Faculté de théologie catholique de Paris

Université de Limoges École Doctorale Sciences de l’Homme et de la Société n°375 Faculté des Lettres et Sciences Humaines Département des Sciences du langage Centre de Recherches Sémiotiques (CeReS) Les deux colonnes de la Franc-Maçonnerie La pierre et le sable Thèse pour l’obtention du grade de docteur ès Lettres présentée et soutenue par Philippe Langlet sous la direction des professeurs Jacques Fontanille et Isabelle Klock-Fontanille Membres du jury : Jacques Fontanille, Université de Limoges

Le droit mésopotamien Le droit participe de son milieu d’origine. De très nombreux facteurs contribuent à le façonner. Certaines civilisations ont organisé leur ordre social sans distinguer le droit d’autres modèles de conduites, notamment de la religion ou de la morale. Droit de la Mésopotamie = exemple de droit non-autonome, profondément marqué par la religion. Cela se voit sur son plus célèbre monument législatif : le Code d’Hammourabi. Hammourabi était le roi de Babylone autour de

etc. …. Marqués par la violence et le rêve. Le cité de dieu c’est l’inverse : Obéissance à la religion, Existence pacifiste et heureuse. CONCLUSION : Celle de Dieu est préférable à la terrestre donc les hommes ont tout intérêt à suivre la morale catholique. Cette démarche est proche de Platon. Au courant spéculatif s’oppose le courant positif. 2° LE COURANT POSITIF Aristote et Montesquieu (ancêtre de la sociologie) ont une démarche proche de celle des comptemporains, cependant, ils restent

On étudie les leges en tant que discipline intellectuelle stimulante, qui amène ses connaisseurs à devenir les auxiliaires de divers pouvoirs (villes, princes, rois). D'autres centres de formation apparaissent : Montpellier (courant XIIe siècle), Paris (1200), Oxford (1208), Toulouse (1227). Les experts formés diffusent le droit romain : les "notaires" (chargés de rédiger des actes juridiques pour leurs clients) apparaissent en Italie au XIIe siècle avant de se développer dans le Midi, les marchands

agréable et sûr, c'est Chambéry. » Les débuts philosophiques À Paris, en 1742 et 1743, il essaie d'exploiter l'invention d'un système de notation musicale en publiant successivement le Projet concernant de nouveaux signes pour la musique et la Dissertation sur la musique moderne. Il se lie avec Denis Diderot et Madame d'Épinay. en 1743 et 1744, Rousseau est secrétaire du comte de Montaigu, ambassadeur de France à Venise. En 1745, à Paris, il rencontre Thérèse Levasseur, modeste servante d'auberge

L’HOMME, ANIMAL CAPABLE D’ARTIFICE * CENTRE D’HISTOIRE DES SCIENCES ET DES DOCTRINES, C.N.R.S., 156 avenue Parmentier – Paris 10e, Cahiers de l’Epique de Recherche 75, Direction : André ROBINET RECHERCHES SUR LE XVIIème SIECLE II Editions du CENTRE NATIONAL DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, 15, quai Anatole-France, 75700 Paris, 1978. HOBBES ET LA PENSEE DE L’ARTIFICE par Pierre-François MOREAU Lorsqu’on a repéré des thèmes ou des

Signature de lettres. Honoré de Balzac, né Honoré Balzac à Tours le 20 Travailleur forcené, fragilisant par ses excès une santé mai 1799 (1er prairial an VII du calendrier républicain), précaire, endetté à la suite d'investissements hasardeux et mort à Paris le 18 août 1850 (à 51 ans), est un et de dépenses somptuaires, fuyant ses créanciers sous écrivain français. Romancier, dramaturge, critique littéde faux noms dans différentes demeures, Balzac a aussi raire, critique d'art, essayiste, journaliste et

jamais ensemble les trois ordres. Or, la réunion de ces trois ordres est essentielle pour que l’on puisse parler d’Etats généraux. Ceux-ci apparaissent véritablement en 1302, lorsque Philippe le Bel en conflit avec le pape Boniface VIII convoque à Paris des représentants des trois ordres. On peut voir dans cette réunion les premiers Etats généraux. Paragraphe 1, la composition des Etats généraux… En 1302, les Etats généraux possèdent encore un caractère essentiellement féodal. A la fin

retrouvée par Meijers, internationaliste néerlandais en 1914. Ensuite, un arrêt du Parlement de Paris en 1309 sur la succession de Robert II, comte d'Artois : il y a avait deux prétendants au trône : son petit-fils, Robert, et sa fille, Mahaut. La coutume de Paris, la loi salique, évinçait automatiquement les femmes, alors que la coutume d'Artois prônait l'égalité des sexes. Le Parlement de Paris appliqua la loi d'Artois, différente de la sienne. C'est donc Mahaut qui devint comtesse d'Artois.

hiérarchisées avec un appel. Au sommet, se trouve le parlement de Paris qui émerge au 13ème s et reçoit son indemnisation définitive au 14ème s. Il contrôle dans un premier temps l’ensemble des décisions judiciaires rendues dans tous les royaumes par les tribunaux royaux, les justices seigneuriales ou les cours princières. Mais avec l’affaiblissement continu du domaine royal et la transformation de papoté en Province, le parlement de Paris est submergé d’affaire. A partir du 15ème s, le Roi commence à