Éthique de la vertu

Médiévale ; Collationes (Dialogue entre un philosophe, un juif et un chrétien. En faisant un panorama de l’histoire de la philosophie médiévale nous toucherons quelques aspects fondamentaux au XIIème siècle. En particulier dans le rapport entre éthique es théologie, la question de la scholastique plus tardive et la notion de « philosophie de la religion » (qu’est-ce qu’une religion au moyen âge ?).  La religion au MA orbite autour ces 3 pôles : Loi, Raison, Sentiment (affect). Que la foi se

selon lui l’admiration (étonnement). Selon Baruch Spinoza, une passion est une idée confuse, essentiellement imaginaire et souvent abstraite, par laquelle l'esprit affirme une augmentation ou une diminution de la force d'exister de son corps (Cf. Éthique III, définition générale des passions). Par exemple, la Pitié est une passion puisqu'elle repose sur l'imagination confuse qu'un être qui est semblable à nous subit un mauvais sort, ce qui a pour effet immédiat de provoquer une tristesse. Le désir

écrit: " Le mensonge n'est un vice que quand il fait mal; c'est une grande vertu quand il fait du bien". À première vue on pourrait croire à une nouvelle provocation de l’écrivain. L’idée que le mensonge puisse être une vertu interpelle notre sens moral et la pensée commune. Le mensonge qui consiste à dire le contraire de se que l’on pense dans l'intention de tromper est en effet assez peu souvent envisagé comme une vertu. Il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition morale philosophique

désirs/désirs, désirs/raison, désir/vertu morale. Parfois on doit opposer ce qu’on désire faire et ce qu’on croit devoir faire. Il faut alors séparer dans l’esprit plusieurs facultés : celle qui permet de connaître (raison, entendement) et celle qui pousse à agir (les désirs). On distingue parfois la volonté soit comme le souhait rationnel, délibéré, éclairé et guidé par la raison, soit comme simplement un désir plus puissant ou le dernier qui l’a emporté. Les philosophies éthiques traitent donc ce problème

pouvait être la poursuite d’un rêve politique et ou d’un but mystique. 1. Antiquité • Socrate=Bien • Platon=Bien • Aristote=Vertus • Scéptique=Aquiétude • Epicuriens=Plaisir durable • Stoiaciens=Maitrise des passions 2. Moyen-age • Vertus chrétiennes : Qualité morales • Theo=Dieu • Logos=Étude, discours • Donc, théologien=philosophe morale chrétienne+Vertus(qualité morale) 1) Cardinales= Prudence, justice, tempérance 2) Théologies= Foi (certitude de l’invisible), espérance, charité

PHILOSOPHIE ET RATIONALITÉ- TEXTES – SÉRIE 5 - TEXTE 1. Une morale pour le sage. Aristote, Éthique à Nicomaque , Livre X, 6 (1177a12-b1) « Si le bonheur est une activité effectuée selon l’ordre de la vertu, il est rationnel de dire qu’elle se fera selon la vertu la plus puissante. Cette vertu serait celle de la meilleure personne. Soit est-ce l’intellect ou quelque chose d’autre, ce qui semble par nature diriger, penser, avoir la notion

- Dissertation: étude de cas qui arrive dans l'actualité > jugement moral où on se prononce - Dissertation 2: argumentation sur un sujet plus général Notation sur argumentation et non sur notre position ( Éthique: • Cours qui se veut une discipline normative et appliquée • Discipline de la philosophie née dans l'Antiquité • C'est de la philosophie qui se préoccupe de questions morales = questions de valeurs

provient de la Platon et celle de Socrate.· Socrate était un Masson (il était sculpteur). Socrate aurait entendu une voix inférieure, la voix d’un dieu, lui ordonnant de tout abandonner pour se consacrer à la philosophie et à l’éducation morale (éthique) des Athéniens. · Il se distinguait des Athéniens par sa conduite extravagante et son apparence physique peu avantageuse (vraiment laid). Même s’il était affreusement laid, il était charismatique et les athéniens étaient complétement fasciné.Les Grecs

------------------------------------------------- LES PRINCIPES DE L’ETHIQUE MEDICALE MORALE | ETHIQUE | Règles précises, code de conduiteEnsemble des prescriptions instituées par une société, un état déontologie fait partie de la morale (respect des normes)Figée non remise en cause, acceptation des lois et des règles | Réflexion critique de la morale visée d’une norme meilleureInterrogation sur l’ensemble des règles d’une situation donnée, des normes et règles d’une profession dilemmes d’éthiquesIdentification

CORRECTION Y A-T-IL UNE VERTU DE LA RICHESSE ? Vertu que suppose la richesse ; ou qu'elle comprend intrinsèquement. Mais quand mm somme de biens → vocation à s'accroitre. Ce que l'on possède, en regard de quoi la vertu = exigence. Mais en tant que tel, c'est aussi le souci de se conformer à un idéal. Il faut subordonner la rich à la vertu → rapport extrinsèque. Ne pas la limiter à des biens que l'on possède. Il faut se demander ce qui croît. Bien qui ne peuvent etre une rich que s'ils enrichissent