Faire Son Devoir Est Ce Agir Moralement

question de la loyauté et du mensonge est au coeur de toute la philosophie morale depuis l'Antiquité. Sur cette question aussi Machiavel oppose la théorie («chacun comprend ...») et la pratique («nous avons vu ...»). La question de savoir ce que doit faire le prince reviendra une fois encore à se demander ce qui est le plus avantageux du point de vue de l'efficacité politique. et d'agir toujours franchement et sans artifice. De notre temps, néanmoins, nous avons vu de grandes choses exécutées par des

total de ce que nous sommes et de ce que nous faisons : par exemple les oublis, les névroses, les rêves, etc. Par la thèse freudienne, le « moi », c’est-à-dire la conscience de soi, n’est plus « maître en sa demeure » : on peut vouloir faire quelque chose et faire autre chose dans la mesure où des désirs inconscients influent sur l’action. Comme, selon Freud, nous ne sommes pas responsables de nos désirs inconscients, on peut donc dire que dans une certaine mesure l’inconscient nous décharge de la

soit-il pour l'Homme ,entraine donc sûrement une certaine forme de nécessité du travail pour ainsi recevoir ce salaire Le travail possède aussi des qualités symboliques pour l'Homme, il va ainsi lier les êtres humains, de la même manière que peut le faire la religion ou encore les loisirs. En s'inscrivant dans un ordre humain, on donne un certain but à notre vie, on se donne un sentiment d'existence. En effet, c'est avant tout des échanges symboliques qui vont ainsi lier les différents travailleurs

prescription utile à la vie en commun. A l’inverse la morale peut conduire à la religion et c’est la le fondement de la thèse kantienne. K. envisage la religion comme « une connaissance de tout nos devoirs ». Dieu parle, se manifeste à travers des obligations morales, Dieu sert de fondement à tous les devoirs éthique nécessaires à l’homme en cantonnant la sphère du divin dans le domaine purement morale on évite ainsi de confesser la religion comme une confession de foi, une science assertorique (science

Qu'est-ce qu'une vie réussie ? Qu'est-ce qu'une belle vie ? Introduction Le « Bien » est, en général, la finalité de toute action possible. Les hommes cherchent naturellement le bien pour eux : même le « méchant » pense faire le bien, si ce n’est pour autrui, au moins pour lui-même. Par ailleurs "tous les hommes cherchent le bonheur", dit Aristote, justement parce que le bonheur représente en général l'ensemble des biens souhaitables… Le Bonheur pourrait se définir comme la satisfaction complète

désigne une vertu qui se caractérise par une volonté constante d'attribuer à chacun ce qui lui est du, ce qui renvoie au droit. Volonté constante d’agir selon le droit d'autrui. Etre juste c'est agir selon le droit. Or, dans cette caractérisation, on voit bien une ambiguïté. Agir selon le droit c'est aussi agir dans le respect du droit, dans le respect des lois. Dès lors, on voit apparaître une distinction. Le droit c'est ce qui désigne les lois alors que la justice correspondrait à une vertu, un idéal

Ethique et responsabilité managériale Laurence.Sammartino@unice.fr ETHIQUE ET REPONSABILITE MANAGERIALE Introduction : * Une vague éthique déferle dans le monde des affaires (Certaines entreprises utilise l’éthique pour faire du profit. Ils s’en servent dans leur communication. On gagne en réputation.) On parle d’éthique instrumentalisé, le but est de maximiser le profit. Est-ce alors un comportement éthique ? * Qu’est-ce que l’éthique ? Ce n’est pas une science. C’est une des quatre

morale. , la première section dont est tiré cet extrait examine les notions de devoir, de loi morale et de bonne volonté. Note rajoutée par l’auteur, cet extrait a une fonction de clarification, de précision quant au passage auquel il rapporte. Le passage auquel se rapporte cette note se situe après une proposition que Kant formule ainsi “le devoir est la nécessité d’accomplir une action par respect pour la loi.” Le devoir c’est l’obligation morale considérée en elle-même et, en général, indépendamment

» signifie en « toutes circonstances » mais aussi à « n’importe qui » et même à « n’importe quel moment. » Convient-il moralement d’avouer et d’énoncer à voix haute ce que nous avons réellement en tête quelque soient les circonstances et les conséquences ? Ou bien si au contraire, il convient de faire preuve de discernement et ainsi parfois de mentir pour agir moralement. Nous verrons que la vérité est nécessaire, valorisée. Même s’il n’est pas certain que ce soit toujours le cas. Finalement

: " Philosopher, ça sert d'abord à . faire une bonne dissertation pour réussir son bac ! Mais attention, ça sert aussi et surtout plus largement à réfléchir sa vie. Pour y parvenir, ça peut prendre un peu la tête : douter de ce à quoi on croit dur comme fer, et trouver que ça a du sens de questionner ce qui paraît évident. Mot d'ordre : transformer ses affirmations en questions, et examiner ses opinions pour voir si ça tient. Se faire donc à soi-même des objections. Ce qui aide, c'est de se confronter