Existe T Il Des Vérités Absolues Et Universelles Dans Le Domaine Moral

Remarquons tout de suite que certaines certitudes portent sur des jugements évidents par eux-mêmes (par exemple : 1+1=2 ; ou, pour reprendre un exemple de Malebranche : "il faut préférer son ami à son chien" ; ou encore, pour les croyants : Dieu existe). Ces certitudes, admises comme vraies sur leur seule évidence aveuglante, sont nommées "certitudes intuitives" (d'instinct, on y souscrit). D’autres certitudes, elles, n’apparaissent qu’à l'issue d’un raisonnement, d’un discours qui justifie leur

nécessaire de préciser que ce dernier enseignait sur la place publique appelée Agora où il s’accentuait sur les notions de la connaissance de soi, d’amour et de Justice. Le concept de Justice désigne en philosophie le respect du droit et de l’équité morale, c’est le respect de l’équité toujours à l’égard d’autrui. De ce fait, le problème qui se dégage de ce thème est la manifestation de la justice dans le vécu de Socrate. La question philosophique que l’on se pose est celle de savoir que désignent les

ses batailles, mais la réussite de son code civil. Il dit : « Ce qui ne s’effacera jamais, ce qui restera éternel, c’est mon code civil. » Il y a deux aspects : - aspect propagande - aspect de vérité Le code civil de 1804 est apparu comme marquant une date dans l’humanité. En 1900 : promulgation du code civil allemand. L’ancien régime soit il n’a pas pu promulguer le code civil, soit il n’a pas su rédiger, ou a voulu rédiger un code civil

sensations, et imagination. En effet, les mots ne sont-ils pas des étiquettes que nous posons sur le monde des choses qui le peuplent? Ils notent du réel son aspect le plus commun et le plus banal; dans ce cas, comment pourraient-ils rendre compte de la vérité d'un sentiment ou d'une intuition? Le langage apparaît comme un pouvoir, il énonce des propositions, mais peut-il émouvoir et entraîner l'âme? Ce langage, i.e le discours articulé ne se révèlerait-il pas limité et insuffisant dans sa capacité à tout

contingences de lieu et de temps, mais il a en même temps un contenu idéal qui l’élève au rang de vérité supérieure dans l’histoire de la pensée (2). On ne saurait agir spirituellement sur le monde, en tant que volonté humaine dominant d’autres volontés, sans une Benito Mussolini — 6 — conception de la réalité passagère et particulière sur laquelle il faut agir, et de cette autre réalité permanente et universelle à laquelle la première emprunte son être et sa vie. Pour connaître les hommes il faut

1770, Kant se disait soucieux d’établir une philosophie morale qui soit une « métaphysique des mœurs ». Le texte qui fera donc l’objet de notre étude est issu de la Doctrine du droit (et plus précisément de l’  « Introduction à la doctrine du droit »), qui constitue le premier volet de La Métaphysique des mœurs. Il s’agira de s’attarder sur les paragraphes B et C, respectivement intitulés « Qu’est-ce que le droit ? » et « Principe universel du droit ». Kant a antérieurement défini, dans le paragraphe

La réflexion sur les qualités esthétique est réellement devenu autonome depuis le 18ème. Le beau (la beauté) n'est pas forcement l’objet d'une connaissance sensible, ce n'est pas forcement quelque chose que l'on perçoit, cela peut être hors du domaine esthétique. Dans Le Banquet Platon met en scène une femme qui explique que l'appréciation de la beauté par les sens est le plus bas niveau de beauté, au dessus de cette beauté par les sens, il y a la beauté des actions, le mieux est de comprendre

cas de Montaigne. * Montaigne est un humaniste français qui nous est surtt connu par les Essais en 1588. Au départ c’est une juriste et ses études le conduisent à s’intéresser à bcp de domaines dont la philosophie. Il a lu tous les auteurs grecs et romains importants (comme PDLMirandole) et il va tirer de cet héritage un nb de ccl pour proposer une sagesse humaniste. Par ailleurs, Montaigne va essayer de proposer un travail littéraire,

ou « Renaissance » offre le spectacle de profondes mutations politiques, économiques, sociales et culturelles. Ce siècle est marqué en France par la progression de la Réforme (Reformation) et des Guerres de religion.I.La Renaissance Artistique · Il existe une continuité entre la fin du Moyen Âge et la Renaissance. Pas de rupture donc, mais une série de transitions et des aspirations nouvelles sous le règne de François Ier. Une réaction contre l’esprit du Moyen Âge s’instaure qui privilégie un renouveau

en conséquence nous rend plus sage, c'est-à-dire plus savant et plus vertueux. Le philosophe est donc, non pas le possesseur de la science et de la vertu, mais un homme en quête de vérité qui cherche à mieux comprendre ce que sont les choses pour devenir meilleur, plus vertueux, au sens où la connaissance de la vérité nous permettrait de mieux nous réaliser en tant qu'être doué de conscience et de raison. 2 C'est d'ailleurs ce que rechercher Socrate, celui que l'on considère comme le père fondateur