Excipit Un Secret

d’étude : Le Roman. Texte 1 : Incipit, Bel Ami de Guy de Maupassant………………………………………..19 Texte 2 : Chapitre 1, partie 1, Bel Ami de Guy de Maupassant………………….20 Texte 3 : Chapitre 2, partie 2, Bel Ami de Guy de Maupassant………………….21 Texte 4 : Excipit, Bel Ami de Guy de Maupassant……………………………………….22 Séquence 4 Objet d’étude : L’argumentation. Texte 1 : Chanson (VII,6), Les châtiments de Victor Hugo …………………......24 Texte 2 : Souvenir de la nuit du 4, Les châtiments de Victor Hugo……..

linéaire Il s'agit de l'excipit du roman : Dorian Gray se consume devant le portrait qui porte les marques de son propre vieillissement et de son avilissement. Il prend alors une décision... Problématique ou projet de lecture : En quoi cet excipit conduit-il un dénouement fantastique ? Mouvements du texte : I) Une conscience torturée (l. 1 à 9) Un questionnement obsessionnel (l.1 à 4) Une réflexion torturée (l. 5 à 9) II) focalisation sur le

important, ou une scène secondaire qui va éclairer certains aspects de l'intrigue etc. o … une dynamique : succession de plusieurs séquences (ou étapes) ; 4. Le résultat, ou élément de résolution, qui amène… 5. … la situation finale, ou dénouement (excipit).  Une telle structure caractérise non seulement de brefs épisodes narratifs mais des récits entiers. Toute séquence romanesque aboutit à un dénouement qui peut constituer en même temps l'état initial d'une nouvelle séquence. Enfin, certains dénouements

curiosité; mais le ministre, la maîtresse, le favori, ceux enfin qui avaient part à la confiance, hasardèrent bientôt des questions. « Cet homme, dit le Prince à son Ministre, qui lui en parla le premier, est bien extraordinaire, et possède des secrets surnaturels. Il m'a dit et m'a fait voir des choses étranges. Voyez le présent qu'il m'a fait. Ce miroir, qui semble très commun, représente d'abord les objets au naturel; mais par le secours de deux mots chaldéens5, l'homme qui s'y regarde s'y voit

manifestations les plus authentiques de l'Esprit (ce qui l'opposera gravement à Freud), mais aussi la place occupée par Paris, dont les surréalistes feront un vrai mythe moderne. Paris, le Paris mythique de Baudelaire ou de Nerval, mais aussi le Paris secret des itinéraires quotidiens, devient un lieu d'errance et de suprême disponibilité à l'insolite sous toutes ses formes : affiches publicitaires, statues commémoratives, stations de métro, fenêtres fermées sur leur mystère, autant d'énigmes parmi lesquelles

ressemblerait à un « trou » (comme le fait observer l’un des narrateurs vieillards)... Son suicide sacrificiel et libérateur lui accorde d’ailleurs cette dimension, puisque la « tête de Langlois » « prenait, enfin, les dimensions de l’univers. » (III, excipit). Bien qu’issu du 19ème siècle où il apparaît en homme d’action fringant et héroïque, Langlois s’achève en dépressif moderne dans une existence pacifiée, normalisée, « souffreteux », « bête comme une oie » (selon Saucisse), soudain plus proche et

cependant être appliqué de façon mécanique : il doit surtout aider à lire le récit comme une dynamique, et à y reconnaître des constantes, des rôles-types. Après lecture du texte suivant, examinez le modèle actantiel : Balzac, Le Père Goriot (1835), IV, excipit du roman. [Eugène de Rastignac, étudiant pauvre mais ambitieux, assiste ici aux obsèques du père Goriot. Logé comme lui à la pension Vauquer, ce vieillard est mort sans que ses deux filles, pour lesquelles il éprouve un amour passionné, se soient

Voltaire fait semblant d'être d'accord avec ses adversaires et se moque d'eux : DISCOURS DE L'ADVERSAIRE DANS LE 1ER § : -L2 «sages» -L2-3 «moyen plus efficace» -L4 «bel» -L5 «spectacle» -L5-6 «grande cérémonie» -L6 «secret infaillible» _ INDICES DE DESACCORD DANS LE 1ER § DE L'AUTEUR VOLTAIRE : -L2 «n'avaient pas trouvé» -L3 «que» -L5 «quelques personnes» -L5 «à petit feu» → terme emprunté au lexique de la cuisine. L'ironie permet dès le départ

forme une boucle pour plusieurs raisons. Les procédés de narration sont les mêmes au début et à la fin. Nous avons un incipit in medias res qui commence par une phrase de dialogue, une exclamative : « Allons ! encore notre vieux carrick ! » et un excipit, lui aussi, au discours direct et débutant par une proposition exclamative : « - Quelle destinée ! s’écria Derville. ». Dans les deux cas, ce sont des juristes qui ouvrent et ferment le roman, ce qui leur donne une place particulièrement importante

de la campagne de l'Ain. Elle est l'ainée de trois femmes et doit passer tout son temps à s'occuper de ses jeunes sœurs tandis que leurs parents s'occupent aux travaux de la ferme. Passionnée par l'école et la lecture, elle tente de s'échapper en secret de son quotidien qui l'étouffe en se plongeant dans une vieille Bible trouvée chez une voisine, seul livre en sa possession. Elle tombe amoureuse d'un jeune homme qui étudie à Paris, mais celui-ci , souffrant de phtisie , meurt loin d'elle. Elle