Expressions Et Quiproquos

1) Introduction : Le texte proposé à l’étude est extrait de la scène 10 de l’Acte III du Malade imaginaire , dernière pièce écrite et créée par Molière, peu avant sa mort de maladie, en 1673. Dans cette pièce jouée quatre fois du vivant de son auteur, où Molière lui-même interprétait le rôle du « malade imaginaire », le dramaturge met en œuvre une critique acerbe de la médecine et des médecins charlatans de son époque, tout en mettant en œuvre tous les moyens

pour plaire aux attentes du recruteur. On joue donc un rôle qui n’est pas véritablement le notre. 2-Le paralangage(non verbal) Le paralangage c’est la communication qui va au delà des mots prononcés. Il inclut l’apparence, les gestes et les expressions. Le paralangage c’est communiquer sans parler. Il représente le comportement non verbal Il intervient dans les communications qu’elles soient personnelles (exemple :discussion amicale) ou professionnelles (exemple :entretien d’embauche).Tout comme

spectateur. I, 4 « Mario : Déguisé ! Viendra-t-il en partie de masque, lui donnerez-vous le bal ? » I, 5 « Silvia : Je ne haïrais pas de lui plaire sous le personnage que je joue. » Parcours thématique 3 : étude du langage : Quelques expressions et jeux de langage de la pièce : Dans la scène 4 de l’acte II : Arlequin encore chasse son maître qui vient le déranger avec Lisette : «maudite soit la valetaille qui ne saurait nous laisser en repos ! ». Cette phrase est une critique implicite

1, explique à Philinte les raisons de sa colère). un jeu de questions et de réponses (cf. texte 3, entre Octave et Coelio) ; un dialogue vers par vers ; on appelle cela la stichomythie (cf. le début du texte 1) ; la reprise d'une expression déjà prononcée ( "fou que tu es, ds le texte 2) ; l'interruption (texte 1). ET REPRÉSENTATION  La tirade d'un personnage seul en scènes s'appelle un monologue ; il s'adresse à lui-même, mais aussi au public. Le monologue permet à un

Les rimes internes, les assonances et les allitérations ainsi que les répétitions rythment la scène et confèrent une musicalité envoutante aux paroles de notre séducteur. ‘Quitte’ rime ainsi avec ‘glisse’, accentuant l’équivalence entre les deux expressions qui composent ce vers. L’assonance en ‘i’ dans la première réplique de Cyrano –« insensiblement », « quitte », « badinage », « glisse », « sourire », « soupir » (2 fois), « glisser », « insensible », « il », « n’y », « frisson »- annonce peut-être

Une scène pathétique ou comique? I Pathétique 1 La Comtesse valorisation, souffrance, supplication 2 Le Comte dévalorisé, perte de la maîtrise de lui même, dévaluation de la parole, utilisation de la force II Comique 1 De situation double quiproquo, spectateur en sait +... 2 De gestes 3 De caractère 4 De répétition Acte III, scène 14 et 15 Un spectacle total pour démasquer l'imposture ( apparence de justice ) I Théâtre dans le théâtre 1 Réalisme judiciaire 2 Analogie avec le théâtre

». Son contenu est centré sur les signes de l’affectivité (romantisme) : - Pour Julien : la tristesse et la contrariété - Pour Mme de Rênal : l’angoisse, l’empathie, puis la joie naturelle (annonce du plan) Nous verrons que cette scène figure un quiproquo et un malentendu qui soulèvent le jeu des points de vue. Il apparaît ainsi que la construction des focalisations parallèles permet de présenter les personnages, de les faire vivre de l’intérieur afin que le lecteur se prenne de sympathie pour les

tout au monde, plus que ses propres enfants). Enfin, le comique de situation, peut être le procédé comique le plus connu dans les textes théâtraux, réside dans la situation incongrue ou paradoxale. Il repose sur des quiproquos, des malentendus, ou des conjonctions d'événements (le quiproquo entre Harpagon et Valère dans l’Avare «  Tous mes désirs se sont bornés à jouir de sa vue; et rien de criminel n'a profané la passion que ses beaux yeux m'ont inspirée. »  « Les beaux yeux de ma cassette! Il parle

première scène de la tragédie, Hippolyte, prétextant vouloir retrouver son père, révèle à son confident sa passion secrète pour Aricie. La scène de confidence, du jeune héros à son gouverneur, est motivée par le fait qu’elle repose sur une forme de quiproquo, Théramène ne sachant pas interpréter les propos d’Hippolyte sans jamais être dupe de ses prétextes et poussant toujours plus loin le jeune homme à révéler son inquiétude : le motif de la fuite installe d’emblée une atmosphère tragique. La

couvrant les dents. Celle-ci signifie chez les singes « je suis d’humeur joueuse ». SOCIOLOGUE : C’est étonnant de voir que les chimpanzés ont eux aussi, tout comme les humains, différentes expressions faciales traduisant chacune une émotion spécifique. SCIENTIFIQUE : Et ce n’est pas tout, une autre expression faciale à été découverte chez ces primates. Il s’agit de montrer les dents en silence. C’est exactement ce que réalise le bébé chimpanzé ici. Elle s’apparente fortement à notre sourire. PRESENTATEUR :