Farabi

ayant repris et modifiés les relations établies par Aristote entre les différentes sciences, arrivèrent à situer précisément les mathématiques et s’efforcèrent de placer la médecine, non considérée par Aristote comme une science, mais comme un art. al-Fârâbi qui traduira Aristote fera une classification en distinguant cinq sciences principales. Ce dernier ne fera pas de place à la médecine tout comme Avicenne (pourtant médecin lui-même) qui la considérera comme une science dérivée de la physique. Ptolémée

Phédon par Henri Aristippe (Plato latinus, t. 2) * Le Parménide avec le commentaire de Guillaume de Moerbeke (après 1260) (Plato latinus, t. 3.) Le Plato Arabus (avec al-Farabi), regroupe : * une Synopsis du Timaeus attribuée à Galen, * le De Platonis Philosophia d'Al-Farabi * le traité d'Al-Farabi sur les Lois de Platon. Dans le cadre de ce projet, quelques autres études concernant l'histoire du platonisme ont été élaborées et publiées. Platon dans la philosophie analytique[modifier]

latinus, t. 1) Le Phédon par Henri Aristippe (Plato latinus, t. 2) Le Parménide avec le commentaire de Guillaume de Moerbeke (après 1260) (Plato latinus, t. 3.) Le Plato Arabus (avec al-Farabi), regroupe : une Synopsis du Timaeus attribuée à Galen, le De Platonis Philosophia d'Al-Farabi le traité d'Al-Farabi sur les Lois de Platon. Dans le cadre de ce projet, quelques autres études concernant l'histoire du platonisme ont été élaborées et publiées. Platon dans la philosophie analytique[modifier]

827 et crée la Maison de la sagesse en 832. Très rapidement, la philosophie grecque est introduite dans les milieux intellectuels persans et arabes. L'École péripatétique commence à avoir des représentants parmi eux : ce fut le cas d'Al-Kindi, d'Al-Farabi, d'Ibn Sina (Avicenne), et d'Ibn Rushd (Averroès). Ceux qui cherchaient par une démonstration philosophique à conforter et démontrer le bien-fondé de leur foi religieuse ont été recrutés par Hunayn ibn Ishaq, un arabe chrétien qui dirige la maison

groupes individualisés mais égaux. On a fait de Herder le chantre de la Nation, pour lui, le meilleur moyen pour qu’un peuple s’épanouisse, c’est l’Etat-nation. Herder se caractérise par son absence de préjugé envers les autres cultures. D/ Al Farabi (870-950) C’est un auteur qui se rapproche, d’un point de vue de la philosophie politique, des Lumières. Il était professeur à Bagdad et conseiller des Califes, dans une époque de redécouverte des philosophies antiques au moyen orient. Dans

constitutionnelles marocaines avaient souvent développé une certaine argumentation politique de la suprématie institutionnelle monarchique qui s’apparente étrangement, et à plus d’un titre, à la théorie de l’émanation des êtres du philosophe arabe Abu Nasr Al-Fàràbi. Selon cette théorie, « l'Être premier est la Cause première de l'existence de tous les êtres et se situe dans la perfection de l'être au rang le plus élevé » 3. Il est un, indivisible et de lui émanent tous les êtres4. Déjà en 1963, certains juristes

Personnage emblématique dans la culture musulmane, il évoque le mysticisme le plus soutenu. Al-Ghazali eut une formation philosophique très poussée, il écrivit un essai tentant de résumer la pensée des grands philosophes musulmans (Al-Kindi, Rhazès, Al-Farabi, Ibn-Sina...). Déçu dans sa recherche d'une vérité philosophique finale, il s'oriente vers un mysticisme profond refusant toute vérité aux philosophes et les accusant d'infidélité. Dans son ouvrage Tahafut al-Falasifa (L'incohérence des philosophes)

827 et crée la Maison de la sagesse en 832. Très rapidement, la philosophie grecque est introduite dans les milieux intellectuels persans et arabes. L'École péripatétique commence à avoir des représentants parmi eux : ce fut le cas d'Al-Kindi, d'Al-Farabi, d'Ibn Sina (Avicenne), et d'Ibn Rushd (Averroès). Ceux qui cherchaient par une démonstration philosophique à conforter et démontrer le bien-fondé de leur foi religieuse ont été recrutés par Hunayn ibn Ishaq, un arabe chrétien qui dirige la maison

827 et crée la Maison de la sagesse en 832. Très rapidement, la philosophie grecque est introduite dans les milieux intellectuels persans et arabes. L'École péripatétique commence à avoir des représentants parmi eux : ce fut le cas d'Al-Kindi, d'Al-Farabi, d'Ibn Sina (Avicenne), et d'Ibn Rushd (Averroès). Ceux qui cherchaient par une démonstration philosophique à conforter et démontrer le bien-fondé de leur foi religieuse ont été recrutés par Hunayn ibn Ishaq, un arabe chrétien qui dirige la maison

de connaitre et d’agir avec la vérité, il était le premier qui a tenté de concilier la philosophie et la religion. C’est le 1er qui a rédigé des ouvrages philosophiques. Il n’en pas le fondateur, il est le précurseur !! Le suivant que l’on appel Al-Farabi (mort en 950) était connu par les latins sous les noms d’Alfarabius ou Avennasar. Son surnom était « le second maitre », de la philosophie arabe. Le premier maitre, selon les philosophes arabes, c’est Aristote. Ce qui est important pour ce philosophe