Exemple De Quiproquo

Mais est-ce la fonction essentielle d'une comédie? L'effet comique est relaté par des procédés comiques que l'on ne trouve que dans les comédies. Par exemple le comique des gestes (le personnage fait des gestes exagérés), le comique des mots. Les fonctions du rire une specificité de la comédie est la maniere dont elle fait rire. Le quiproquo et les formules répétitives aident aussi à amener le rire. Pour le comique des gestes, dans les fourberies de Scapin , il fait croire à son maître que

incroyable et heureuse : deux mariages et les retrouvailles d’une famille. 2. l’auteur dénonce avec beaucoup d’humour les travers du protagoniste, Harpagon : une avarice poussée a l’extrême 3. tous les exemples de comiques y sont représentés : Comiques de caractère Les exemples d’une avarice poussée à l’ extrême : * Harpagon veut marier sa fille au seigneur Anselme qui accepte de la recevoir « sans dot ». cela malgré le tort qu’un tel union pourrait causer à sa fille. * Le peu

rôle de maîtres et montre qu’ils ont du mal à soutenir ces rôles sans se trahir. Nous pouvons nous demander en quoi cette situation de quiproquo a pris une tournure comique, burlesque ? Dans un premier temps, nous nous pencherons sur la manière dont les aveux ont été confessé et dans un second temps, le burlesque qui en a découlé. Le quiproquo est très présent au début de l’extrait. Les aveux vont se faire en trois étapes. Tout d’abord Arlequin se sent piégé, il ne sait comment

(organisation, construction globale du texte). Le comique de gestes : l’effet comique est produit par l’interprétation (par exemple : mimiques, grimaces, vêtements, accessoires → didascalies). Le comique de situation : l’effet comique est produit par la situation d’un personnage dans l’histoire qui est racontée (surprises, rebondissements, coïncidences, retournements, quiproquos, etc.) Le comique de mots : l’effet comique est produit par les paroles (jeux de mots, calembours, niveaux de langue, répétitions

composé, l'imparfait, le futur... Des marques de lieu et de temps renvoient à l'énonciation du message. - La double énonciation théâtrale : Les répliques ont toujours un double destinataire. Grâce { cette double énonciation, le public peut rire des quiproquos (l’amant caché dans le placard tandis que le mari rentre dans la chambre…), des méprises, ou trembler pour un/des héros car il peut arriver que ce public en sache plus que les personnages eux-mêmes sur ce qui se passe exactement La structure interne:

n’est pas pire que maladie. (l.3-4) Pauvreté fait perdre la tête. (l.14-15) Temps : présent Pourquoi ? Cela permet au narrateur de faire des commentaires à valeur générale. 5) Quel est le temps dominant dans les passages narratifs ? Donnez un exemple pour chacun et justifiez leur emploi. Le temps dominant est le présent : « il a des choux dans son courtil et des brebis dans son étable » l.13-14 * Présent de narration qui exprime un moment fort d’une action et la rend plus présente au lecteur

répétitions et de quiproquos. Par conséquent, les situations comiques se produisent mais il y a d’autres effets d’avoir des éléments de surdité. Il convient donc d’examiner dans quelle mesure Kleist utilise cette technique et l’effet qu’elle a sur sa lecture de La Cruche Cassée voire celle d’Oedipe? Premièrement, on va examiner la citation donnée avec l’aide d’exemples, puis on va la constater et finalement on va concilier les différents points de vue. Dans la première scène, Il y a des exemples de la surdité

aspect comique est réel dans Le Jeu de l’amour et du hasard (1730) . Simple valet d’antichambre, Arlequin permet à son « créateur », ainsi que dans toutes les autres comédies de celui-ci, de dénoncer certains problèmes sociaux lui tenant à cœur (par exemple : le mariage, la condition sociale qui influe beaucoup sur les sentiments). Cependant, il est important de remarquer qu’Arlequin n’est pas le seul personnage qui provoque le rire. On trouve par ailleurs une critique de la société chez Molière (1622

présent, et nous aide donc à bien faire la part des choses, c'est-à-dire à voir ce qui se passe concrètement. Ces affrontements théâtraux sont renforcés par un autre élément : chaque personnage a sa propre histoire, et sa propre psychologie. Par exemple, Scapin, dans la pièce de Molière, exploité par les pères, va se venger sur les fils. Ce détail intérieur à la psychologie du personnage perd de sa valeur lors de la lecture, alors que lors d'une représentation, l'opposition entre le début et la fin

de mots” c'est-à-dire qu'il exploite les ressources du langage : répétitions, jeux de mots, calembours, déformations. L'effet comique est alors produit par les paroles. Par exemple avec les répétitions (« ignorant, ignorant »,répète Toinette à l'acte III, scène 10), le patois ou le jargon (le latin des Diafoirus, par exemple) montrent l'orgueil et la prétention de l'apothicaire... Dans, le malade imaginaire de Moliére, un mariage arrangé, des amours contrariées, une belle-mère cupide et un bourgeois