Étatisme

économistes et donc pour le régime de Pinochet, les causes de la défaillance de la croissance sont diverses : • Assignation inefficace des ressources liée au protectionnisme douanier et à l’intervention systématique de l’Etat dans l’économie. • Cet étatisme empêchait l’initiative privée • Absence d’un marché privé et ouvert de capitaux • Inflation persistante due aux déficits fiscaux qui eux mêmes sont provoqués par une intervention publique excessive • Le faible encouragement des secteurs exportateurs

apparaissent : la tendance intégrationniste ( l'intégration est censée déboucher sur une communauté de style fédéral ) et la tendance intergouvernementale ( des organisations internationales sur une idée de coopération intergouvernementale ). Inter-étatisme / supra-nationalisme. L'intégration doit déboucher sur une véritable union. PREMIERE PARTIE : Les institutions européennes fondées sur la coopération La coopération européenne se développe dans trois directions distinctes : économique, militaire

française notamment en donnant plus d’autonomie à la radio et à la télévision, en responsabilisant davantage les entreprises publiques et en optant pour une décentralisation efficace des compétences étatiques. Le but est d’éviter les dérives d’un étatisme bureaucratique et centraliste qui intervient à tout va sans pour autant tomber dans un laissez-faire laissez-passer du libéralisme classique qui s’avère selon lui néfaste pour le niveau de vie des citoyens. Le rôle de l’Etat doit se limiter à orienter

collectif ou de la communauté ». Il critique les socialistes autoritaires. Proudhon rejette vivement l'idée d'un État centralisateur défendue par le socialisme d'Etat. -Bakounine 1814 : contemporain de Proudhon et de Marx, il va systématiser l'auto- étatisme de Proudhon, cela s'appelle l'anarchisme. Qui dit Etat dit force, l'autorité prédominante et pour lui cela présuppose l'inégalité de fait. Pour lui le suffrage universel est l'exhibition la plus raffinée du charlatanisme pol de l'Etat," il est le

de même ce pouvoir » La liberté pour Montesquieu est une capacité à ‘agir à l’intérieur d’un cadre strict, stable et prévisible. Il n’y a pas de liberté sans lois. L’état est donc ce qui permet la loi, ce qui permet la liberté. Il n’y a pas d’anti-étatisme chez Montesquieu. Ce qui intéresse Montesquieu c’est comment faire pour que ceux qui détiennent le pouvoir en use selon les lois et non arbitrairement ? 2 solutions pour Montesquieu. A/ La monarchie modérée. Les parlements au 18è ont été

aussi un point commun elle nie l’existence d’une norme supérieur, et trouve le fondement du caractère coexirtif de la règle de droit ou dans son adéquation a la réalité sociale. Donc on distingue deux théorie le positivisme étatisme et sociologique. A) Le positivisme étatisme 9 sur 24 Ici la seule justification du droit c’est d’être engendre par l’Etat, c’est ce qui le justifie. En d’autre terme la loi doit être respectée non Ps parce qu’elle est juste mais psk c’est la loi, le droit positif est

Russell Kirk. Il y a chez eux un parfum de nostalgie réactionnaire ou tory qu’on ne trouve absolument pas chez les « néocons ». Mais en fait, ce qui distingue le plus les néoconservateurs à la fois des paléoconservateurs et des libertariens, c’est leur étatisme, dont témoigne l’explosion du budget de l’Etat, et aussi l’évolution de la dette (l’endettement américain atteint aujourd’hui plus de 230 % du produit national), sous les deux présidences qu’ils ont le plus influencées, celle de Reagan et celle de

au service de la propagande (voir affiche 3 p. 177) ; * mais en réalité établissement de la dictature du parti unique : secrétariat général et congrès du parti dirigent le pays ; retour de la police politique et de la censure de la presse et étatisme au lieu d'un vrai collectivisme ;élimination des soviets qui étaient pourtant les moteurs de la révolution et élus démocratiquement, mais où les bolcheviks étaient minoritaires ; réquisition des récoltes dans les campagnes, application du communisme

aspirations sont politiques. Voilà, l’organisation de l’A est terminée. Maintenant son rôle et son activité, sa place dans la société. II- La place et le rôle de l’administration en France au XIXème siècle A- la fonction administrative : le libéral - étatisme français On distingue deux phases : avant et après 1914. Classiquement au XIXème siècle on qualifie l’état français d’état gendarme, ou minimal, ou libéral, car il n’intervient pas ou peu dans la vie sociale et économique du pays. Il n’est pas un

utopies : communautés utopiques tentées (New Lanark en Écosse, New Harmony dans l’Indiana-ÉU), importance de l’éducation, influence sur le premier chartisme… Mais grande ambiguïté du personnage : incontestable paternalisme réformiste, marqué par étatisme et philanthropie, et désirs souvent affirmés d’autonomie et de réhabilitation humaniste du monde du travail. L’aspect religieux est très marqué, mais dans un sens égalitaire et libéral, sans dogmatisme. ( poids du chartisme est difficile à appréhender