Euclide

AGVs - Automated Guided Vehicles World coordinates vs. local coordinates Absolute (world) coordinates Absolute (world) coordinates yy Local coordinates Local coordinates Distances Distances zz xx 1 World coordinates vs. distances Euclid-Newton Absolute (world) coordinates Absolute (world) coordinates yy Euclidian distances Euclidian distances Riemann-Einstein Local Euclidian coordinates Local Euclidian coordinates Riemann distances Riemann distances zz xx Light rays

tympan du Portail royal de la cathédrale de Chartres on voit la Sagesse siégeant au milieu des personnifications du Trivium et du Quadrivium et de leurs représentants dans l'enseignement des arts et des sciences : Donat, Cicéron, Aristote, Boèce, Euclide, Pythagore, Ptolémée. Assimilés aux sept piliers de la demeure de la Sagesse, ou à sept ruisseaux irrigués par la Fontaine de la Sagesse, ils sont aussi souvent représentés sous forme de vierges hiératiques dotées chacune d'attributs spécifiques.

tableau réaliste comme si on assister a la scène. 2) Le lien avec l’Antiquité. Ensuite le lien avec l’Antiquité est la représentation des personnages dans le tableau car ils n’étaient pas de la même époque certains étaient de l’Antiquité « Euclide le Socratique (-450-380) » du Moyen Age et même de l’époque moderne Raphaël (+1483-1520) car ils ont vécus dans les deux périodes. C’est pour montrer l’évolution des humains au fil des années et monter la différenciation, les cultures, les vêtements

garantie de vérité ? – La démonstration est-elle indiscutable ? – La démonstration est-elle une condition de la science ? Analyses et références : Critère de validité, démonstration scientifique, limites de la démonstration… – Aristote, Organon – Euclide, Éléments – Descartes, Discours de la méthode – Robert Blanché, Axiomatique et Introduction à la logique contemporaine Sujets du baccalauréat : – Faut-il vouloir tout démontrer ? (2004) – Toute vérité est-elle démontrable ? (2004) 

1662)   Mais les problèmes datant de l’Antiquité est ce qui passionne le plus Fermat. Ce qui lui permettra d’exposer et de développer des travaux arithmétiques de grands mathématiciens d’antan tels que Pythagore de Samos, Archimède de Syracuse, Euclide et Diophante d’Alexandrie. Fermat renferme tous ses travaux sur l théorie des nombres dans le livre de ce dernier, « Les Arithmétiques ». Il laissera plusieurs énoncés non démontrés que Leonhard Euler, un mathématicien suisse, tentera de résoudre

étroitement liés ? Plan :- solution de l’équation x² = x +1 (équation polynomiale avec uniques solution phi, discriminant)- première définition du nombre d’or (définition) : géométrique (rectangle d’or => architecture, rapport a/b) + histoire (euclide)- modulor avc suite de Fibonacci Dans un premier temps, nous verrons ce qu’est le nombre d’or I) Introduction (def nombre d’or)Tout d’abord, qu’est-ce que le nombre d’or ? *Divine proportion Premièrement

du nombre d’or). C’est avec les grecs qu’apparaissent les premières études mathématiques des propriétés géométriques du nombre d’or. Pythagore et les pythagoriciens disaient que « tout est arrangé selon le nombre d’or ». Au IVème siècle avant JC, Euclide définit dans ses « Eléments » le nombre d’or comme une proportion géométrique : on dit qu’une droite est coupée en extrême et moyenne raison quand le rapport entre la totalité du segment et la plus grande partie du segment est égal au rapport entre

caractère de perfection universelle. Que ce soient les mathématiciens, les écrivains ou les architectes, beaucoup s'y sont intéressé, pour tenter de la comprendre ou de la réaliser. Parmi les plus connus, dans l'Antiquité, nous pouvons citer Pythagore, Euclide, Archimède, en Grèce, ou Bonaventura Francesco Cavalieri, en Italie, à la fin du XVIème siècle, ou encore, à la fin du XVIIème siècle, Johann Carl Friedrich Gauss, en Allemagne. Les mathématiciens de l'Antiquité, parmi lesquels Thalès, Démocrite,

enseigné, quelques années auparavant il y était en tant qu’étudiant. Doué en logique et en mathématique, il rédigea plusieurs ouvrages importants comme certains « sur les déterminants et sur la logique symbolique : Traité élémentaire des déterminants, Euclide et ses rivaux modernes »1. De plus en tant qu’enfant d’une famille très nombreuse, Charles commençait déjà à divertir ses frères et sœurs avec de nombreux jeux de logiques et d’histoires qu’il leur comptait. Son cocon familial le renfermait jusqu’à

C’est lui qui nous apporta la numérotation arabe ainsi que les règles opératoires (*, +). Il avait ainsi définit la notion d’algorithme. Cependant la notion date de la Grèce antique (premier algorithme est la division Euclidienne découverte par Euclide en –300 avant JC. Elle permet de déterminer le Plus Grand Commun Diviseur (PGCD) entre deux entiers). Une définition reconnue : une suite finie d’instructions décrivant un traitement sur un nombre fini de données structurées qui se terminent par un