Evolution Du Cyberconsommateur

relatif des grandes entreprises recule dans la plupart des pays industrialisés, alors que l’essentiel des créations d’emplois se concentre dans les petites entreprises. Une plus grande diversité de vue existe quant à la signification à donner à cette évolution et aux perspectives à moyen et long terme qu’elle recèle. Certains1 y ont vu l’opportunité d’un renouveau de l’artisanat qui, organisé dans le cadre de systèmes productifs localisés, bénéficierait d’un avantage face à la grande entreprise fordienne

en faveur du consommateur. Le client est de plus en plus sollicité et de moins en moins prêt à faire ses dépenses. En revanche, le consommateur est parfois confus par la profusion de l'offre accélérée et constante. « Dans un univers commercial en évolution permanente, le consommateur a de plus en plus de difficultés à mener avec précision son analyse comparative de l'offre. » (Lehu, 2000 : 83) 6 Tous ces facteurs rendent nécessaire la mise en place de stratégies de marché concurrentielles afin d'assurer

de nouvelles marques La croissance (interne ou par rachats) des grands groupes de cosmétiques s’opère selon deux dimensions : extension des territoires des marques et internationalisation. Obstacles à la sortie : Economique : Marché en constante évolution, d’où attractivité perpétuelle et optique de bénéfices. Affectif : Relation de confiance crées entre le consommateur et la marque, d’où importance de l’image de marque. Stratégique : Les entreprises peuvent toucher une plus large cible en adoptant

cyberacheteurs : - Livres, CD, DVD et autres médias - Voyage - Informatique, électronique - Divertissement : concert, cinéma, spectacles - Articles de préparation culinaire - Mode - Produit de beauté  - Accessoires auto Points forts du marché : - Une forte évolution est attendue du fait de progrès technologiques annoncés (largeur de bande, diminution des couts, etc.) qui permettra sans nul doute une meilleure pénétration de l’internet dans les foyers sud-africains (qui n’est à l’heure actuelle que de 17,5 %)

par le fait que ce sont souvent les consommateurs déjà fidèles qui y adhèrent. Même si, on ne possède pas de données en la matière, on peut cependant penser que les versions en ligne possèdent davantage de chances d'influencer le choix d'un cyberconsommateur libéré des contraintes géographiques dans le choix de l'enseigne et davantage impliqué dans la gestion de son compte points. La personnalisation sur site La personnalisation sur site a généralement pour but de fidéliser en proposant

glissement annuel à 144,2 MMDH Inflation Augmentation mensuelle à 0,2% à fin septembre 2012 (Milliards de dirhams) % Avoirs extérieurs nets Encours chiffré à 132,9 MMDH à fin octobre 2012 (-20,3% depuis le début de l’année) (mois) MASI Evolution mensuelle de +0,77% à 9 504,55 points à fin octobre 2012 Volume global en millions de Dhs Variation du MASI en % 14 - Conjoncture N° 942 - 15 novembre - 15 décembre 2012 Janvier/Sept. 2012 Janvier/Sept. 2011 -100 -80 -60 -144,2 278,1 133

périmètre qui fera, ou non, l’objet d’une ouverture dominicale, site par site. Tenons compte non seulement des intérêts des consommateurs et des employés, mais aussi des données sociales et économiques : une loi nécessaire est une loi qui couronne les évolutions de la société. Le Monde, 14 décembre 2007. S PASSE RELLE Document 3 Le travail du dimanche Un salarié ne peut travailler plus de 6 jours consécutifs : au moins un jour de repos (24 heures auxquelles s’ajoute un repos quotidien minimum

périmètre qui fera, ou non, l’objet d’une ouverture dominicale, site par site. Tenons compte non seulement des intérêts des consommateurs et des employés, mais aussi des données sociales et économiques : une loi nécessaire est une loi qui couronne les évolutions de la société. S S UJET 29/10/09 RELLE PASSE PL09_1-38.qxd:PASSERELLE debut 1 Le Monde, 14 décembre 2007. Document 3 Un salarié ne peut travailler plus de 6 jours consécutifs : au moins un jour de repos (24 heures auxquelles s’ajoute un

électroménager, vêtements, bricolage…), après avoir rogné celui des GSA, est maintenant aspiré par l’e-commerce qui devrait bientôt, avec le succès prévisible des « drives »1, mordre significativement sur l’activité de ces mêmes GSA. Toutes ces évolutions sont cohérentes avec le rejet d’une consommation chronophage et énergivore ainsi qu’un besoin prosaïque d’économies. Déjà, les grandes enseignes adoptent des stratégies « multi-canal » de distribution, physique et électronique, et diversifient

progression des ventes en ligne peut être soutenue dans les années qui viennent par l’augmentation du nombre d’internautes, de la part des internautes achetant en ligne et de la fréquence d’utilisation des sites marchands par ces internautes. Ces évolutions seront facilitées par le progrès des technologies et des infrastructures numériques. S’agissant des entreprises, compte tenu des effets de réseaux, d’économies d’échelle et de réputation, il existe une prime aux premiers entrants sur le marché du