Explication De Texte L Imaginaire Sartre

Jusqu’à quel point considérer l’autre comme mon semblable ? Lectures analytiques : La Fontaine « Le loup et le chien » Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, le discours du vieux tahitien. Amin Maalouf Les identités meurtrières. Jean-Paul Sartre, Huis Clos, dénouement. Lectures et activités complémentaires Deux textes pour appréhender le genre de l’essai : Montaigne, Essais, « Sur Démocrite et Héraclite », I, L, (1588 -1592). Paul Valéry, Regards sur le monde actuel (1931), incipit. Une

Fernand Dumont et Yves Martin, Imaginaire social et représentations collectives. Mélanges offerts à Jean-Charles Falardeau, pp. 75-93. Québec: Les Presses de l'Université Laval, 1982, 441 pp. [Autorisation accordée par le professeur Claude Savary le 18 octobre 2006 de diffuser cet article.] M. Savary est enseigne la philosophie à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Courriels : Claude_Savary@UQTR.CA ou gausav@abacom.com . Polices de caractères utilisée : Pour le texte: Times New Roman, 14 points

suscitant chez le lecteur des impressions fortes, parfois contradictoires comme d’un côté l’odeur sensuelle de goyave verte de Salimata et de l’autre la vision terrible de son excision. Une œuvre n’est pas constituée d’idées mais de chair. Comme le dit Sartre à propos du Tintoret dans Qu’est-ce que la littérature ?, le peintre, en striant son ciel d’une rature jaune, n’a pas voulu signifier l’angoisse : cette strie jaune est angoisse. b. La littérature se défie des systèmes, des constructions idéologiques

contraignant, vous aurez beaucoup de difficultés. En effet, ce qui est attendu de vous au DAEU, c’est moins l’expression d’idées (quoique l’on sera attentif à la qualité de votre pensée) que votre capacité à les ordonner selon le mode préconisé. Prenons le texte suivant : « Le livre fut, du XVe au XXe siècle, l’instrument par excellence de la connaissance. Certes son histoire ne commence pas avec l’invention de l’imprimerie ; (E) il fut, dans l’Antiquité, tablette d’argile enduite de cire, écorce d’arbre ou

de l’invraisemblable :· Nous parlons d’une Pologne imaginaire « en Pologne, c’est-à-dire nulepart ».Lieu plutôt abstrait, imaginaire, pour donner un ton universel à sa piéce. Nous ne pouvons pas localiser où la piece se place. · Tous les scenes se développent dans un lieu à la limite de la réalité et l’abstrait (le fantasme de la réalité, les faits pourraient être vrais ou pas). Entre le monde réel, qu’on peut reconnaitre ; et le monde imaginaire, que nous présente la vision infantile (passer du réel

Après la seconde guerre mondiale, dans les années 1950, apparaît un nouveau mouvement littéraire qu’il est convenu d’appeler l’absurde. Des auteurs comme Sartre, Camus, Beckett, Ionesco, remettent en cause la tradition humaniste pour postuler, s’inspirant des conceptions philosophiques de l’existentialisme, que notre présence sur terre n’a pas de sens. Dans le domaine du théâtre, ce mouvement portera l’absurde plus loin, en lui faisant saper les fondements mêmes du langage et en remettant en cause

Comme elle est un art du langage, la magie de la poésie permet d’exprimer des sensations et des sentiments. D’ailleurs, selon Rimbaud le poète doit être «voyant» en révélant des aspects secrets du monde et de la vie. Elle sert à créer un monde imaginaire et idéal pour éveiller les consciences. En outre c'est une force de contestation des habitudes, propre à dénoncer la violence, les malheurs et à célébrer la liberté: la poésie engagée. Ici on a quatre fonctions basiques de la poésie. On va donc

rationnelles. Car G. Durand estime que toute raison, quelle qu’elle soit, s’élabore toujours à partir du terreau de l’imaginaire… Il se distingue d’ailleurs ici de son maître et inspirateur Gaston Bachelard, le « philosophe de la rêverie », pour qui imaginaire et rationalité sont deux domaines antagonistes. Les images sont « le moule affectif représentatif des idées », c’est-à-dire qu’elles sont antérieures aux idées et non le contraire. G. Durand renforce le soupçon de Friedrich Nietzsche sur l’autonomie

. 1-5 : co-texte et idéologie comme dimension de la socialité………………………. 1-6 : Le projet idéologique …………………………………………………………. DEUXIÈME PARTIE : Références Intertextuelles et Socio-historiques CHAPITRE I I-1 : De l’intertexte au texte ……………………………………………………….. I-1-1 : La Peste, un projet idéologique bien mûri :…………………………….. I-1-2 : De l’hypotexte à l’hypertexte …………………………………………… I-1-2-1 : Genèse d’un projet ………………………………………………… I-1-2-2 : Les mythes bibliques ………………………………………… I-1-2-3 : Texte et Histoire

l'essence de l'homme ne signifie pas pour autant que les manifestations du désir en nous soient réductibles à la forme unique d'un désir primordial, auquel il serait impossible à quiconque de renoncer sans se trahir lui-même, ou renoncer à être soi (texte 13). Au contraire, souligne Spinoza, il y autant de désirs qu'il y a d'objets possibles du désir. Néanmoins, il semble que l'être humain ne puisse être véritablement lui-même qu'en se reconnaissant comme sujet désirant. Est-ce le corps ou l'esprit