Exemple De Diérèse

· Le poète commence par un vers qui est une véritable provocation. En effet, il discrédite le « monde ancien » et en même temps compose ce vers de la façon la plus traditionnelle : C’est un alexandrin (avec une diérèse sur l’adjectif « an/c i/e n/ ») répondant à une certaine tradition poétique. Présence discrète donc de la poésie traditionnelle. · Ce paradoxe se justifie dans la mesure où il

celle du pantoum et nous voyons que le poète s’en sert pour rendre la poésie très harmonieuse et musicale. Cela tout en restant très marqué par l’influence romantique (les sentiments). PRECISEZ LE OU LES SENS DEVELOPPES PAR BAUDELAIRE DONNEZ DES EXEMPLES! II- La musicalité exacerbée Cette forme permet donc, de donner au poème une musicalité particulière. La répétition des mêmes vers parvient, par la reprise de formules quasi magiques, à rendre sensible l'ivresse envoûtante du soir.

n'ayant plus d'inspo + plus capable d'écrire de la poésie (alors que tous des alexandrins corrects) = explique que était à Rome pendant la guerre rabaissement qui apparaît comme artifice Diérèse exemple de écriture artificielle v10, poem 4 «ce que la passion seulement me fait dire » esthétique du simple, mais met diérèse à passion Conclusion : Ambiguité de l'écriture entre ce que dit (qu'est peu de choses) et ce que fait (pense qu'est +Correction sonnet 6p61 : Allégorie de la muse qui a abandonné le poète :

(hautbois), nature printanière (prairie) Le poète cherche un 2ème exemple, auquel il ne donne plus d'équivalences sensuelles mais morales, avec les notions de " corrompu, riche, innocente ".  Gradation à travers ces 3 qualités :  - corrompu : il est lourd,  - riche : il est tenace,  - triomphant : il est dominant.  Gradation qui culmine par le mot très fort " expansion ", qui montre que le parfum prend plus d'ampleur encore . Diérèse " expansion " qui mime la prolongation de cet infini. La gradation

(hautbois), nature printanière (prairie) Le poète cherche un 2ème exemple, auquel il ne donne plus d'équivalences sensuelles mais morales, avec les notions de " corrompu, riche, innocente ". Gradation à travers ces 3 qualités : - corrompu : il est lourd, - riche : il est tenace, - triomphant : il est dominant. Gradation qui culmine par le mot très fort " expansion ", qui montre que le parfum prend plus d'ampleur encore . Diérèse " expansion " qui mime la prolongation de cet infini. La gradation

culturelle : « nous », »on connaît les premiers » : le lecteur connaît aussi Socrate, Esope et Marc-Aurèle, projection dans le texte d’un destinataire lettré. En bon classique, La Fontaine s’abrite derrière des auteurs antiques et puisent ses exemples dans sa culture : arguments d’autorité : Socrate, philosophe qui pratique la maïeutique, l’art du questionnement, dont Platon reprend l’enseignement dans ses dialogues et qui avait la réputation d’être laid. Esope : fabuliste grec d’origine esclave

Introduction: Paul Verlaine est un poete francais du XIXeme siecle. Ce dernier est avant tout le poète des clairs-obscurs. L’emploi de rythmes impairs, d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes. C’est lui qui a lancé la notion de « poètes maudits ». Lorsqu’a 22ans il fait paraitre son premier recueil poetique et qu’il intitule Poemes Saturniens, il confesse le poids d’une

termine par un (E) muet. Cette rime est isolé à l’image du poète qui écrit. Les ambigüités provoqués par absence de ponctuation : ex : (v.1/2) (rejet, enjaurbement ou question) (ce qui crée 2 sens possibles.) Il y a un jeu de mots, crée par la diérèse « Violente » (vi-o-lente= vie, eau, lente). c) Synthèse L’évocation de l’amour passé, de la rupture récente, malgré la tristesse n’a aucune caractère dramatique ou désespéré. Elle est comme adoucie (v.3) par le souvenir (v.4) suppose une alternance

« passe » (v9) avec « lasse » (v10). Le mot « nuit » présent dans le refrain renforce cette tonalité car il connote le désespoir. De plus, le passage du temps est omniprésent et son caractère inévitable insiste sur l’idée de fatalité. On trouve par exemple une antithèse entre « nuit » (v5) et « jour » (v6), une répétition du mot « passent » (v19) et « passé » (v20) ou encore une alternance des mots « jours » et « semaines » (v19). La résignation de l’auteur face à cette situation irréversible est amplifiée

poème : la force de la Nature (champ lexical riche : « montagnes », « bois », « fleuve », « eaux », mers », forêts », « monts »), sa permanence s’imposent face au Je qui ne représente rien : « Sans que rien manque au monde immense et rad-i-eux » (diérèse, donc insistance pour signifier que le temps de l’homme n’est pas celui de la Nature). Cette permanence de la troisième personne établit deux des thèmes majeurs du poème. – Des thèmes propres au romantisme L’évasion vers un ailleurs