Euthanasie Vincent Humbert

Euthanasie signifie littéralement « bonne mort » , et le concept suppose l’intervention d’autrui un terme à une vie jugée (sur des critères difficilement reconnaissables comme universels ) , telle qu’elle doive ou puisse être interrompue . Perçue par l’ensemble des membres de l’Atelier comme un progrès , reflet d’une meilleure prise en compte de la dignité de la personne humaine , le concept d’euthanasie fait l’objet d’un large consensus . Il est fait état du cas de Vincent Humbert , mais

patient, auteur du geste C’est cette solution d’une assistance médicalisée que retient le rapport Sicard. Lors d’un suicide assisté médicalement, c’est le patient lui-même qui effectue l’acte provoquant la mort et non un tiers, comme lors d’une euthanasie. Selon The World Federation of Right to Die Societies, l’association internationale pour le droit de mourir dans la dignité (voir ici l’ADME française), qui milite pour la légalisation du suicide assisté), « le suicide assisté doit être clairement

coma stade 4 ou coma dépassé où la vie n'est maintenue que par des moyens artificiels (aide respiratoire, …). Parfois, quand le coma est trop sévère (stade 4) la famille peut peut-être penser à mettre fin à la vie de la personne, c'est-à-dire euthanasier la personne, bien que cela soit illégal en France. L'euthanasie est l'acte d'un médecin qui provoque la mort d'un malade incurable pour abréger ses souffrances ou son agonie, illégal dans la plupart des pays. Les chiffres concernant la question

qualité car respectueux de la dignité de chacun. La lecture de ce texte a fait émerger de nombreux questionnements quant à mon positionnement personnel et professionnel vis-à-vis de la fin de vie et de l’euthanasie. Je suis convaincue que le terme euthanasie fait « peur ». L'euthanasie, se traduisant étymologiquement par « la bonne mort », semble se définir aujourd'hui comme le fait de devancer la mort et renvoie à une connotation criminelle. La réalité est pourtant multiple car les textes distinguent

pénale pour toute personne qui porterait atteinte a un cadavre ou qui violerait une sépulture sera poursuivie pénalement. Le cadavre est or commerce. ← L’euthanasie : il s’agit d’administrer une bonne mort à une personne. Affaire Vincent Humbert, jeune tétraplégique qui a demandé à ce qu’on l’euthanasie ; l’affaire Christine Malèvre qui s’occupé de personnes âgés et qui mettait fin à leur vie. Nous ne savons pas ce que c’est de mourir. L’euthanasie sa implique qu’on va passer à l’acte

garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs, qui sont les soins permettant de gérer la souffrance afin de respecter au mieux la dignité et l’intégrité de la personne. La loi va plus tard se renforcer suite à un fait divers, la mort de Vincent Humbert (qui était un jeune tétraplégique réclamant le droit à la mort, sa mère a tenté de l’aidé à mourir et il est finalement mort 2 jours plus tard) le 26 septembre 2003. C’est par cet évènement que le débat français va s’élever autour d’une question

traitement médical à l'injection de produits létaux, en passant par l'arrêt de la nutrition et de l'hydratation ou l'administration de sédatifs en dose importante. Diapo 14 UN CAS D'ACTUALITE QUI A SUSCITE LES DEBATS : Vincent Lambert Un cas d’actualité, l’affaire Vincent Lambert : Vincent Lambert, 37 ans, plongé dans un coma depuis 5 ans suite à un accident de la route, est aujourd’hui dans un état de conscience minimale, il répond peu aux stimulations, appelé aussi État Végétatif Chronique (EVC) Les

secoué la société française, resurgissant lors de chaque nouvelle affaire touchant à cette question. Le cas de Vincent Humbert a cristallisé toutes les interrogations et les positions partisanes. Vincent Humbert, un jeune homme de 21 ans atteint d’une tétraplégie secondaire à un traumatisme crânien, a toujours réclamé son « droit à mourir », devenant l’emblème de la courante pro-euthanasie. En octobre 2003, le jour de la parution de son livre, sa mère tente de mettre fin aux jours de son fils, comme

mérite, et d’épargner des douleurs qu’ils ou elles ne veulent pas infliger à ceux qu’ils aiment. De plus, le fait de faire une législation empêcherait la reproduction de ces actes comme nous avons vu trop souvent avec les cas de Robert Latimer, Vincent Humbert, Terri Schiavo et malheureusement beaucoup d’autre. Le simple fait de leur donner un cadre médicale, un accompagnement adéquat et d’accepter leur choix préserverait la dignité de leur vie. Conclusion Pour conclure, nous pouvons dire que l’utilitarisme

pénal : Qu’est ce que la bioéthique ? Définie comme la morale des sciences biomédicales, la bioéthique partage avec le droit une fonction normative en ce sens qu’elle touche à la vie des patients du médecin : interruption volontaire de grossesse, euthanasie, clonage, eugénisme. L’évolution de la biomédecine est ancrée dans notre société puisque en raison de l’évolution des progrès, les règles de la biomédecine sont étendues. Comme le constate Murielle Bénéjat « Une première loi n° 88-1138 du 20 décembre