise l’autonomie individuelle, l’initiative locale, l’égalisation des chances,... et permet le développement de nouveaux modes de régulation par la responsabilisation des individus. En Belgique, ce référentiel nouveau a été labellisé « Etat social actif » (ESA), en 1999, par Frank Vandenbroucke, à l’époque Ministre des Affaires sociales. Notons également que ce label (active welfare state) fait son entrée sur la scène européenne, en mars 2000, dans les conclusions du sommet de Lisbonne

DEBAT SUR LE ROLE DE L’ETAT PROVIDENCE En France, c’est au député Emile Olivier, 1° ministre en 1870 que l’on doit, sous le 2° empire libéral l’expression « Etat providence ». En GB, c’est au début du XX° siècle que l’on se mit à parler de « Welfare Policy » (politique de bien être) puis dans les années 40 de « Welfare State » (état de bien être). C’est en effet dans les années 40, après la 2° guerre mondiale que les pays occidentaux ont mis en place un système de solidarité qui n’a cessé

La remise en cause de l’Etat-Providence en Europe depuis les années 80 : crise financière et inefficacité ? a. La crise financière des systèmes de protection sociale en Europe : l’exemple de la France - La crise de 1973 a approfondi les difficultés financières mais n’en est pas à l’origine > Depuis le début des 60’ le « trou de la sécu » hante les gouvernements et les intérêts des acteurs collectifs conduisent à une hausse des dépenses plus rapides que celle des recettes • Les salariés veulent

| | |  |  | |Question 3 : 2 points |"Etat-providence " | |Les droits des femmes. | | |La démocratie économique et sociale (droit au travail, |