Etre Libre Rend T Il Heureux

de Caligula (1944), elle se retrouve à travers une évolution de sa pensée jusqu’à la peste, 1947 « il faut imaginer Sisyphe heureux ». Evoquant la légende de se personnage à qui son mépris des dieux, sa haine de la mort, et sa passion pour la vie avait value le supplice, Camus reconnait en lui le héro absurde. En prenant conscience de la vanité de ses efforts, Sisyphe se rend supérieur aux dieux, il fonde sa grandeur sur la lutte et tire de cette philosophie le seul bonheur accessible à l’homme.

d’un vêtement peut être libre, à partir du moment ou l’on fait ce que l’on veut, que l’on décide de soi même, qu’il n’y a pas de contraintes du monde extérieur. Lorsque l’on parle d’être libre pour soi, c’est tout d’abord sentir en soi une sensation de bien-être, ce qui signifie d’être en accord avec soi-même, d’être dans la représentation de soi-même par rapport au monde. Quand nous choisissons un vêtement pour soi, nous ressentons des sensations. Ces sensations peuvent être conscientes, c’est à

voler ; car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne. Et si toutefois, vous rencontrez quelqu'un qui ne sait plus sourire ; apprenez lui à le faire de nouveau. Je ne suis pas amoureuse de lui, tu sais. Non. Je ne veux pas être amoureuse. Ni de lui. Ni d'un autre. Je ne veux pas que ma vie dépende de quelqu'un. Je ne veux pas que tout s'écroule si ça ne marche pas. Je ne veux même pas qu'on essaie lui et moi. Je ne m'en remettrais pas, si jamais ça ne marche pas. J'ai le

"s'élancé", "vers les cieux", "libre essor", "plane sur la vie". Cet envol est aussi évoqué par l'allitération du [m] dans Q3 ("miasmes morbides", "comme", "limpides") qui montre la lourdeur du monde terrestre, par l'assonance de [eu] dans Q4 ("brumeuse", "heureux", "peut", "vigoureuse", "lumineux") qui montre la legato acquise par le poète.   ==> un mouvement progressif qui part de la réalité terrestre et qui s'en éloigne progressivement; la courbe dynamique d'un être qui réussit un arrachement libérateur

temps Le bonheur engage une prise en compte du rapport au temps. Il exige stabilité et continuité. Il évoque la fuite du temps puisqu’il est éphémère et ne dure pas sur le long terme. Il est souvent possible de se rendre compte que l’on était heureux que lorsque qqchose vient rompre cet équilibre qui est aussi en lien avec le bonheur. Nous vivons souvent le présent de façon passive et neutre. « Nous ne tenons jamais au présent » Pascal Au lieu de jouir de ce que le présent nous apporte, nous

INTRODUCTION : Si les hommes ne s’accordent pas toujours sur ce en quoi consiste le bonheur, ni sur les moyens les plus sur pour y accéder, tout homme semble animé par le désir d’être heureux et la crainte d’être malheureux. Et en ce sens, on pourrait faire du bonheur notre finalité ultime de toute existence, donc un bien intrinsèque (= rechercher en soi et non pour une autre fin, un souverain bien) (un moyen a une valeur relative pour une finalité extrinsèque). Tous les désirs particuliers renvoi

volontairement. » et aussi « Le corps est un tombeau. ». Socrate meurt exécuté, empoisonné, condamné à boire la ciguë. Condamné à mort pour corruption de la jeunesse et ne pas croire aux dieux de la cité. Il aurait fixé sa peine après ssa condamnation à être nourri au temple des héros. Dans le felon, sa dernière parole est : « Sacrifiez pour moi, un coq à Esculape. ». Nietzsche l’interprète comme quoi sa vie serait une maladie et qu’il contemplera son corps. A la mort Socrate considère qu’il sera soulagé

d’abord se demander si vraiment le bonheur existe. Des moments fugaces de plaisir lorsque par exemple un événement arrive ne durent pas, semble-t-il. Si le bonheur ne dépend pas seulement des circonstances favorables mais de nous alors peut-être peut-il être plus durable. Les circonstances favorables ou défavorables appartiennent à ce qui nous arrive ou concernent ce que nous avons. Le bonheur ne serait pas fugace et dépendrait de nous si il ne concernait pas seulement le domaine de l’avoir mais

IntroductionLe mot bonheur vient du latin bonum augurum, le bon présage, l’heureux hasard, la bonne fortune, dans ce sens les choses nous arrivent « par bonheur ». Nous ne sommes en rien responsables du bonheur qui peut nous être retiré ou offert. Ce bonheur est par essence fragile, éphémère et toujours menacé. Mais le bonheur est souvent défini, en opposition à la joie, comme un état durable de satisfaction. Un problème se pose : comment s’assurer la maîtrise du bonheur s’il ne dépend pas de nous 

de liberté peut être définie comme l’absence totale de règles, de contraintes qui pourraient venir limiter nos actions. Être libre est donc le fait de pouvoir faire ce que l’on veut. D’un côté, il semble évident que le travail ne soit pas libérateur car lorsque nous travaillons, nous sommes contraints par différentes règles. De l’autre côté, le travail semble également libérateur car grâce à lui, il nous permet de recevoir une rémunération qui peut ensuite nous permettre d’être libre de faire ce que