Évêque

plus carolingien depuis le début du 10eme, le système carolingien se rétablit progressivement. Otton 1er va reprendre toutes les références carolingiennes. Il tente de supprimer les duchés pour éliminer ses concurrents, il tente de controler les eveques en leur attribuants d’immenses privilèges, notamment l’immunité (leurs biens ne sont pas soumis au contrôle des agents royaux, droit de justice, … comme les seigneurs laics). Mise en place du REICHKINCHESYSTEM (système de l’Eglise impériale).

notamment). Pour mettre un terme aux abus de la période précédente (prêtres et évêques absentéistes), l’Église assigne son clergé à résidence. Prêtres et évêques devront donc habiter leurs paroisses ou diocèses en permanence et obtenir la permission de leurs supérieurs pour quitter leurs presbytères ou palais épiscopaux. Pour s’assurer que les prêtres mènent à tout moment une vie irréprochable, les évêques « surveillent » leur clergé et visitent régulièrement les églises, couvents et paroisses

• Section 3 : L’absolutisme théocratique de BOSSUET (1627-1704) Il fut précepteur du Dauphin de 1670 à 1679 (proximité avec la famille royale, avec Louis XIV qui lui confie l’éducation de son fils). Il est membre du haut clergé, c’est un évêque qui obtiendra le surnom de « l’aigle de Meaux ». Œuvre principale : La Politique tirée des propres paroles de l’Ecriture Sainte (œuvre posthume, publiée en 1709). Les apports de son œuvre - le gouvernement est une nécessité politique : le peuple

deux sortes de conciles:Les conciles «œcuméniques», c’est à dire universels, qui réunissent tous les évêques catholiques du monde convoqués par le Pape. Ils sont présidés par lui ou par ses légats, et leurs décisions sont confirmées bien sûr par le Pape.Les conciles «particuliers»: qui, quand ils réunissent les évêques d’une nation, sont appelés conciles pléniers, et quand ils rassemblent les évêques d’une province ecclésiastique, sont appelés conciles provinciaux. Leurs décrets sont cependant toujours

on retrouve les cités et les provinces. Premièrement on a l'évêque : qui est le rouage administratif fondamental de la hiérarchie ecclésiastique, il y avait un évêque par cité. Ce système a été mis en place par le concile de Sardique en 343. L’évêque été nommé selon une procédure en trois temps : son élection par l’ensemble des eveques de la province et sous la présidence de l’eveque de la metropole, la confirmation de son élection(l’éveque de la métropole auditionne l’eveque candidat), la consécration

excellence il vit une vie qui respecte toutes les demandes de l’Eglise. B/ Un lien étroit entre la noblesse et les clercs → Les clercs, qu’ils soient moines, prêtres, abbés ou encore évêques proviennent majoritairement de la noblesse puis de la bourgeoisie (riches des villes) : - Entre le XIIe et XIIIe siècle, sur les 610 évêques répertoriés dans l’Empire romain germanique, 192 soit 25% proviennent de la haute aristocratie. /10FERRIERE Emmy HK - Les moines proviennent majoritairement de la noblesse. → L’Eglise

églises (=assemblées), qui élisent des anciens (=presbyteroi : prêtres) pour conduire le culte. Les églises se groupent par voisinage géographique sous la direction d'un surveillant (episcopos = évêque). On décide au 2è siècle que l'évêque de Rome sera le premier d'entre les évêques, le pape. Les évêques se réunissent pour fixer la doctrine chrétienne ( = dogme ) en synodes, qui définissent quelle est la "voie droite" (=orthodoxie). Les divergences sont nombreuses :faut-il rester une branche du judaïsme

de Clermont en 1096. Le corpus "La paix de Dieu" possède comme support quatre différents extraits de texte qui sont de la "Collection canonique" D'Arbbon de Fleury, les 3 canons du Concile de Charroux de 989, le serment de paix institué par Guerin, évêque de Beauvais datant de 1023 et un extrait d'analyse du serment de paix d'un chroniqueur contemporain, clerc de l'église de Cambrai. La paix de Dieu a été créée au début du Xéme siècle au début de la dynastie capétienne. Elle a été créée par l’Eglise

siècle : la réforme grégorienne. Au XIIe siècle, l’Église est triomphante. Pourtant, cette situation n'empêche pas l'éclosion de mouvements hérétiques. Pour défendre leurs domaines fonciers, les clercs s'insèrent dans le système féodo-vassalique. Évêques et abbés deviennent des seigneurs, prêtant hommage aux puissants et s'entourant à leur tour de vassaux. La seigneurie ecclésiastique est quasi-identique à la seigneurie laïque, l'évêque conduisant même parfois ses hommes à l'ost royale ou princière

de la société. Ils sont clairement classés en trois catégories : - Simonie : achat de biens spirituels - Querelle des investitures : conflits entre les empereurs germaniques et l’Eglise à propos de la nomination des évêques. Jusqu’au XIe siècle, les empereurs nommaient les évêques donc le contrôler. Avec la réforme grégorienne, le Pape entend récupérer le pouvoir. - Usure : intérêt que produit l’argent prêté. Jusqu’à la fin du Moyen-âge, l’Eglise enterrait la pratique de l’usure (cette activité