Exprimer Le Souvenir

avoir à se souvenir, enfin, dans un troisième temps, on se rendra compte de la limite entre biographie et récit. Le fait réel. On peut distinguer que les fait relater sont réel, car il va nous raconter sa journée du 18 février 1787 passés à la cour du roi Louis XVI. Mais certaine chose raconté ne sont pas totalement concret. Comme nous le montre l'exemple « le du de Coigny portait un nom fatal à la rêne » Les fait qu'il avance ici ne sont pas vérifiables. Il y a donc certain souvenir qui ne sont

collines, couchant Toute moisson de la vallée et ravageantLe ciel tout bleu, le ciel chanteur qui te réclame.O palis,et va-t’en, lente et joignant les mains.Si ces hiers allaient manger nos beaux demains ? Si la veille folie était encore en route ?Ces souvenirs,va t’il falloir les retuer?Un assaut furieux, le suprême sans doute! O, va prier contre l’orage, va prierIntroduction:Verlaine est un auteur français née en 1844, verlaine a écrit le recueil sagesse entre 1873 et 1880,la plupart des texte du poème

romantisme et symbolisme ; on peut dire « post-romantique ».« Harmonie du soir » : 48e poème des FDM, dans « spleen et idéal »Entre « aube spirituelle » et « le flacon » : un passage du recueil où Baudelaire explore les moments qui font émerger un souvenir, une émotion (aube, crépuscule). Il s’intéresse à ce « glissement

longtemps séparé. Dans cet extrait, il nous partage les souvenirs de son enfance au Nigéria et son quotidien. Nous allons voir comment

gendarme lui dit de se taire. M exprime sentiments tragique d’impuissance car peut pas agir, destin lui échappe : « une vie qui ne m’appartenait plus. » Ca explique malaise pero « vertige », « m’est remonte a la gorge ». Tt devenait comme une eau incolore noyade. B. Le manque d’intérêt de M. Plaidoirie pas bcp discours direct. Second paragraphe surtout indirect désintérêt de M : mise en scène, sentiment d’exclusion, chaleur, longueur du discours. Détachement exprimé par bcp de mots comme : « Cependant

Nous ressentons tous le besoin de nourrir notre esprit de certains souvenirs. Des souvenirs /bon, mauvais/ mais en tout cas toujours assez marquants pour laisser une trace dans notre mémoire. On aimerait que les plus mauvais soit les moins présents et les meilleurs toujours en surface. Toutefois, il faut aussi se rappeler que les plus mauvais nous permettent de ne plus faire les mêmes erreurs ou encore d'avancer _ ils doivent donc garder une place particulière à l'intérieur de nous

plutôt qu’au sens du poème. Dans Harmonie du soir, Baudelaire nous fait part de sa volonté de transformer l’Ennui, le laid, en quelque chose de beau à l’aide du travail de la langue, des figures de style et de la musicalité de son poème. Celui-ci exprime l’un des thèmes principaux de toute son œuvre, l’amour. La réflexion sur cet amour baudelairien se situe le soir, d’où le titre. La première strophe de ce quatrain nous donne des pistes sur le thème et l’instant où il se déroule. Lorsqu’il écrit que

dans ce poème. Le choix du titre nous éclaire surtout sur les intentions de l’auteur développées dans le poème : celles de l´imagination, des visions, des rêveries, des souvenirs, des hallucinations. Le premier quatrain évoque une mélodie pour laquelle le poète éprouve une affection. Il y exprime une supériorité de cette mélodie, sur l´art des 3 compositeurs mondialement admirés : « Rossini, Mozart,Weber » (vers 2). Peut-être, parle-t-il de la chanson folklorique

et indifférente, il souhaite qu'elle garde au moins le souvenir de leur bonheur passé. La douceur mélodieuse des vers exprime heureusement le calme voluptueux d'une nuit d'été, et la fuite rapide des heures. L'œuvre, composée de seize quatrains, rencontre un grand succès et propulse son auteur au premier rang de la poésie romantique et du lyrisme. Cette composition est souvent comparée à la Tristesse d'Olympio, de Victor Hugo et au Souvenir d'Alfred de Musset. Elle fut mise en musique par Niedermeyer

étonne M, qui n’est pas familier de l’univers judiciaire. M interprète cela comme une volonté de le réduire à néant (gradation). Il n’est pas loin de la vérité, comme l’indique l’ordre que lui donne le gendarme (« il m’a dit de me taire »). Il exprime alors un sentiment tragique d’impuissance : il a l’impression que son destin lui échappe (« une vie qui ne m’appartenait plus ») Cela explique le malaise (« vertige », « m’est remonté à la gorge ») qui s’empare du personnage, et la comparaison