Externalités Pib

Introduction :  Amorce = Depuis le milieu des années 1970, on observe un ralentissement de la croissance du PIB. Le volume de la production ne progresse plus que de 2 à 3% en moyenne chaque année contre 5% par an pendant les "Trente glorieuses" et 8% à 9% par an pour les pays émergents (Chine, Inde, Brésil...) (Doc 1, 2).  Problématique = Doit-on attribuer ce ralentissement à une moindre croissance de la quantité de travail (moindre création d'emplois, baisse de la durée du travail...) ou

pour l'empreinte écologique) pour chaque pays, afin de satisfaire ses besoins. PIB vert : détermine le coût d'un dégât environnemental et le soustrait au PIB classique, c'est donc le PIB (somme des VA d'un pays) – le coût des pollutions, externalits négatives... IPV (indicateur de progrès véritable) : prend en compte en plus du PIB, la production domestique, les externalités positives... et en moins, les externalités négatives (sociales et environnementales). B/ Des instruments spécifiques pour

Diminution progressive de la part de l’industrie dans le PIB Phénomène assez bien documenté, tendance statistique historique. Vérifié dans tous les PI dans les 40 dernières années : la part de l’industrie dans le PIB se réduit au fur et à mesure du développement économique. Ex : les USA, niveau de vie élevé, part de l’industrie dans le PIB plus faible que dans les PI où le niveau de vie est moindre. Cas français : la part de l’industrie dans le PIB en valeur s’est réduite de 30% en 1960, à 24% en

effet de serre (transport, chauffage) alimentation Agriculture intensive engrais = pollution des eaux pesticides antibiotiques = pollution des sols OGM Réduction de la biodiversité ( désherbant, insecticide) La pollution est une externalité négative c'est un cas de défaillance du marché, le pollueur ne supporte pas le coût de la dépollution il n'est donc pas incité à adopter un comportement plus respectueux de l'environnement comme le voudrait le collectif. La défaillance du marché

comptabilités nationales : en France = INSEE b) PIB Mesure de la production agrégée sur une période donnée, s’attache à évaluer la richesse monétaire crée au sein d’un territoire national. On va calculer ca a pertir de la valeur ajoutée (CA – consommation intermédiaire) RNB = Revenu national brut, évaluation de la richesse créée par des acteurs nationaux PIB par tête = PIB/nbr d’habitants, il renseigne sur le potentiel d’amélioration du niveau de vie PIB en valeur = estimation sans la prise en

longue période de la P° de B et S dans une économie. C’est un phénomène durable et irrégulier. CONSOMMATIONS INTERMEDIAIRES : achats réalisés par les E pour se procurer des B et S qui vont être transformés ou détruit pendant le processus de P°. PIB : indicateur quantitatif qui permet de mesurer les richesses produites dans un pays pendant 1 an. Il se calcul en additionnant la valeur de toutes les unités de P°. EXCEDENT BRUT D’EXPLOITATION (EBE) : mesure la rémunération du facteur K et évalue

termes réels. Le PIB correspond à la somme des valeurs ajoutées réalisées par les entreprises et administrations résidents sur le territoire national. PIB = Somme VA + Impots (TVA) + Droits de douane - Subventions à l'importation Valeur ajoutée : La valeur ajoutée est un indicateur économique qui mesure la valeur ou la richesse créée par une entreprise, un secteur d'activité ou un agent économique au cours d'une période donnée. PIB constant ou réel = Il s'agit du PIB exprimé en unité monétaire

infrastructures ( dont ecoles avec la loi ferry de 1882 Etat providence: keynesiens: fonctions régaliennes + intervention sociale ( sécu ) et économiques ( secteur public,,) Taux de prelevement obligatoire : mesure le poid des admin des le PIB : [(Impots+cotisations)/PIB]x100 1918: P.O double, Margaret Thatcher fait baisser les PO ( elle privatise les services publics + reduit les allocations ) Privatiser: combler le deficit + poussé par l'Europe Admin se financent avec les contributions obligatoires

SITUATION 1 : TRANSPORT ROUTIER ET QUALITE DE L’AIR 1) Sur quelles externalités du transport routier les annexes insistent-elles ? En connaissez-vous d’autres, positives ou négatives ? Les annexes insistent sur la pollution aux particules fines issues des véhicules. D’autres externalités négatives du transport routier existent comme le bruit, la perturbation du paysage, les accidents. On peut noter également des externalités positives comme l’emploi créé sur long terme grâce à la construction

documentaire, vous montrerez que le calcul du PIB présente des limites. Document 1 Si le secteur informel se développe même dans les pays fortement industrialisés et développés, c’est dans les économies émergentes qu’on peut en mesurer toute l’ampleur. Et parmi ces dernières, l’Afrique subsaharienne ressort du lot. Selon une étude du BIT, l’économie informelle englobe 72% des emplois de cette région du monde. Cette informalité a bien sûr des conséquences sur le PIB des différents États ou régions dont