Etat Providence Selon Keynes

collective entre les partenaires sociaux (Etat, syndicats, organisations patronales). Conséquences : Quel statut va-t-on donner au marché du travail ? S’intéresser au marché du travail, c’est forcément s’intéresser au chômage. Sur ce marché, il y a une offre et une demande de travail et s’il y a un déséquilibre il y a chômage. Pour lutter contre le chômage, il va falloir étudier les politiques de l’emploi. Fin des politiques macro-économiques de l’emploi (Keynes  demande effective qui favorisait l’emploi)

l’appelle « thésaurisation ». - L’épargne non financière, qui est l’ensemble des autres actifs constituant le patrimoine des ménages, entre autre l’investissement immobilier, le logement. L'épargnant va arbitrer entre ces différentes formes d'épargne selon des paramètres tels que la liquidité, la sécurité ou la rentabilité. Par ailleurs, on constate que le taux d’épargne est loin d’avoir été constant en France. En effet, depuis 1960, on note de nombreuses fluctuations de son niveau. Des années 60 à

Théorie Néoclassique TNC (Ecole de Lausanne et Ecole anglaise) : -Marshall (Diagramme d'équilibre) Schéma : La recherche de lois universelles La recherche d'une économie pure, d'un état idéal a-spatial, atemporel et statique ... donc universel L'objet de la science économique est de déterminer des lois d'allocation optimale des moyens rares à usage alternatif (Samuelson, 1998). C'est-à-dire : l’économie est la gestion des biens

mise en bases de l'interventionnisme de l'Etat (retraites, conditions de travail, aide sociale). En opposition au libéralisme, l'Etat intervient dans l'économie afin de la réguler (vision keynésienne de l'économie) : c'est la naissance de l'Etat-providence. Bilan : en 1937, une nouvelle crise économique apparaît qui attaque la crédibilité du New Deal. En 1938, une nouvelle histoire commence. En effet, l'hyperinflation bouleverse l'Allemagne et favorise la montée du nationalisme. L’Italie est aussi

détermination d’un prix et d’une quantité échangée « optimale » ou « d’équilibre ». Le prix d’équilibre est celui qui satisfait simultanément le maximum d’acheteurs et de vendeurs. Aucun agent n’a le pouvoir de déterminer ou d’influencer ce prix. Selon l’approche libérale (classique et néoclassique), cette situation de marché est souhaitable. Les conditions de La concurrence pure et parfaite : • l’atomicité de l’offre et de la demande (la multitude des offreurs et demandeurs) • l’absence de

contexte de l’esclavagisme.  Socrate et Platon = principe immortalité de l’âmeVie sur terre organisée façon plus juste qui soit pour assurer salut de l’âme.  recherche lois garantissent règne justice dans la cité justice selon Platon attribuer à chacun la fonction qu’il mérite, selon qualités morales, physiques… (oppose sophisme = justice part qui revient au plus fort) vision sur ordre social, proscrit propriété personnelle= logique communautaire et non marchande. Aristote = appréhender fonctionnement

innovations financières. Les agrégats monétaires sont des indicateurs statistiques de la quantité de monnaies en circulation ; ils reflètent la capacité de dépense des agents non financiers résidents. Il s’agit des moyens de paiement de ces agents, classés selon leur degré de liquidité (transformable en monnaie). Les agrégats sont au nombre de quatre : M1, M2, M3, et M4. Ils intègrent les actifs de plus en plus nombreux et de moins en moins liquides. Ces agrégats donnent aux autorités monétaires une indication

264 au Bangladesh, l'écart est passé à 111 fois (20,4 en parité de pouvoir d'achat). Le rattrapage ne concerne que l’Asie. C- La croissance n’est pas le développement 1- La notion de développement ✓ Le développement est, selon Myrdal, un « mouvement vers le haut de tout le corps social» ✓ Le développement  est l’ensemble des transformations des structures démographiques, économiques et sociales, qui, généralement accompagne la croissance. On insiste ici sur l’aspect

➢ Sous-partie 2 : Les transformations sociales susceptibles de favoriser la croissance (les facteurs culturels de la croissance, les facteurs politiques de la croissance) ❖ Conclusion Introduction La notion de développement Selon F. Perroux, le développement est la combinaison des changements mentaux et sociaux d’une population qui la rendent apte à faire croître, cumulativement et durablement, son produit réel global. Le développement, comme le montre sa définition

par les socialistes, ont décidé une grande intervention pour reconstruire l'économie (Keynésianisme). L'utilisation du déficit public, augmente les impôts, les nationalisations planifiant le développement des territoires, action sociale (états de providence). La reconstruction s'achève plus vite que prévu grâce à la mobilisation des mains-d’œuvres, les USA ont aidé et modernisé les systèmes de production. Le commerce international a repris et l'Europe est redevenue une force motrice de l'économie mondiale