Fantastique Univers Réel

Pour comprendre le fantastique, il faut d'abord savoir le différencier du merveilleux. En effet, à l'inverse du merveilleux, universel et intemporel, le fantastique est lié à une réalité socioculturelle particulière, celle des sociétés où le monde est ordonné selon des lois et des règles compréhensibles, quasi immuables, celle des sociétés où le monde est prévisible. En effet, le fantastique ne peut exister dans un univers où le miracle et l'irrationnel vont de soi. C'est pourquoi il ne pouvait

monde es fantastique ou réel, et non plus s’il existe une différence entre rêver et vivre », disait Jorge Luis Borges, écrivain argentin. Dans Omphale, histoire rococo, nouvelle qui raconte l’apparition d’Omphale, personnage mythologique représenté sur la tapisserie de la chambre d’un jeune lycéen, Théophile Gautier, écrivain de la Parnasse du XIXe siècle, témoigne bien de cela. Nous nous demanderons ainsi en quoi Omphale, être fabuleux auquel Gautier insuffle la vie, est-elle fantastique. Nous allons

roman doit il être réaliste ou au contraire doit il être plus proche du fantastique ? Pour répondre à cette question, nous commencerons par montrer ce qu'apporte le personnage réaliste au lecteur puis nous verrons que cette réalité n 'est pas forcement utile à tous les personnages pour être interessant, c'est ce que nous décrirons dans une seconde partie ou le personnage se rapproche du fantastique ou du moins se deconnecte du réel . I-Le personnage réaliste -il apporte des reperes qui ne nous sont

l'écrivain , Roberto zucco, inspirée par un fait divers autour d'un personnage réel : roberto succo, assassin et fugitif et reconnu comme malade mentalement pour avoir ,entre autres, tué ses parents sans raison apparente. Registre : Mystique? Intro : Derniére pièce du dramaturge Bernard marie kotles, roberto zucco, publiée en 1990,fut également la plus célébre.Celle-ci est inspirée d'un fait divers autour d'un personnage réel des années 80 : roberto Succo , dangereux assassin et fugitif agissant

passé à une tonalité plus grinçante et lancinante ; dans la troisième strophe la musique anime la ville. L’agitation règne dans Paris le soir ; Apollinaire nous emmène dans un univers à la fois réaliste et délirant. Les tramways y portent des « feux verts sur l’échine » et sont « flambant d’électricité » comme des bêtes fantastiques. Personnifiés, ils sont « ivres de gin ». De ce fait, ils ne circulent plus de manière rectiligne. Dans l’univers surréaliste d’Apollinaire, ils « musiquent au long des portées

rationnellement, par opposition au fantastique qui implique un doute, une hésitation entre une interprétation rationnelle et une interprétation irrationnelle des faits. C’est pourquoi le conte de fées ne met pas en place un cadre spatio-temporel réaliste. Tel est le sens de la formule initiale traditionnelle « il était une fois » que l’on trouve au début de notre conte et qui dispense le conteur de situer son histoire dans un cadre et à un moment situables dans le monde réel. Il est question de deux royaumes

Amorce] Dans la vie courante, l’expression « C’est du roman ! » signifie « Cela n’a rien de réel, c’est de la fantaisie ! ». Mais, dans la préface de son roman Pierre et Jean, Maupassant distingue plusieurs types de romanciers et, corollairement, de personnages : certains « transforme[nt] la vérité […] pour en tirer une aventure exceptionnelle » et mettent en scène des héros extraordinaires, d’autres font de leurs créations des êtres du quotidien et évitent « tout enchaînement d’événements qui paraîtrait

commentaire composé c'était sur l'univers fantastique il fallait décrire plus spécialement le décor et le paysage, ensuite décrire le héros fantastique, après le thème du double et après la folie et dire que quand Maupassant écrit il est toujours lucide Pour mieux comprendre le fantastique, il faut déjà le différencier du merveilleux. En effet, le fantastique fait irruption dans notre vie de tout les jours, ou les trolles, les fées et les dragons n’ont pas leur place, contrairement à l’univers

formule latine « Incipit liber... » ( le livre commence... ). L’extrait ne semble pas être fantastique. Il n’y a, en apparence, nul événement surnaturel. Ce texte se présente comme le journal intime d’un homme qui y exprime ses sentiments de bonheur, de satisfaction ( voyez les phrases exclamatives : « Quelle journée admirable ! », « Comme il faisait bon ce matin ! » ). Cet homme apparaît au centre d’un univers dont il est le centre. On remarque l’abondance des déterminants possessifs : « ma maison »

 On parle de fantastique en littérature dès lors qu’il y a irruption de l’irrationnel dans un cadre réaliste. C’est ce qui se produit dans Le Horla. Le Fantastique est un genre littéraire qui se développe au XIXe siècle. « le fantastique manifeste un scandale, une déchirure, une irruption insolite, presque insupportable dans le monde réel. » Ainsi, un texte fantastique se reconnaît par un début réel, où tout est logique et réel. Ensuite, un élément mystérieux fait son apparition, l’histoire plonge