Etude De La Métaphore Des Lumières

vers libres, pas d'unité fixe, rythmes réguliers.     Le poème est une fervente déclaration d'amour en forme d'action de grâce, et à travers la célébration de l'aimée apparaît une vision poétique du monde. Lecture Annonce des axes Etude I/UNE DÉCLARATION D'AMOUR EN FORME D'ACTION DE GRÂCE 1) Une déclaration d'amour a - structure anaphorique (affirmation ouvrant poème "Je t'aime", motif lyrique ⋄ puiss du sentimt) b - champ lex. affectivité "Je t'aime pour aimer" sans complemt

façon la plus banale, le plus commun du sujet, c’est alors qu’apparaîtra votre génie ». Mais le but de la poésie de Ponge : c’est effectivement prendre un objet banal mais pour lui donner une autre signification, en effet ici l’orange propose une métaphore du travail de l’écriture, du poème et du poète. Ainsi on s’aperçoit assez vite à la lecture, que l’objet choisi n’est qu’un prétexte : c’est-à-dire une cause, mais également un avant texte qui propose deux niveaux de lecture : une description hyperréaliste

accessoirement l’un des assassins de Jules César) demande à son ami Cicéron de polémiquer et de développer sur le genre de rhétorique qui selon lui, lui semble le meilleur ? Sous la forme d’une lettre, ce long extrait de L'Orateur met ainsi en lumière les différents ressorts de l'art oratoire en dressant le portrait du rhéteur idéal. Tout en se basant sur la philosophie académicienne de Platon pour envisager l'idée d'une éloquence parfaite, Cicéron ne reste pas pour autant dans la spéculation

narrateur. - Il y a aussi les expansions du G.N comme « le vaste carré de la cour. », « des murailles grises » … Cela nous apporte des caractéristiques plus précises sur le bâtiment décrit. - Puis l’utilisation de figure de style comme la métaphore : « mangées d’une lèpre jaune ». - Il y a une utilisation d’une description subjective : il y a beaucoup d’adjectif qualificatif dévalorisant, péjoratif : « des murailles grises », « les caisses béantes », « leur fonte rouillée »… -

l’enjambement au vers 5 et 6, « d’éternellement » pour créer un effet de longueur et donc pour montrer à quel point le travail des enfants est monotone. L’antithèse au vers 5 « de l’aube au soir » marque bien le fait que ces enfants ne voient jamais la lumière du jour, d’autant plus que « jamais on ne s’arrête » vers 11. Il font « dans la même prison le même mouvement » vers 6. La répétition dû au parallélisme observé ici met en relief la lassitude liée à leur travail. Ensuite l’auteur fait une description

l’enjambement au vers 5 et 6, « d’éternellement » pour créer un effet de longueur et donc pour montrer à quel point le travail des enfants est monotone. L’antithèse au vers 5 « de l’aube au soir » marque bien le fait que ces enfants ne voient jamais la lumière du jour, d’autant plus que « jamais on ne s’arrête » vers 11. Il font « dans la même prison le même mouvement » vers 6. La répétition dû au parallélisme observé ici met en relief la lassitude liée à leur travail. Ensuite l’auteur fait une description

était midi. Annonce des axes I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). II - L’éveil du jour et des animaux par l’auteur (l.3 à 9). III - La course après le jour (l.10 à 13). IV - L’auteur attrape le jour … puis se réveille (l.14 à 17). Etude I - Le silence, pas de mouvement (l.1 à 3). o 1ère phrase = conclusion du rêve. ( 1er sens d’embrasser = prendre dans ses bras. C’est une sorte de cri de victoire après l’exploit du poète. o Le récit commence à la l.2. La vision

mon coeur, et de faire De mes pensers brûlants une tiède atmosphère. Charles Baudelaire, Les fleurs du mal "Et la lune verser son pâle enchantement" Caspar David FRIEDRICH, Bord de mer au clair de lune Annonce des axes Etude I) Le paysage urbain réel 1) Baudelaire parle de ses rêveries à la fenêtre pour créer ses poèmes. On découvre le Paris du XIXe siècle. - Le poète à sa fenêtre : thème romantique. - Omniprésence du ciel -> champ lexical. Astrologue, clochers

Toilette funèbre de l’enfant (13 à 25) Champs lexicaux : - La mort - L’enfance Figures de styles : Répétitions : « Enfant ; réchauffer ; prendre ; vieille » Comparaison Discours au style direct : Vers 13 et 18 Métaphore : « Avez vous vu saigner la mûre dans les haies ? » Assonance : Vers 12/13 en « an » Axes de lectures : - L’organisation du décor. - Les personnages. - Le sens de la

réalité quotidienne et rassurante.  3ème quatrain : victoire de la magie et du fantastique  Dernier vers : retour au réel sur une image humoristique. Structure circulaire du verre au verre. Registres : lyrique, fantastique et humoristique. Ici, étude linéaire. I- 1er quatrain : l’univers fascinant des légendes. a) Le thème de l’ivresse Il est présent :  dans le lieu : sans doute une taverne au bord du Rhin  Rhin célèbre aussi par vin blanc  Lexique verre, vin, , renforcé par « plein