Fable Intertextualité

« ingénieux » mais il a aussi des points négatifs comme la perte de temps et d'autres encore. Le détour est une perte de temps, il nous fait utiliser des petits chemins, des combinaisons dangereuses, la planification est une des clés de la réussite. Dans la fable de La Fontaine, Le liévre et la tortue, on comprend que le meilleur moyen de perdre est de faire des détours comme le liévre et que pour gagner (comme la tortue) le meilleur moyen est d'aller tout droit, c'est a dire de suivre le « droit chemin ».

aussi ne vit-il plus que dans une angoisse continuelle. Euclion n’est pas un avare par constitution, il l’est devenu par opportunité, avec cette fortune qui lui est échue par hasard. Le trouble qui l’agite en fait un frère du pauvre savetier de la fable de La Fontaine (VIII, 2) plutôt que celui d’Harpagon, bourgeois très riche au cœur asséché par son avarice. La comédie de Plaute est uniquement une comédie d’intrigue, tandis que Molière développe une comédie de caractère et de mœurs. Il peint l’avarice

amoureux. AUTRES GENRES : LA FABLE : Jean de La Fontaine en est le plus célèbre représentant.La fable est un petit récit en vers dont le but est d'illustrer une morale, donc d’enseigner, de guider, de corriger les comportements humains.Les caractéristiques de la fable sont : 1.La fable met en scène des personnages caractéristiques de certains groupes sociaux ou bien des animaux ou des plantes qui représentent certaines attitudes.L'auteur de la fable exagère souvent leurs défauts pour

péjoratives mélioratives : c’était merveilleux de le voir, péjoratives : de quelque nouveau saint, le gaillard savetier *indices *grammaticuax *etude de l’*énnonciation le narrateur est omniscient une partie de la fable est un dialogue utilisation de points-virgules, qui segmentent l’énonciation en petites unités (sous-phrases) procédés d annonce et de reprise valeur des modes et des temps au début, imparfait : il s’agit de temps long (durée)

didactique, il s’inspire largement de Phèdre, Oesope, dont il se sert du cadre de la fable, qu’il enrichit et qu’il adapte à la société de son époque. La fable « Les Obsèques de La Lionne » appartient au 2e recueil de fables, qui est paru en 1678. La Fontaine ne s’inspire pas de l’Antiquité mais d’un auteur du Moyen Age (cf. l’italien Abstémius). On est donc dans le cadre de l’imitation et aussi de l’enrichissement de la fable, puisqu’il va l’adopter à son époque. Introduction Ce texte joue sur une

Les fables de La Fontaine peuvent indiquer des morales de sens contraire, cependant certaines sont facilement compréhensible. Les Fables ont-elles un rôle educatif auprès des enfants ? Les Fables de La Fontaine ont eu, en leur temps, un vif succès. Avant-gardistes, elles ne se plient à aucune des règles de la poétique classique. Bousculant les habitudes littéraires et la doctrine de l'époque, La Fontaine impose un style qui n'est pas loin d'être condamné par ces pairs. Fort heureusement, la grande

Le projet de Jean de La Fontaine A. A Monseigneur le Dauphin Particularité de la fable : « l’apparence en est puérile mais ces puérilités servent d’enveloppe à des vérités importantes ». Le genre de la fable est à la fois utile fonction didactique et « agréable », beau, plaisant fonction poétique B. Préface de La Fontaine Son but est de mettre les fables en vers en respectant la brièveté. Il justifie son projet par l’exemple : ces textes ont passionnés Socrate, Platon, Phèdre, il s’appuie

n’ont pas pu atteindre. Il en est de même pour la Besace, l’histoire peut facilement se retrouver dans un contexte actuel : n’importe qui mettra plus en valeur les défauts des autres plutôt que les siens pour se voir mieux soi-même. L’histoire de la fable le Coq et le renard m’a également plu car dans cet apologue, le Coq sait très bien que le Renard ment et il fait semblant de jouer le jeu pour ensuite piéger en quelque sorte le Renard à son propre piège, et c’est une chose que nous faisons assez souvent

trop affectés, ni impropres, s’il n’est pas trop bref, s’il a suivi une bonne organisation (autant de points qui garantissent contre l’obscurité), alors ce sera la faute du lecteur, et non de l’auteur, s’il n’est pas compris. De même, si pour quelque fable alléguée en passant, si pour quelque problème de philosophie destiné à enrichir le discours, si pour quelque récit conté incidemment, en somme, si pour quelque allusion judicieuse, le lecteur est lent à comprendre, qu’il s’en accuse, et non pas l’auteur

à entraîner sa conviction, soit en faisant appel à sa capacité de raisonnement, soit en faisant appel à ses émotions et ses sentiments. La fable Le savetier et le financier est un apologue car c’est un récit court, qui a pour but de divertir le lecteur, et qui se termine par une morale illustrant la fable, même si elle n’est pas explicite. Dans cette fable, Jean de La Fontaine invite le lecteur à réfléchir sur les effets de l’argent pour un honnête homme tel que la Savetier. De plus, l’auteur entraîne