Expressions Et Quiproquos

critique ? Explication : I.Un dénouement heureux et conventionnel (le triomphe de l'amour) A) Une mésentente qui finit par exacerber l'amour *quiproquo : Rosine se trompe sur la nature de la tromperie de Lindor : elle pense que Lindor ne l'aime pas alors que la tromperie de Lindor se limite à un mensonge sur l'identité. Paradoxalement, ce quiproquo va entraîner l'aveu amoureux et accélérer le dénouement. => Rosine se croyant trahie, se met à haïr Lindor. Elle fait donc une déclaration paradoxale

des jeunes gens et décident de laisser ses chances au « jeu de l’amour et du hasard ». Acte II :     Dès la fin du premier acte et au cours de l’acte II, les rencontres entre maîtres et valets déguisés sont autant de surprises de l’amour et de quiproquos. En effet, Silvia et Dorante s’étonnent d’être sensibles aux charmes d’une personne d’un rang social inférieur. Lisette et Arlequin, de leur côté, s’émerveillent et profitent de leur pouvoir de séduction sur celui ou celle qu’ils prennent pour un

« CASTIGAT RIDENDO MORES » : La comédie se châtie les mœurs en riant. Définition : Cette expression latine a pour référence la fonction que la comédie a de corriger la société par le rire le comique, c’est la traduction comique de la catharsis. Il est utile de savoir que ce terme était la devise des comédiens italien auxquels Marivaux confiait la plupart de ses pièces. Le principe est clairement énoncé dans L’ile des esclaves, l’intention étant explicitement affirmée par

l’exotisme qui aide au caractère plaisant et divertissant du texte. Pour le divertissement, il est surtout dans le côté amusant de certains passage par exemple le quiproquo du second paragraphe « que veut dire cela, Monsieur ? Est-ce qu’il est plus poli, plus affable que les autres ? –Non, me dit-il. –Ah ! j’entends ». C’est un quiproquo en effet car il s’agit d’une méprise. Méprise lié à la polysémie du verbe représenter. A propos de ce verbe, il est l’objet d’un véritable jeu de mot à la l.13. Il

propres à une classe d'individus (évocation de leurs défauts et travers, de leurs vices, bien souvent ridiculisés). le comique de situation, qui réside dans la situation incongrue ; il prend appui bien souvent sur le paradoxe. Il repose sur des quiproquos, des malentendus, ou des conjonctions d'événements insolites. Ce comique intervient lorsque c'est la situation en elle-même qui devient drôle. Cela peut être le cas lorsqu'on met un personnage en difficulté, en particulier lors de l'apparition d'un

souvent qu'un prétexte. Les fabliaux visent la plupart du temps surtout à faire rire. Pour cela, ils recourent à plusieurs formes de comiques : comique de gestes: coups de bâton, chutes… comique de mots: répétitions, patois, jeu de mot, expression à double sens, quiproquo… comique de situation : le trompeur trompé, renversement de rôles maître-valet, mari-femme… comique de caractère : crédulité, hypocrisie, gloutonnerie… Ils comportent très souvent une satire sociale, qui concerne de façon récurrente

passionnément Mariane. L’affrontement entre un père excessivement avare et des enfants généreux et amoureux est inévitable : disputes, double langage, vol, quiproquos, coups de bâtons, insultes, menaces, mensonges, rebondissement… Le tout dans une atmosphère parfois romanesque, parfois dramatique, mais surtout comique par des situations, les expressions, les gestes, les attitudes, et les oppositions de caractères…. L’avare est une pièce drôle mais aussi une comédie de mœurs et de caractères qui donne

dénoncer les ridicules d'un personnage type, ici Argan, tenaillé par la peur de la maladie, jouet des médecins et aveugler par ceux qui l'entourent notamment sa seconde épouse. Le comique de situation multiplie les scènes absurdes ou ridicules. Les quiproquos comme au moment où Argan prend Cléante pour le maître de musique, alors que les spectateurs savent qu'il est le bien-aimé d'Angélique mais encore les supercheries ; notamment lors où Louison fait mine d'être morte, de même pour Argan. Le comique

conventionnelles : elles présentent la situation énonciation (les personnages), donnent indication de lieu, donnent le tempo, indiquent le jeu des comédiens. Dialogue : Double énonciation: échanges entre pers + renseignements aux spectateurs Expression naturelle, minimaliste Thème : toile contemporaine Séquence. 2 : mise en place du malaise Séquence. 4 : exposition conflit générant l'intrigue. Même fin pour les deux dialogues Monologue : « Marc, seul » : volonté d'objectivité, neutralité

parrallélisme. (ex: PAULINE : Au nom de cet amour ne m'abandonnez pas. POLYEUCTE: Au nom de cet amour ,daignez suivre mes pas.) - Si la répétition porte sur un terme ou une expression en début de vers ou de phrase on parle d'anaphore. ( ex : " Rome l'unique objet de mon ressentiment ! Rome , à qui vient ton bras d'immoler mon amant ! ... ") ⦁ Les figures d'intensité : grâce a elles l'auteur crée une impression forte sur