Etat Providence Selon Keynes

en tant qu’institution, présente deux caractéristiques : * Il fait un usage systématique de la contrainte dans ses relations avec les autres agents. Cependant, cet usage de la contrainte est conforme à des règles qui doivent être celles d’un état dit de droit. * L’état est la seule institution qui a ce pouvoir, comme le souligne Weber, l’état est l’organe qui dispose sur un territoire du monopole de la contrainte légitime. Les administrations publiques ont la même nature, se composant

l’individu. C’est pourquoi l’économie s’interroge sur l’accumulation des richesses qui parfois est encouragée par l’Etat. Le point de départ est le besoin économique qui se définie comme un manque comblé par la consommation donc la production de B & S. Keynes différencie 2 catégories de besoins: Ceux qui possèdent un caractère absolue quelque soit la situation de l’individu (besoin primaire) Ceux qui ont un caractère relatif et que l’on éprouve au contact des autres Il y a une grande différence entre

néoclassique : on peut comprendre la globalité en s’intéressant aux comportements individuels. Analyse keynésienne : ce qui se passe au niveau global n’est pas applicable au niveau individuel. Le point de départ de la macroéconomie, c’est l’ouvrage de Keynes, «  la théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie », publié en 1936. En 1936, c’est la plus grande crise économique de l’histoire née en octobre 1929, a la bourse de NYC. Cela débute par un effondrement des cours de bourse (Krach)

comptabilité nationale à KEYNES et à W.LEONTIEF(1905-1999, http://fr.wikipedia.org/wiki/Wassily_Leontief). Cependant, lorsque l'on parle de comptabilité nationale MODERNE on l'a doit au Français FRANCOIS PERROUS (hétérodoxe) et à J.FOURASTIE(1907-1990,à l'origine de l'expression "les trentes glorieuses", http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Fourasti%C3%A9) Aujourd'hui, les modèles sont en voie d'harmonisation car la compta sert à 3 choses: -CONNAITRE (situation éco d'un pays/Etat, outil de mesure) -PREVOIR(conjonction

finances publiques modernes correspondant à la période contemporaine. I – LE CADRE POLITIQUE A – De l’Etat libéral à l’Etat providence a) L’Etat libéral Les finances publiques classiques se développent dans le cadre d’un Etat libéral, c’est à dire un Etat qui laisse le maximum de liberté aux particuliers sur le plan économique. C’est donc un Etat « minimalitaire » selon l’expression de Marcel Prélot. En effet, de la Restauration à la Première guerre mondiale l’Etat n’exerce que des compétences

on pourrait voir le marché disparaître. L’intervention publique désigne l’Etat, s’il intervient il est considéré comme « Etat Providence » qui est la conception de l’intervention de l’Etat, qui s’est imposée après la Seconde Guerre mondiale, selon laquelle l’Etat doit jouer un rôle actif dans la recherche du progrès économique et social. Parfois, la notion d’Etat-Providence est employée de façon plus restrictive pour désigner le seul système de protection sociale. Le terme compétitivité est la capacité

public avec toutes les exigences d’impartialité et de désintéressement qu’il suppose, ou la théorie des prérogatives de puissance publique qui garantit à l’administration une capacité d’action prépondérante dans la vie sociale. L’Etat devient alors, selon l’expression de « Pierre Rosanvallon » l’instituteur du social en prenant en charge l’organisation de la nation et en garantissant l’existence d’une identité collective qui se substitue aux anciens corps intermédiaires. L’auteur affirme, dans le

égalité, égalité des chances équité, principe de différence, universalité, déclassement, discrimination positive, frustration relative, démocratie, liberté Notions complémentaires : Etat Providence, redistribution, liberticide, République Auteurs : Alexis de Tocqueville, John Rawls, Adam Smith, Friedrich V Hayek, JM Keynes, François Dubet Section 1 : Idéal démocratique, égalité et liberté A. Démocratie et idéal égalitaire 1. La notion d’idéal égalitaire Egalité des droits Egalité des situations

loi et contrôlent éventuellement le gouvernement. A fallu attendre 2 révolutions (1648-1688) pour que l’équilibre entre ce nouveau pouvoir et celui du roi se mettent en place. Angleterre doit sa réussite économique aux « meilleures institutions » selon D. North ⎝ meilleur respect de la propriété privée + meilleure protection contre le risque d’expropriation garantie par le Parlement. De plus Angleterre tire un avantage décisif face à la France dans leur rivalité militaire avec un taux d’intérêt de

économiques de la guerre Les conséquences économiques de la paix La république se meurt VII. La grande crise et ses leçons 1929 La théorie générale de Keynes VIII. L’âge d’or et sa crise Les trente glorieuses Trente ans après IX. La fin des solidarités Le siècle de l’Etat providence Le dilemme des générations La quête impossible du bonheur X. La guerre et la paix Les cycles de Kondratiev Economie et politique - Troisième partie