Existe T Il Une Culture Universelle

homme riche est un homme qui détient plus de possibilités, car l'argent peut tout acheté, ou presque. En ce sens, l'homme plus riche est au dessus du plus pauvre, et ceci est permit par la loi. En outre, il existe d'autres justifications de la hiérarchisation, Celles qui s'appuient sur la culture, la religion. Notamment la monarchie qui proclame la souveraineté du roi au nom de la volonté divine. On ne peut remettre en question la décision divine, car elle est sacrée et impossible à remettre en cause

identité) Vérité : est vrai un énoncé qui correspond à la réalité (intelligible ou sensible) ; un énoncé peut être dit vrai lorsqu'il a été validé par la méthode de vérification qui lui correspond (démonstration, expérimentation, etc.) Culture : la culture est l’ensemble des choses liées à l’action de l’homme sur la nature (art) et sur l’homme (civilisation) ; elle s’oppose donc à la nature comme ensemble des choses qui sont indépendantes de l’action de l’homme. Remarque : Il peut être utile

 Dans ce texte, Locke se demande s'il existe un seul « principe moral » valant universellement, pour tous les hommes sans exception. Y a-t-il un bien en soi, indépendant des mœurs, des cultures, des individus, et inscrit dans chaque homme ? Non selon l'auteur : il suffit d'être un minimum cultivé en histoire pour savoir qu'un acte n'est pas jugé de la même façon selon les époques : il peut être sévèrement puni à une époque donnée mais au contraire récompensé à une autre ou dans un autre lieu. Donc

transparents par rapport à elle même? Comment passer de la conscience naïve du monde à la conscience de soi? D'emblée, la façon d'être de l'homme dans le monde se différencie de celle de toute autre créature > seul être qui existe: que signifie exister: être hors de soi (en dehors de soi) – séparation de moi et de moi même. Autres créatures ne peuvent pas être autrement que ce qu'elles sont: « pression d'être » (Sartre) Heidegger «  Lhomme est le seul être qui se pose la question

étymologique, le mot mythe, qui vient du nom « muthos », signifie précisément une histoire, un récit, une fable. Christophe Carlier et Nathalie Griton-Rotterdam dans « des mythes aux mythologies » montrent que le mythe est une donnée essentielle de notre culture de par sa forme, le récit, de par son fondement en tant que croyance séculaire et de par son rôle en tant que récit fondateur qui explique le monde. Jean Bottero, dans « Naissance de Dieu. La Bible et l’historien », jette un regard d’historien

but de vivre dans une société ou d’étudier donc nous comprenons les mêmes choses. Ainsi, on peut donc parler d’un début d’un langage universel qui nous placerait chacun au même niveau dans la société. Nous serions donc capable d’exprimer nos pensées, chacun car nous aurions tous le même moyen d’expression. Cependant, est-ce que le choix de créer un langage universel dans le monde, n’est-il pas un peu utopique ? A travers une seconde partie, nous allons poursuivre avec la théorie que l’Homme n’a

objectivement la valeur d’une culture ? » INTRODUCTION L’héritage culturel est essentiel dans la définition de l’humain, il tient la place d’une « seconde nature », il s’impose comme allant de soir fournissant des valeurs tenues pour obligatoires. Mais cette élaboration de valeurs risque de peser s’il s’agit de juger la valeur de la culture à laquelle on appartient, l’absence de distance paraît empêcher toute objectivité. Mais s’il est question de juger la valeur d’une autre culture, on risque d’adopter

parfois même d'une région à l'autre. En effet, si l'on partait du Québec aujourd'hui pour aller s'établir au Pérou, par exemple, nous serions confrontés à d'innombrables systèmes fonctionnant différemment de ce que nous connaissons ici. Bien sûr, la culture serait différente, l'éducation, les mœurs, etc. Bref, il nous faudrait s'ajuster à notre nouvel environnement. Il est certain que, dans cet exemple, le Pérou peut sembler bien éloigné, mais nous aurions tout autant à nous adapter à notre nouveau milieu

existence et son état intérieur. Nous nous intéresserons donc au problème proposé exclusivement sous l'angle de la conscience morale. Peut-on faire confiance à notre conscience? La conscience est tout d'abord selon Rousseau et Kant, un principe universel. Seulement, nous verrons que d'autre part, la conscience se forge et est influençable, nous terminerons en tentant de trouver des solutions a cette influence possible de notre conscience. Avant de définir ce que représente la notion complexe de

ouvrage intitulé Philosophie Bantu à Élisabeth, ville de l’actuel Congo en 1945. La pensée de Tempels a connu une évolution allant de la méconnaissance totale de la culture Bantu à la découverte progressive des valeurs africaines fondamentales. Sa grande Découverte de l’humanité de l’homme noir se traduit par la Jama’a (rencontre de la culture : des mythes, contes). De cette dernière Tempels comprend que le noir fait aussi un homme, il a aussi une philosophie. Il reposera cette philosophie sur trois