État souverain

État et nation Notions fondamentales surtout en FR => mythes fondateurs du corps social FR. L'Etat est une notion centrale part son histoire, l'Etat étant en FR très ancien ainsi la doctrine majoritaire date de la fin du XVI eme siècle. Cet avènement arrive à la suite de la systématisation du concept d'Etat que l'on doit en partie à Jean Bodin. L'émergence de la notion d'État résulte de 3 mouvements: la concentration du pouvoir dans les mains du roi, un mouvement de cecularisation (l'émancipation

L’Union européenne est-elle un Etat ? «L’Europe est-un Etat composé de plusieurs provinces » disait MONTESQUIEU, c’est peut-être le cas de l’Union européenne. L’Union européenne est une association de vingt-sept Etats indépendants. La plupart de ces Etats sont situés en Europe, ces Etats par leur union ont décidés de coordonner leurs politiques en déléguant, l’exercice de certaines compétences à des organes communs. L’Etat est par définition la forme politique que prend l’organisation juridique

et en quoi consiste cette puissance. 4 significations du terme souveraineté et souverain : 1)C'est le caractère de l'Etat, qui est supérieur à toute autre entité interne (ie : l'Eglise) ou extérieure (un autre Etat). On parle parfois de « souveraineté internationale », et l'on considère que c'est une qualité essentielle de l'Etat en ce sens qu'une entité, qui ne possède pas cette souveraineté, n'est pas un Etat (c'est le cas des Etats composés). 2)C'est le caractère, la puissance d'un organe

publia son œuvre Traité théologico-politique, dont nous en avons un extrait. L’auteur pose la question de qui peut gouverner un Etat, et de quelle manière doit-il être gouverné afin de convenir à tout homme, malgré la divergence des opinions et des idées de chacun. Le problème philosophique posé ici, est que l’auteur se demande qu’est-ce-qui est nécessaire à la formation d’un Etat, mais également qu’elle place a la liberté de philosopher dans celui-ci. Spinoza y répond en présentant trois formes de gouvernements

Certaines entités géopolitiques contemporaines, existant ou non de fait, souhaitent être reconnues de droit comme des États souverains, mais se heurtent, pour des raisons diverses, à un manque de reconnaissance diplomatique, le plus souvent motivé, officiellement, par l'absence de concertation internationale lors de leurs déclarations initiales d'indépendance. Ces entités revendiquent l'indépendance d'un territoire, qu'elles contrôlent parfois partiellement ou entièrement, leur indépendance n'étant

celui qui la commande, alors l’agent est un esclave inutile à lui-même ; au contraire, dans un Etat et sous un commandement pour lesquels la loi suprême est le salut de tout le peuple, non de celui qui commande, celui qui obéit en tout au souverain ne doit pas être dit un esclave inutile à lui-même, mais un sujet. Ainsi cet Etat est le plus libre, dont les lois sont fondées en droite raison, car dans cet Etat chacun, dès qu’il le veut, peut être libre, c’est-à-dire vivre de son entier consentement sous

bonne et si l'on peut définir un souverain bien (Summum Bonum). Le souverain bien, c'est le but ultime, la fin dernière par rapport à laquelle toutes nos actions ne sont que des moyens. Pour tous les philosophes grecs, le souverain bien est le bonheur, il est une fin en soie non pas un moyen en vu d'autres choses. On le recherche pour lui et il semble bien être le but universelle permanent de tous les hommes. On peut définir provisoirement le bonheur comme un etat de satisfaction complète et durable

moins générales et plus concrètes. Depuis la révolution française, on considère que la loi est à la source du droit, car la loi est adoptée par le Parlement. Le Parlement exprime la volonté générale, or la volonté générale est souveraine. Dès lors que la loi est souveraine, il n’y a pas à se demander si elle est conforme aux institutions : on respectera la loi car elle est légitime. Jusqu'au milieu du 20ème siècle en France, on considère que la loi ne peut être contestée -> vision légicentriste car

destinataires de la règle de droit ; les Etats n’appliquent le droit que s’ils y trouvent de l’intérêt, on ne peut obliger un Etat à appliquer du droit c’est une différence avec la société interne dans laquelle nous sommes tous soumis au droit. En droit international il n’y a pas d’autorité supérieure qui vient empêcher un Etat de commettre une infraction ou de la réprimer. Il n’y a pas d Etat ou de police internationale qui font respecter le droit, en droit interne la sanction est institutionnalisée mais pas

et une autorité publique ou un gouvernement. Sans l'un de ces trois éléments, ce n'est pas un Etat : le peuple Kurde n'est pas un Etat car il n'a pas de territoire. Dès lors qu'on a ces trois éléments, on a un Etat qui est caractérisé par la souveraineté. On peut définir l'Etat de la sorte : C'est une personne morale qui exerce un pouvoir souverain sur la population d'un territoire déterminé. Le terme Etat trouve son origine étymologique dans le terme status. On considère que c'est Machiavel qui a