Evolution Du Style Vestimentaire De La Femme

revenus financiers et la mise en avant de personnalités, qui ont su profiter de ce marché, ce qu’il faut retenir c’est surtout cette caractéristique incroyable de devoir toujours proposer des produits différents et cela dans des délais imposés. Cette évolution perpétuelle oblige les personnes, voulant tirer profit de ce marché, à être en alerte continuellement et réagir avant tout le monde, pour être le premier à répondre à la demande nouvelle du marché. Cependant, il semblerait y avoir un dysfonctionnement

reflet d’une personnalité. Ainsi, Pimkie et Jennifer restent des marques de « gamine » alors que Zara s’adresse à la femme qui s’assume. Les marques, par leur positionnement, s’adressent à un type de femme. Le vêtement, mais aussi sa marque, doit correspondre à la personnalité de la cliente car ils sont un véritable vecteur d’image. Dans cette société de consommation et d’apparat, la femme fait de plus en plus attention à son apparence. « Le laideron du siècle dernier n’était pas responsable et pouvait

d’anticipation et d’investissement audacieuse, qui en fait aujourd’hui le précurseur des évolutions du secteur. 2- Historique de la presse magazine : L’histoire de la presse masculine a commencé dans les années 1970 par la mode. D’ailleurs, c’est ainsi qu’avait commencé la presse féminine deux siècles plus tôt. Ces journaux consacraient leurs contenus aux tendances vestimentaires et styles de vie des élites de la société française du XVIIIème siècle. Cette nouvelle presse

seulement des adeptes des produits pour la peau mais aussi de cosmétiques plus spécifiques. Toutefois, bien que les hommes utilisent de plus en plus de cosmétiques, on estime que les produits pour hommes sont encore achetés à 80% par leur femme ou conjointe. En effet, alors que les femmes attendent de leurs compagnons qu’ils s’occupent, eux aussi, de leur apparence, certains hommes craignent que l’achat de produits cosmétiques ne remette en cause leur virilité aux yeux de la société.

seulement des adeptes des produits pour la peau mais aussi de cosmétiques plus spécifiques. Toutefois, bien que les hommes utilisent de plus en plus de cosmétiques, on estime que les produits pour hommes sont encore achetés à 80% par leur femme ou conjointe. En effet, alors que les femmes attendent de leurs compagnons qu’ils s’occupent, eux aussi, de leur apparence, certains hommes craignent que l’achat de produits cosmétiques ne remette en cause leur virilité aux yeux de la société.

d’offrir une image de la beauté de l’homme, de ce que les individus privilégiaient et appréciaient comme traits hors du commun. La beauté de la femme a attiré l’attention de l’être humain depuis fort longtemps, des peintres, des sculpteurs ont essayé de transposer son image dans leurs œuvres. Il n’empêche, comme le montre bien Gilles Lipovetsky, que “la troisième femme”, celle qui caractériserait la deuxième phase de la modernité, post-moderne ou hypermoderne selon les interprétations, 1 Baudrillard

constate en effet, depuis plusieurs années une explosion du nombre de leurs références dans l’assortiment des magasins. En 2004, elles représentent un quart du chiffre d’affaires des enseignes de distribution, soit 2,5 points de plus qu’en 2001. Evolution des MDD par fam illes de produits 50 45 40,2 40 33,5 35 La situation des rayons n’est pas uniforme. Les MDD réalisent un chiffre d’affaires important dans certains rayons : surgelés et produits frais LS. En revanche, dans d’autres

l’enseigne permet à des segments de population à revenu moyen de rentrer en contact avec l’univers complexe des symboles associés au couturier. Il y a en premier lieu la maison de couture Chanel mais aussi le luxe, la recherche de l’élégance, la femme parisienne, le bon goût, son égérie Claudia Schiffer… Karl Lagerfeld décrit sa collaboration comme le fait de « faire du snobisme à l’envers en donnant à l’accessible ses lettres de noblesse » ou encore « s’offrir l’idée d’un univers ». Pour Christian

surgelés et produits frais LS. En revanche, dans d’autres rayons, comme l’hygiène-beauté, les MDD sont peu représentées. Le poids des marques de distributeurs dans certains rayons s’est fortement accru : rayons entretien, épicerie et surgelés. Evolution des MDD par fam illes de produits 50 45 40 35 30 25 20 15 10 5 0 Hygiène- Ent ret ien Liquides Beaut é Epicer ie Pr oduit s Cr èmerie Sur gelés f r ais LS 5,8 6,8 16,9 15,6 17 18,3 28,1 27,7 28,8 23,7 25,6 33,5 31,3 40,2 2001 2004 Point de

-être idéalement court et dynamique -être unique : on ne peut pas de cette manière accusé de concurrence déloyale et cela permet de se différencier -être pérenne : pouvoir durer dans le temps en tenant compte d’une évolution du produit possible et possiblement aussi d’une évolution du positionnement. -être en accord avec le positionnement, le positionnement porte en lui la marque En matière de nom de marque ou de produit on a 4 types : -ceux qui évoquent la fonction du produit (canard WC