Exemple De Monologue Intérieur

libre cours à l’imagination ! Il est important lorsque vous cherchez des idées d’avoir à l’esprit : L’écriture d’invention est liée à l’étude des genres. Selon le libellé du sujet vous devrez utiliser les formes suivantes : l’article, la lettre, le monologue délibératif, le dialogue argumentatif ou délibératif (y compris le dialogue théâtral), le discours devant une assemblée, le récit à visée argumentative sous forme de fable, d’apologue, l’amplification, la parodie ou le pastiche. Vous devez réutiliser

types de conflits. De plus, le conflit est au cœur de l’action théâtrale par la structure même d’une pièce. En effet, comment élaborer une intrigue sans nœud, sans conflit ? En cela, le conflit est un élément essentiel du théâtre. Il peut s’agir par exemple d’affrontement entre personnes physiques sur une question ou un point de litige à l’intérieur de l’intrigue. On peut le constater dans le texte de Nathalie Sarraute, Pour un oui ou pour un non, publié en 1982. Le point de litige ici, réside en des

de sciences et de calculs pour subsister seulement> <noblesse fortune des places tout cela rend si fier> < qu’avez vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donne la peine de naitre rien de plus>. Pièce de théâtre de Jean Genet (exemple 2) appelée les bonnes  est appuyé sur un fait divers qui eut lieu en 1933, deux employés de maison les sœurs Papin avait assassiné sauvagement leur maitresses. Genet tente de réactualiser le conflit au théâtre avec deux bonnes : Solange et Claire

des paragraphes et la manière de citer les termes du texte. Exemple: Introduction : Blaise Cendrars publie L'Or en 1925. Il s'agit d'un roman dans lequel le narrateur évoque la mythique ruée vers l'or en racontant l'histoire de Johan Suter. Le passage se situe au moment où, fermier paisible du Missouri, Suter est intrigué par ce que les gens de passage lui racontent de l'Ouest. Ce texte se présente comme un monologue intérieur dans lequel le personnage exprime une curiosité avide. Peut-on

Fontaine revient sur le pouvoir de la fable, de l'apologue( mot à chercher impérativement dans le dictionnaire ) en ces termes ( apprendre par coeur ce qui suit ): « C'est proprement un charme ( de « carmen « latin: enchantement, puissance magique par exemple de la femme aimée): il rend l'âme attentive, Ou plutôt il la tient captive, Nous attachant à des récits Qui mènent à leur gré les coeurs et les esprits » Ainsi la fable, à la fin de l'épître appelée « mensonge »,( = fiction ) plait ( elle tient «

philosophique traditionnel, impersonnel et objectif. L’usage du « je » est renforcée par l’usage des vebes d’action dont il est le sujet : « je me demande », « je réponds », « je n’ai jamais vu », « je juge »etc…Ces verbes suggèrent à la fois un monologue intérieur et un dialogue avec le lecteur. D’autres procédés très libres dans leur forme illustrent cette pensée en quête de son chemin : l’interrogation « comment y répondre », la refutation de del’argument d’autorité avec les allusions à Don quichotte

donnent des indications aux lecteurs ou aux metteurs en scènes sur ce qui n’est pas dit ou joué par les personnages. A la période classique, elles sont peu nombreuses (17ème s.). A partir du drame romantique (19èmes.) avec entre autres Victor HUGO, par exemple Hernani en 1830, les didascalies se multiplient jusqu'à atteindre la caricature avec « Actes sans paroles » de Samuel BECKET en 1958. Contenu des didascalies : Le nom des personnages : au début de la pièce et avant les répliques Le genre de la pièce

prose assez long, histoire fictive ms en rapport avec la réalité, personnages multiples et étoffés, intrigues mêlées, beaucoup de descriptions. Moyen âge : - Roman< bergers et bergères - Roman comique - Roman classique (historique ou d’analyse) Exemple moral XVIII : roman philosophique et politique, réflexion sur le monde. - Roman épistolaire - Roman mémoire (faussement autobiographique) - Roman dialogue (philo, 2 interlocuteurs) - Roman picaresque (apprentissage) ; jeune héro, condition

de la situation ou exprimer, par exemple, la puissance d'un personnage, l'angoisse qu'il suscite ou son humiliation, son écrasement, sa solitude. Plongée: La caméra est placée en hauteur. Le sujet filmé est écrasé Contre-plongée: La caméra est placée plus bas que le sujet qui est alors magnifié. La caméra subjective présente la scène telle qu'est sensé la voir un des personnages auquel le spectateur est, par conséquent, forcément identifié. Le monologue intérieur présente la voix off d'un personnage

pouvoir évocatoire. Des images de l’épidémie l’assaillent, chaotiquement. Ces souvenirs de ses lectures d’autrefois deviennent brusquement et étrangement actuels. Ce passage met donc en scène le débat intérieur de Rieux et l’évocation des grandes pestes de l’histoire humaine. I- Le débat intérieur de Rieux L’impassibilité apparente du personnage cache un trouble profond qu’explicite le système narratif du texte. (Remarque : l’emploi de l’imparfait et de l’adverbe « toujours », entre autres