Évêque

prospérité générale. Les généreux donateurs ne manquaient pas, et les ressources de l'évêché lui permettaient de financer ce chantier gigantesque. Robert de Luzarches étant décédé en 1222, ainsi d'ailleurs que l'évêque Évrard de Fouilloy, le nouvel évêque, Geoffroy d'Eu, confia la suite des travaux à Thomas de Cormont. Les dons affluaient de tous côtés et le chantier avançait rapidement de ce fait. En 1228, les murs de la nef atteignaient déjà le niveau de la naissance des voûtes. Cette même année

maintenir sa collaboration avec Rome notamment en soutenant les missions de Boniface en Germanie. Boniface : (672/754). Moine bénédictin, il fut l’apôtre de la Germanie où le pape Grégoire II l’avait envoyé en lui donnant le surnom de Boniface. Sacré évêque à Rome en 722, il organisa l’Eglise d’Allemagne en fondant plusieurs monastères, dont Fulda en 741, et des évêchés, dont Mayence en 747. Il conféra l’onction royal à Pépin le Bref. Parti de nouveau évangéliser la Frise, il fut massacré par les païens

comme il a gagné le pouvoir pour les chrétiens, il est considéré comme le premier empereur chrétien. Les chrétiens s’organisent, des communautés sont très conséquentes comme en Egypte, Palestine, Asie Mineure et elles sont dirigées localement par des évêques. Par la suite on appellera sa circonscription sur laquelle il a autorité le diocèse. Désormais, ils peuvent se réunir en toute liberté en concile, il s’agit d’un concile général qui a lieu au niveau de l’ensemble de l’Empire (concile œcuménique) à

plus important de prière et de culte. Charlemagne choisit ses évêques, des gens instruits. Il réforme les monastères et diffuse la règle de St Benoit. Participation au renouveau des études. Ils doivent évangéliser les populations. Dans cette perspective Charlemagne restaure les institutions traditionnelles. Réunion des évêques en synode → assemblée structurante pour résoudre de questions religieuses. Affirmation donc du pouvoir des évêques. Restauration au profit de l’Empire, il accorde des immunités→

Cluny est rattachée à l'Eglise de Rome. Les moines clunisiens pratiquent le jeûne et l'abstinence, et sont vêtus d'habits noirs. 100 ans plus tard, on compte plus de 1000 établissements clunisiens. En 1080, le pape grégoire VII, instaure que les évêques clunisiens soient nommés par lui. Il interdit le mariage des prêtres. En 950, débute le pèlerinage de Compostelle (village de Galice où un ermite Pélage, a vu des milliers d'étoiles voleter au dessus du tombeau du Saint). Ce pèlerinage est aussi

dans les 2 traditions mais leurs noms sont aussi identiques. La tradition catholique3 et la tradition orthodoxe reconnaissent mutuellement que les sacrements qu'elles confèrent sont "valides"4 . En effet la succession apostolique de leurs ministres (évêques en particulier) est réelle et la compréhension de leur signification est la même. En raison de l'absence de "communion", il n'est pas possible aux fidèles d'accéder aux sacrements indifféremment dans l'une ou l'autre tradition, sauf en cas de nécessité

Cette église prend le relais de la ville. Dans chaque ville dans l’empire, il y a un clergé. La ville devient sa circonscription et dans chaque ville se trouve un évêque. Il est censé représenter sur le plan local : l’église. Les dogmes de la religion. Cet évêque est élu par les habitants de cette ville. Pour la première fois, un évêque est élu par des clercs et laïques et on voit apparaître pour la première fois une élection démocratique. Il possède trois fonctions : Une fonction liturgique :

jureurs, fidèles à la République, et les prêtres réfractaires, fidèles au pape, poursuit la chute de la religion catholique. Les diocèses, dirigés par des évêques, sont remaniés pour être calqués sur les départements, alors qu’ils étaient plutôt calqués sur les anciennes circonscriptions administratives de l’Empire Romain. De plus, les évêques et les curés sont élus directement par la nation, sans tenir compte de la religion des citoyens: les électeurs peuvent être protestants, orthodoxes ou encore

chronologique, intitulée L’histoire des Francs. Cette chronique, enrichie d’anecdotes, relate plusieurs siècles, de la genèse du monde aux conquêtes militaires des Rois Francs du V e et VI e siècles. L’auteur est Grégoire de Tours, né en 538-539, il est élu évêque de Tours en 573, où il demeura jusqu’à sa mort en 594 . Il fait partie de l’aristocratie Gallo-romaine. Son autorité religieuse et politique s’étend sur la cité de Tours, il est aussi conseillé des Rois de franc. Cet ouvrage écrit à partir de 574

contradictoire (les Empereurs de Bysance qui tente de contrôler l'élection de l'Evêque de Rome, et l'influence des roitelets Ostrogoth et Lombards). L'élection ne se passe pas comme aujourd'hui (élection par collège de cardinaux) , la il est voté comme un évêque (acclamé par le clergé et le peuple de sa ville). Au VIIe siècle, cette législation des papes va presque disparaître, et en générale quand elle est émise elle est assez médiocre. B) Les exceptions 1)Pape Vigile (537 et 555) donc pendant