Fantastique Pas Miroir

II/ une ville qui n’est qu’autre qu’un monstre fantastique et épique A. une ville fantastique atmosphère lugubre ch lex de l’abs de repère « brouillard » « vapeur » sons nasale « an » -> lourd décor sombre « fleur pourrit » « rouille » brique » usine personnifié, métaphore filée de l’homme : « les yeux, « se mirrant », « se regardant » le verbe « ronfler » répété dans tout le txt et associer à l’usine : dérangeant une vision fantastique qui personnifie la ville : un monstre qui torture

première semaine le film s'est classé en tête du box office. Il est difficile de classer le genre auquel se rattache ce film. À mi-chemin entre le thriller psychologique, le drame et le film fantastique, il constitue un minutieux mélange où se mêlent l'angoisse et l'adrénaline portées par un cinéma fantastique, le suspens haletant d'un thriller noir et l'émotion prenante d'un drame. En témoigne les propres mots du réalisateur qui déclara : "Plus nous approchions de la version finale de l’histoire

condition de vivre en société. Tout démontre pourtant que le recourt a ce procéder est utilisé aussi bien pour ce rapprocher du lecteur en lui faisant voir ce qu’il connaît et ce qui le rassure, que pour accentuer les caractéristiques humaines comme un miroir qui nous montrerais les défauts humains. Le romancier est donc un vrai artiste, ce que nous allons démontrer tout d’abord en expliquant le choix du réel comme source d’inspiration, puis la nécessité de s’affranchir du réalisme et du réel, pour finir

vide - La désolation - La ville - La solitude - L'incompris par le public Registres - Lyrique - Tragique - Fantastique - Tragique - Épique - Lyrique - Pathétique - Pathétique - Polémique/satirique - Didactique Énonciation Elle Elles Je Je Elle Je = poète Il = chien Vous = poète s'adressant au chien Types de texte Narratif Narratif, conte fantastique Descriptif Narratif Narratif, Apologue Personnages - « l'Idole » ( souveraine des rêves) - « la Sylphide » -

part entière. C’est l’époque du romantisme, du réalisme, du fantastique. Nous pensons à La peau de chagrin, paru en1831, d’Honoré de Balzac (1799-1850), ou encore à La Vénus d’Ille, paru en 1837, de Prosper Mérimée (1803-1870). Nous suivrons tout au long de notre développement, l’évolution du roman et des styles sous lesquels il s’est manifesté au fil des époques. Principalement le roman précieux, le roman-mémoire et le roman fantastique. Nous tenterons au cours de celui-ci, d’identifier à quels

exptionnel. Par conséquent, le noyau de la littérature semble être le fait de confronter un héros à un élément imprévu : ses choix, ses obligations et leurs conséquences. Je cite, Stendhal : « Le roman est un miroir que l’on promène sur la route » Qu’il soit réaliste, symbolique, surréaliste, fantastique, ou causal, il ne fait que copier l’existence dans sa dimension hasardeuse. Le hasard dicte notre vie, on pourrait l’appeler destinée, karma, futur, ou avenir selon notre philosophie, notre opinion ou

témoigne des sensations qu'il a ressenties lors de l’ingurgitation de LSD. Albert Hofmann, décrit ce qu'il voit comme « déformé comme dans un miroir tordu ».Il raconte que les « objets familiers prirent des formes grotesques », « menaçantes », qu'ils étaient pris dans un « mouvement constant ». Hofmann affirme avoir vu des « images multicolores, fantastiques [qui] arrivaient sur [lui] ». Enfin, il assure que « chaque son produisait une image animée de forme et de couleur correspondante ». Nous constatons

techniques narratives. e- Par son registre Le roman fantastique est fondé sur la terreur et le doute Le roman didactique transmet un enseignement 2- Distinguer auteur et narrateur Le récit est un montage narratif où l’auteur confie au narrateur le soin de raconter l’histoire en mettant en scène des personnages. Le narrateur s’adresse au narrataire qui est généralement le lecteur. III- Conclusion : Le roman serait alors un véritable miroir de la vie réelle qui refléterait avec minutie et objectivité

imaginaires. -impressions visuelles : paysage étrange, flou, « laiteux », couleurs vagues, petites impressions de lumière « luisaient ». 2) Paysage état d’âme La tristesse du paysage reflète celle du poète de manière symbolique, comme le reflet d’un miroir. -« soleil couchant », « mélancolique », « suprêmes » : les derniers rayons de soleil avant la nuit, c’est beau, c’est romantique donc c’est triste. -Les saules pleureurs représentent le chagrin. -Certains adjectifs traduisent l’angoisse du poète :

vit. Un large d�calage avec le monde "normal"se trouve accentu� par la fantaisie. - cet univers est en effet compos� d'�l�ments irr�alistes : le miroir grossissant effraient les boutons qui rentrent alors sous la peau, tout comme les paupi�res repoussent. - Syst�me de vidange de la baignoire (description technique) - Beaucoup de glaces et miroirs (univers de reflets,le personnage montre encore une fois qu'il s'aime Le personnage s'y livre � des gestes absurdes : - usage du gros sel pour ass�cher