Exemple De Quiproquo

situation et le comique de caractère. Le comique de mots repose sur plusieurs procédés : - la répétition d'un même mot ayant plusieurs sens : la ville de « Caen » et l'adverbe interrogatif « quand », Troie et le chiffre trois, etc. - le quiproquo : deux personnages croient parler de la même chose. Dans l'Avare, Harpagon parle de sa cassette que son intendant Valère lui aurait volée, or Valère veut parler de son amour pour Elise, la fille d'Harpagon. Les deux sont « chères », « précieuses

Dissertation : Le Malade ImaginairePhrase d’accroche : Au 18 -ème siècle, né le théâtre classique ayant pour but majeur de plaire et d’instruire. Molière, l’un des plus grands dramaturges de ce siècle, se démarque par ses comédies qui critiquent les vices et les travers humains. Dans le Malade imaginaire , une comédie ballet qui a vu le jour en 1673, met en scène Argan, un hypocondriaque, exploité par des médecins charlatans, et qui veut marier sa fille à l’un

Harpagon et La Flèche au premier acte (I, 3. Cf. Aulularia, v. 628 sqq), les préparatifs du dîner au début du troisième acte, le vol de la cassette par La Flèche, le monologue d'Harpagon désespéré (IV, 7. Cf. Aulularia, v. 713 sqq.), et enfin le long quiproquo entre Harpagon et Valère au cinquième acte (V, 3. Cf. Aulularia, v. 731 sqq.); ces passages présentent même des rencontres de détails très nettes, voire des formulations identiques à celles de la traduction de l’abbé de Marolles dont Molière s’est

C’est dommage, Garo, que tu n’es point entré Au conseil de celui que prêche ton Curé ; Tout en eût été mieux ; car pourquoi par exemple Le Gland, qui n’est pas gros comme mon petit doigt, Ne pend-il pas en cet endroit ? Dieu s’est mépris ; plus je contemple Ces fruits ainsi placés, plus il semble à Garo Que l’on a fait un quiproquo. Cette réflexion embarrassant notre homme : On ne dort point, dit-il, quand on a tant d’esprit. Sous un chêne aussitôt il va prendre

comiques de gestes, de mots, de situations, de caractères, de répétitions et de mœurs présents dans les comédies. Par exemple, lorsqu’il y a des chutes, des coups, des grimaces, des tics amusants, cela divertit le public. Lorsqu’il y a des lapsus, des fautes de grammaire, de syntaxe ou de mots, cela entraîne le rire. La comédie divertit également lorsqu’il y a des malentendus, des quiproquos, lorsque des personnes sont critiquées ou caricaturées et lorsque des répliques ou des gestes sont répétés. Puis

nœud de l'action : les projets matrimoniaux de l'avare pour lui-même (il veut épouser Mariane, l. 130-132) et pour ses enfants (« une certaine veuve » pour Cléante et pour Élise le seigneur Anselme, l. 145-146). Le ton est ici tendu, en dépit du quiproquo autour de Mariane. Enfin, la scène 5 illustre les principes énoncés par Valère dans la scène 1 : elle montre l'intendant en action, en train d'approuver hypocritement les projets d'Harpagon. 2. Relevez un indice de lieu dans la scène 3 : où se passe

l’histoire se termine sur une belle note rappelant son genre. Comme dit précédemment ces marqueurs de fin sont liés à son genre, la comédie, mais elle a ses propres marqueurs. l.1768 «Mais je suis là Papa! -C’est toi ?» ici on a à faire avec un quiproquo qui en plus de marquer la comédie est révélateur des transformations du pantin que l’on peut désormais appeler Pinocchio.l.1759 «Cela faisait plusieurs mois que le pantin était rentré avec son père dans leur maison» ici on nous annonce des retrouvailles

Le théâtre est un genre littéraire particulier qui concilie à la fois littérature et spectacle (avec des cas limites puisque certaines pièces ont été destinées à la lecture, par exemple Théâtre dans un fauteuil d'Alfred de Musset). Apparu en Grèce Antique vers le 5ème siècle. Le théâtre peut-être lu et aussi représenté sous forme de spectacle, et peu à peu des genres différents se sont imposés, la comédie et la tragédie. La comédie consiste à vouloir plaire et instruire en utilisant le rire comme

liberté que don Quichotte donna à plusieurs malheureux que l’on menait malgré eux là où ils n’eussent pas voulu aller », nous arrivons vers un chemin relativement clair. Don Quichotte est représenté plus humblement que les chapitres précédents (par exemple chapitre XXI « de la haute aventure et riche conquête de l’armet de Mambrin, avec d’autres choses arrivées à notre invincible chevalier »). Dans le titre du chapitre XXII, don Quichotte n’est pas représenté comme un chevalier, c’est ici un homme qui

deux thèmes principaux, les femmes et la révolution. Beaumarchais utilise différents effets comiques, ou peut-être plutôt différentes techniques pour nous faire rire : les exagérations, le jeu de cache-cache mis en scène, les inversions, les quiproquos, l’ironie et les répétitions. Ce sont des petites choses qui ont une grande importance dans la pièce. Bergson écrit : Ce qui nous fait rire, ce serait l’absurde réalisé sous une forme concrète, une ‘absurdité visible’ [...] L’absurdité quand