Existe T Il Des Guerres Justes

effectuer le comportement inverse, peut être compréhensible, juste. En effet, la résistance au Nazisme pendant la Seconde Guerre Mondiale, ou la lutte contre l’Apartheid sont évidemment justes et légitimes car, à l’évidence, les droits fondamentaux des individus étaient bafoués. Dans le but de mettre fin à un état d’injustice, désobéir est légitime et permet de s’exprimer, bien qu’il existe d’autres moyens pour cela… De plus, la désobéissance à une loi peut-être juste si elle vient d’un ordre dont l’autorité

l’homme hors de la société mais bien au milieu de ses semblables obéissant à des lois qui l’empêchent de porter préjudice à autrui. 3) (La conséquence) Dans la dernière partie, l’auteur nous explique que c’est pour cette raison qu’une société ne peut exister que s’il y a un pouvoir qui la régit. (l. 8-9 « nulle société ne peut subsister sans un pouvoir de commandement et une force ») Spinoza en arrive à la conclusion que les hommes ne peuvent vivre en société que s’ils sont contraints à obéir et à respecter

montrer la beauté du monde (tels que le ciel ou les cloches) ils sont tous vu ici de façon moribonde, comme s’ils étaient les causes du malheur. La dernière strophe du poème se démarque de l’ensemble. En effet celle-ci est comme une conclusion d’une guerre en parlant de victoire de L’angoisse (qui est donc omniprésente dans ce poème) contre l’Espoir qui est vaincu. On apprend ensuite que cet univers est en fait l’âme du poète et il s’implique dans ce monde au dernier vers en disant que l’angoisse victorieuse

Nous étudierons donc dans ce commentaire, l’opposition qui existe entre la religion de ces deux mondes et nous conclurons l’analyse sur l’évolution de Candide. Tout d’abord, nous allons parler de la religion qui est pratiquée dans ce monde utopique. Candide, face à ce monde parfait et différent du sien, se pose des questions sur l’existence d’une religion de l’Eldorado et de ses pratiques. Il se demande si, comme dans son monde, il existe une religion. Dans le pays d’Eldorado, il y a qu’une seule

Mémoires, lecture historique A. Mémoires et histoire B. L'historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France B.1. Une mémoire patriotique a. Une France d'après-guerre divisée b. La Résistance comme mémoire ofcielle B.2. Le renouvellement depuis 1970 a. La remise en cause du mythe résistancialiste b. L'afrmation de la mémoire du génocide C. L'historien et les mémoires de la guerre d'Algérie (chapitre non développé, revenez l'an prochain.) Qestion Tème 1 introductif. Le rapport

d'avant la première guerre franco-allemande (1870-1871), qu'il n'est plus possible d'écrire après les destructions des deux guerres mondiales. Déjà à cette époque, rares sont les ouvrages qui donnent de la guerre une vision positive, même dans le cadre d'une philosophie de l'histoire. Ce livre est un succès, une surprise et surtout déjà un scandale, signe qu'en ce siècle, la philosophie des Lumières a définitivement fait passer dans l'opinion publique une idée négative de la guerre. Influencé par une

s'opposent à nos actions.
De ce point de vue, il existe bien des situations où la révolte est impossible. C'est le cas des États totalitaires où le pouvoir est fort et où toute tentative de soulèvement est immédiatement réprimée. Dans ces conditions, la révolte est vouée à l'échec. Si le rapport de force est en faveur du pouvoir et non de celui qui subit que vaut la révolte ? Cela ne signifie pas que la résignation soit nécessaire. Il peut exister des candidats au martyre. Mais il n'en reste pas

non d’une justice « plus haute ») de refuser certaines lois ; sans pouvoir le faire « de fait » si les appareils de contraintes m’y forcent. Par ex, ma liberté de cacher une personne injustement poursuivie (cf ex des juifs pdt la seconde guerre mondiale) existe « de droit » (au sens ou légitiment parlant, j’ai la liberté et même le devoir de le faire) ; mais elle n’existe pas « de fait » ; et ce au non du droit positif lui-même en tant qu’il est accompagné d’appareils de contraintes ► (1).

l'absurde. Le climat historique Tout commence après la Seconde Guerre mondiale , dont on sort comme d'un cauchemar après la Shoah et Hiroshima. Comme en 1918, le cauchemar engendre une incroyable fureur de vivre. Saint-Germain-des-Prés devient dans les années 45-55 le centre de la vie intellectuelle et nocturne parisienne. On danse, on s'enivre de jazz, on veut exister. Le mot «existentialisme» voit ainsi le jour; Sartre acceptera l'étiquette, Camus la refusera

normal pour l'être humain de pouvoir se révolter ; en effet sans révolte le monde pourrait être considéré comme une sorte d'utopie où tout le monde se plierait, dans un dévouement complet aux lois. Pourtant celles-ci ne sont pas toujours justes. Ainsi des hommes et des femmes ont décidé d'aller contre certaines lois tels que Rosa Parks ou Martin Luther King. Effectivement, ils se sont tous les deux révoltés contre la Ségrégation raciale aux États-Unis. En 1955, Rosa Parks à montré sa