Faculté Positive Descartes

révoltant, l’esclave ne se contente pas de refuser un état dégradant. Il affirme aussi qu’il y a une part de lui même ) laquelle il s’identifie et qu’il met au dessus de tout. La révolte est un acte en apparence négatif qui recèle une conséquence positive. Il peut mettre en danger sa propre vie car le gain est plus important que la perte. TEXTE 4 Kant Kant - Acquisition de la conscience - le „Je“ Le passage chez l’enfant au stade de la pensée introduit un changement décisif dans son développement

Union de l’âme et du corps : la perception et l’intellection 3) L’homme comme notion : le sujet moral (liberté et bon usage de la raison) Ce traité fut publié en 1649 et constitue l’avant-dernier de Descartes avant sa mort. Il s’appuie notamment sur un résumé de connaissances en biologie de Descartes et il contient des réflexions sur la nature du corps et il s’oriente vers une médecine concernant notamment les affections physiologiques et psychiques. Il répond à l’une des premières lettres adressées

traitera pas de l’imagination pour elle-même, mais en la rattachant au thème de l’humanisme, c’est-à-dire à la question du critère de la dignité humaine. Je souhaite manifester que l’imagination reçoit une fonction spécifique et particulièrement positive dans un certain courant de l’humanisme, celui développé exemplairement par Montaigne. Je me propose : 1) de présenter ce courant et sa spécificité par rapport à d’autres courants de l’humanisme au XVIe siècle (Montaigne n’est pas Pic de la Mirandole

1 Descartes, Les méditations métaphysiques. La méditation est un genre philosophique, une méthode de pensée qui permet au lecteur d’accéder par lui-même à cette philosophie. 1. Métaphysique : définition. Sens le + large : entreprise qui s’efforce, par les voies de la raison, de connaître les 1ers pcps de ttes chs : philo 1 ère . Chez Descartes : l’entreprise métaphysique se confond avec la volonté de donner 1 fondement absolu à tout le reste de la philosophie, ce qui, à l’époque,

technique se porte tout entier avec soi. Sa puissance est dans ses bras et ses jambes au lieu d'être confiée à des objets. ». En fait, la technique dépossède l'homme de ses forces et facultés naturelle. Les hommes n'ont fait que profiter du savoir et des découvertes de quelques un, ce qui a peu à peu affaiblit leur facultés créatrices, aussi physiques que mentales. Aussi, le progrès technique a apporté une plus grandes capacité de destruction aux armes. C'est ainsi que l'arme nucléaire a été un moyen

| | |"Je pense où je ne suis pas, donc je suis où je ne pense pas." (Lacan, Écrits) | | |* "Je pense donc je suis" (Descartes, Discours de la méthode) | |Autrui

siècle, le cas chez Descartes, mais une unité de l’âme et du corps. « Ce n’est pas le corps séparé de son âme qui est en puissance capable de vivre : c’est celui qui la possède encore. » De l’Ame, II, 1, 412 b 25 - Les caractéristiques du vivant en général, communes au végétal et à l’animal, sont les capacités de changer par soi-même, de croître et de se reproduire. Elles sont imputables à l’âme végétative ou nutritive.ii - Les caractéristiques propres à l’animal sont les facultés de sentir, de désirer

nécessaire de la pensée dans le sens où un individu ressent le besoin d’être seul pour penser, puisque la pensée, étant le propre de l’Homme, est au départ une réflexion personnelle, l’individu a besoin, tout simplement, de se forger sa propre pensée. Descartes le démontre d’ailleurs quand il parle de ses voyages et qu’il dit qu’après ces voyages, une réflexion s’impose à lui, car il ressent ce besoin de s’isoler pour réussir à penser véritablement. Cependant la solitude ne constitue pas un repli

niveau microscopique à la liberté de l’action humaine. La liberté d’indifférence et le libre-arbitre   « Mais peut-être que d’autres entendent par indifférence une faculté positive de se déterminer pour l’un ou l’autre de deux contraires, c’est-à-dire pour poursuivre ou pour fuir, pour affirmer ou pour nier. Cette faculté positive, je n’ai pas nié qu’elle fût dans la volonté. Bien plus, j’estime qu’elle y est, non seulement dans ces actes où elle n’est pas poussée par des raisons évidentes d’un

n’avait regardé que lui-même, se voit forcé d’agir sur d’autres principes, et de consulter sa raison avant d’écouter ses penchants. Quoiqu’il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu’il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s’exercent et se développent, ses idées s’étendent, ses sentiments s’ennoblissent, son âme tout entière s’élève à tel point, que si les abus de cette nouvelle condition ne le dégradaient souvent au-dessous de celle dont il est sorti, il devrait bénir