Euthanasie Vincent Humbert

charges particulières découlant, tout au long de la vie de l'enfant, de ce handicap. La compensation de ce dernier relève de la solidarité nationale. » B : Le suicide et l’euthanasie Provocation au suicide, art 223-13 du code pénal Euthanasie : Affaire Vincent Humbert, affaire Chantal Sébire, Loi du 22 avril 2005, relative au droit des malades et à la fin de vie, est intervenue pour tenter de traiter cette délicate question, l’euthanasie active est toujours interdite. En revanche la loi permet au

de procédure pénale pour permettre à quiconque serait accusé d'euthanasie, de soulever « l'exception d'euthanasie » devant la juridiction pénale qui resterait seule compétente pour apprécier le mobile ayant conduit à un tel geste . (Le cas de Vincent Humbert « je vous demande le droit de mourir » peut être rappelé). Mais alors plusieurs problèmes se posent : - sur quels critères a posteriori reconnaître « l’exception d’euthanasie » ? - comment recueillir le souhait de la personne de mettre fin

terminale délimite le cadre d’action des soins palliatifs. Le 9 juin 1999, une loi, votée à l’unanimité par le Parlement, est promulguée garantissant un droit d’accès aux soins palliatifs pour toute personne en fin de vie. L’affaire du jeune Vincent Humbert en 2002 amène le gouvernement à réviser la loi de juin 1999 et donne naissance à la loi du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie. Ce qui nous renvoie à l’article R4311-2 du code la santé publique : « Les soins infirmiers

le suicide dans l'espace public. PB d'utilisation de cadavres dans le domaine artistique → on va opposer à la liberté d'expression l'incitation au suicide, la propagande autour de la mort. 27 B) L'EUTHANASIE ET LA FIN DE VIE Étymologiquement, euthanasie signifie la mort douce. Chez les grecs, c'est la mort que l'on peut connaître mais qui est une belle mort. Thanatos → accueille les blessés au combat → figures associés à chaque concept chez les grecs. Il représente la mort. Dans la tradition grecque

qui, dans divers sondages, s'est montrée favorable à une légalisation sous conditions. En 2002, la Cour européenne des droits de l'homme de Strasbourg a refusé de légitimer une demande formulée par un époux pour mettre fin à la vie de son épouse (euthanasie dite active), parce qu'elle impliquerait un acte ou l'administration de substances entraînant la mort (arrêt du 29 avril 2002). Cette cour, qui siège à Strasbourg, avait été saisie en décembre 2001 par Diane Pretty, une Anglaise de 44 ans atteinte

des tests génétiques personnels. Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l'homme à l'Unesco. A quoi sert une législation contraignante en France si dans d'autres pays on peut y faire ce qui est prohibé ? (Pays-Bas et Belgique : euthanasie légalisée, Grande-Bretagne clonage thérapeutique admis, Italie n'existe aucune loi de bioéthique). http://www.etatsgenerauxdelabioethique.fr/ Le clonage : Clonage thérapeutique et clonage reproductif. Nouvelle révision en 2011. DON D'ORGANES

il y a eu euthanasie , souvent les jurés acquittent (meurtriers par pitié) parfois , le pb est de savoir si il y a eu mort provoquée ou refus de soins pour éviter un acharnement thérapeutique qui est admis. En effet , le refus de soins afin d'éviter un acharnement thérapeutique est admis de nos jours , c'est ce qu'on appelle l'euthanasie passive , on ne tue pas la personne mais on ne s'acharne pas à la maintenir en vie. Certaines affaires on relacé le débat (voir plan avec Vincent Humbert qui était

aspect, les hypothèses ou la personne elle-même conscent à ce qu’il soit porté atteinte à son intégrité physique (soins médicaux) et la question de savoir si une personne peut et à quelle condition se porter elle-même atteinte à sa propre intégrité (euthanasie ou suicide). Le droit à l’intégrité physique est aussi protégé par la CESDH dans son article 3 : « nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitement inhumain ou dégradant ». L’article 4 de la même convention précise aussi que :

propre mort a) Euthanasie Pénalement, l’euthanasie active est un homicide. Elle est envisagée comme le droit pour une personne de demander à un tiers de provoquer sa mort. La jurisprudence française e celle de la cour européenne des droits de l’homme refusent de reconnaître un droit à la mort. Certains pays tolèrent, ou on légiféré, sur l’aide au suicide, ou suicide médicalement assisté, mais pas la France, la demande de la victime n’est pas un fait justificatif. Affaire Vincent Humbert : homme de 19

domaine le droit se rapporte le plus souvent à la théorie. Le droit pénal a toujours un rapport de fait avec la théorisation, on ne peut pas faire abstraction des faits. Il y a une manipulation des faits. Affaire Vincent Humbert, affaire du médecin soupçonné d’avoir euthanasié des patients. La mère qui a empoisonné son enfant. Le médecin qui a commis l’homicide...Il y a les raisons pour laquelle elle a injecté le poison. À tous les stades du droit pénal les faits ressurgissent. Aux États-Unis