Fantastique Pas Miroir

une fois... ») - image des schémas sociaux et familiaux - vision manichéenne entre le bien et le mal. Exemple : Les Dons des fées. Le conte cruel : Exemples : Le mauvais vitrier ; Un mort héroïque ; la corde ; assommons les pauvres ! Le conte fantastique : Retranscrit l'angoisse de l'homme face à l'inconnu, ses difficultés à saisir une réalité énigmatique et fuyante. Exemples : Chacun sa chimère ; Le joueur généreux La nouvelle : -récits successifs de personnages Exemples : Portraits de Maitresses

dépaysant...le nôtre ! L’a comparaison s’effectue içi en analysant les émotions du narrateur mais aussi en se penchant sur ses critiques. Les mœurs des Français prennent soudain une teinte d'exotisme ridicule. Il s'agit dans tous les cas de nous tendre un miroir critique de notre société. Mais ces récits de voyages sont aussi écrits pour nous faire voyager, nous évader. Les paysages décrits nous font rêver : l’évocation des caraïbes, de grandes montagnes blanches, de paysages ensoleillés nous permet de nous

la fin des années 1820, émerge un mouvement littéraire que l’histoire littéraire appelle le réalisme. Le roman de Maupassant est à la croisée du réalisme et du naturalisme ; Il observe la société de son temps, mais construit aussi ses récits fantastiques à partir de situations réalistes. Le réalisme tend vers le naturalisme avec Zola. Pourtant, ce serait peut-être une erreur de considérer le réalisme comme une invention du XIXe siècle : en littérature, le réalisme existe bien avant Balzac et Stendhal

classée en tableaux distincts. Emma n’en apercevait que deux ou trois qui lui cachaient tous les autres, et représentaient à eux seuls l’humanité complète. Le monde des ambassadeurs marchait sur des parquets luisants, dans des salons lambrissés de miroirs, autour de tables ovales couvertes d’un tapis de velours à crépines d’or. Il y avait là des robes à queue, de grands mystères, des angoisses dissimulées sous des sourires. Venait ensuite la société des duchesses ; on y était pâle ; on se levait à

généralisation des personnages, technique utilisée par Emile ZOLA dans le but d’expliquer des lois, et nous terminerons par l’union des personnages. Développement : Le romancier montre la domination de Thérèse et Laurent par leur corps, grâce au coté fantastique de la scène avec l’emploi du terme « le spectre de Camille ». La violence et la peur sont représentées par les mots « fouetté », « secousse ». Cette sensation de peur est accentuée par l’arrivée d’un ressuscité, exprimée à la ligne 7 avec

hésitant). Il y a aussi des assonances en « i » « le Rhin est ivre où les vignes se mirent ») et en « t » : allitération vers 10 : c’est une cadence majeur qui donne de la solennité, montre la métamorphose entre le Rhin (chose réelle) et l’apparition fantastique (l’or qui tombe des étoiles, le reflet) provoque un étourdissement, un effet vertigineux qui apparaît (v.11). II/ La mythologie germanique : folklore et légende Rhénane (1er quatrain) : 1ere strophe : le batelier et les sept femmes apparaissent

1) Titre : Verte Auteur : Marie Desplechin Née le 7 Janvier 1959 à Roubaix Elle n’est pas morte Date d’écriture ou de parution : 02 Octobre 1996 Genre : Fantastique 2) a) Lieux : • Chez Verte (page 1) • A l’école (page 110) • Chez Anastabotte (page 55) • Chez Soufi (pages 145-146) • Chez l’entraîneur de foot (page 166) b) Epoque(s) : Cette histoire se déroule sûrement au 20ème siècle car (p.20) : Ursule, la mère de Verte évoque le film Freddy, les griffes de la nuit

 « tête ronde » etc. précisé par un système d’accumulation souligné par la conjonction de coordination « et » répétée 9 fois. Par ailleurs, le portrait n’est pas directement perçu par le narrateur mais il nous est donné à travers les reflets du « miroir » de la salle de bain : « Dans la glace […] il ressemblait, le blond qui joue le rôle de Slim  », néanmoins cette comparaison reste imprécise puisque le nom de l'acteur n’est pas mentionné. On remarque également l’adjectif « laid » accentué par

envers ce roman qui est aussi une œuvre historique, géographique, et folklorique. Ce livre pourtant, et surtout le personnage de Dracula ne fût que réellement populaire après la mort de l’auteur. Stoker est maintenant vu comme un grand auteur fantastique de la fin du XIXe siècle, tel que Mary Shelley qui écrit Frankenstein. La Grande-Bretagne de ce temps vivait dans un tabou et une peur constante, entre autres à cause des meurtres effectués par un dénommé Jack l’Éventreur. C’était donc un contexte

délires fantastiques. » la focalisation est omnisciente. En effet, c'est le point de vue d'un narrateur qui sait tout sur les lieux, les personnages, il semble tout connaître de leurs pensées, de leurs sentiments, de leur passé. Le lecteur en connait plus que les personnages. Les indices qui nous permettent d’identifier la focalisation omnisciente sont très nombreux, en voici quelques-uns : - le monde des ambassadeurs marchait sur des parquets luisants, - dans des salons de miroirs,