Ex La Tragédie Dans Phèdre De Corneille

- de Figaro, de Suzanne et de la comtesse - et aboutit, trois fois de suite, à la mise en échec du comte : cela permet à Beaumar-chais de « jouer au yoyo » avec les nerfs du spectateur.Ce type de rivalité sert de ressort tant à la comédie qu'à la tragédie et se double parfois d'une lutte pour le pouvoir. Dans Britannicus de Racine, une double rivalité oppose Néron et Britannicus. Néron enlève à son demi-frère son amante Junie en même temps qu'il lui ravit l'empire, par usurpation ; Britannicus, entré

la pureté de la langue et le respect de certaines règles établies.] Sens strict [p. opposé à baroque] École classique (cf. classicisme); genre, littérature, poésie, théâtre classique. C'est de Sénèque que sortira toute la tragédie classique en France (BRASILLACH, Pierre Corneille, 1938, p. 44) : 3. Il est vrai, répondit le comte d'Erfeuil, que nous avons en ce genre les véritables autorités classiques; Bossuet, La Bruyère, Montesquieu, Buffon, ne peuvent être surpassés; surtout les deux premiers,

Colin l. 38, Brusquet l. 40). 3) Comment DJ est contraint à une « surenchère » amicale A chaque fois que M. Dimanche semble reprendre ses esprits et qu’il a l’idée d’aborder l’objet de sa visite, DJ change la conversation et le déstabilise à nouveau. Ex : l.40-45 DJ s’est enquis de la santé de toute la famille y compris du chien et il semble dans une impasse (il n’y a pas d’autre membre de la famille à évoquer). Il a alors l’idée de poser à brûle pourpoint la question : « Monsieur Dimanche. Etes-vous

mots permet quelques fois, à Apollinaire, de créer du sens à partir des jeux sur les homonymes et calembours (L’Ermite : « L’amour jeu des nombrils »). Certains procédés, comme les allitérations, les assonances, les anaphores ou encore les refrains (ex : Le Pont Mirabeau) renforcent le pouvoir de fascination du poème. Grâce également à la présence de strophes, tout apparente le poème à une chanson, qui permet à la poésie de toucher plus de personnes. L’écriture métaphorique permet aussi ces transfigurations

décompte des syllabes, est dite syllabique ; comme il faut et il suffit d'une voyelle pour composer une syllabe, elle est aussi dite vocalique. Le vers suivant contient douze mots d'une syllabe : Je sais ce que je suis et ce que je me dois. (Pierre Corneille, Don Sanche d’Aragon) Règle du e caduc Fantaisie graphique autour de quelques e. Le e caduc désigne la voyelle e dont la prononciation « e » varie en fonction de l'environnement syntaxique. Souvent le e caduc est improprement appelé e muet

un maître du langage : il est érudit (il cite La Fontaine), il est cultivé (il utilise un argument d'autorité : La Fontaine l'a dit alors c'est vrai ; il prend pour exemple de grands modèles). De plus, il sait utiliser la flatterie et l'euphémisme (ex : il flatte Merteuil pour éviter qu'elle s'énerve). Il sait également pervertir le langage (= il l'utilise comme ça l'arrange) : ___- le langage courtois : « ordre » (l.1), « à vos pieds » (l.83), mais ce n'est pas pour lui dire qu'il l'aime → il

profond pessimisme, séduit la bourgeoisie parlementaire, en déclin, car progressivement privée de ses pouvoirs. Les écrivains de l'époque se rattachent généralement au type d'école qu'ils ont fréquenté : Racine, Pascal, La Fontaine, au jansénisme ; Corneille prend parti pour les jésuites. Les principaux traits de l’évolution politique de Henri IV à Louis XIV : vers la monarchie absolue A) Le redressement de la France sous Henri IV Le premier roi Bourbon, Henri IV (1589-1610), ancien protestant

privilégie la raison, l'ordre, le bon sens, la mesure. Le théâtre est caractérisé par quatre écrivains : Pierre Corneille et Jean Racine qui se consacrent à la tragédie. Mais aussi Jean de La Fontaine et Molière qui se consacrent à la comédie. Ce théâtre est aussi caractérisé par les règles de la tragédie que l'on retrouve dans Art poétique de Nicolas Boileau. Les règles de la tragédie sont les suivantes : -la pièce doit avoir un style noble, écrite en alexandrins et avec des personnes de haut

| | | |et des dieux) | | |2. Genre dramatique[vi] |Représentation d’une action où |Terreur et pitié (la tragédie) ou |Le drame (tragique mêlé de comique) et le mélodrame | | |s’affrontent des caractères |rire (la comédie) |(tragique démonstratif et moral) ; la farce (comédie| | |opposés

concordances ou éventuelles discordances entre les deux sortes de langage, ainsi que sur les problèmes d’interprétation » (Accompagnement des programmes, 2001). Alors que le programme de Seconde privilégie l’étude des genres et des registres classiques (tragédie et comédie), on aborde en classe de Première les genres mixtes ou complexes (tragi-comédie, comédie-ballet, drame, théâtre moderne et contemporain dont le genre n’est pas codifié), les registres pathétique, ironique ou satirique, et enfin les effets