Farabi

écrit 16 ouvrages d'astronomie. Parmi les autres astronomes significatifs, citons : Al-Battani (855–923), astronome et mathématicien ; Al-Hasib Al Misri (850–930), mathématicien égyptien ; Rhazès (864–930), médecin iranien ; Al-Farabi (872–950), grand philosophe et scientifique ; En Perse, Omar Khayyam (1048–1131), qui compile une série de tables et réforme le calendrier ; Al-Biruni, (973–1048), mathématicien, astronome, encyclopédiste, etc. ; al-Kashi (1380–1429)

auteurs grecs viendront dans une deuxième phase avec Aristote et d'autres auteurs. Ces échanges se font aux points de contact entre les deux civilisations : Égypte, Syrie, Espagne (Andalousie), Sicile. Les savants musulmans les plus marquants sont Al-Farabi (philosophe turc, 872-950), Avicenne (Ibn Sina, 980-1037), et Averroès (Ibn Rushd, 1126-1198). Les savants juifs jouent aussi un très grand rôle dans ces échanges, il faut citer le médecin Maïmonide. Sur la science musulmane : * philosophie

fera ressusciter. Les érudits lui préfèrent en effet la grammaire, où s'illustrent Aelius Donatus au ive siècle et Priscien, ou la logique qui « absorbe l'essentiel des sciences du langage »57 de l'époque. Dans le monde arabo-musulman, le philosophe Farabi a écrit des traités de rhétorique de tradition aristotélicienne58. La rhétorique ou ‘ilm al-balagha (« science de l'éloquence », de tradition essentiellement arabe mais aussi perse) se fonde essentiellement sur l'œuvre d'Al-Jahiz et le commentaire

des meilleurs auteurs grecs et arabes qui l’ont précédés, tels : • Al-Khawarizmi : 788-847, astronome et mathématicien de l’académie deBeit el Hikma de Bagdad, fondateur de l’algèbre ; • al Kindi : 801-866, philosophe, astronome et opticien ; • al Farabi : 874-950, philosophe néo-platonicien et musicien, auteur de « Traité des opinions des habitants de la Cité idéale» ; • Miskawayh : 932-1009, humaniste au service de la dynastie des Buydes, a traduit notamment « L’éthique de Nicomaque » d’Aristote

préoccupations de part et d'autre de la Méditerranée. Et lorsque Thomas d'Aquin tente à son tour et à sa manière de concilier la foi et la raison il est intellectuellement plus proche de ses « prédécesseurs » musulmans férus d'Aristote, comme Al-Kindi, Al-Farabi, Avicenne et, bien sûr, Arerroès, que des dignitaires de son Église. Le fait que Thomas ait combattu Averroës ou, plus exactement, qu'il se soit opposé à une interprétation latine de ce dernier selon laquelle foi et raison navigaient dans deux mondes

nouveau entre la Nature et la religion, entre la politique et la religion. Aristote = le Philosophe. Sa redécouverte a été possible par l’intermédiaire des penseurs arabes avec lesquels les occidentaux étaient en contact en Espagne. Al-Farabi, Avicenne et surtout Averroès. Averroès (1126-1198) a été surnommé « le commentateur», qui a redonné vie à la philosophe d’Aristote. Il défend l’idée que la philo et la loi divine s’éclairent mutuellement et se complètent. Ses textes sont

évite la fusion des états dans un système globale. Para 3 : Le fédéralisme et la gouvernance mondiale. La société internationale tend a l’intégration, a une société globale unifiée. L’un des précurseurs du fédéralisme, au 9e, s’appel Abu Nasr Al-Farabi, (872-950), il est le premier à conceptualiser l’idée selon laquelle les rapports de plus en plus étroits entre les nations vont les conduire à s’unir. Il distingue la société modèle et parfaite de vertu, se trouve non dans la cite des hommes ni dans

résidentiel, hôtelier et commercial, bureaux) et 61 les projets d'infrastructures sanitaires (une faculté de médecine et pharmacie, un CHU, un centre médico-légal, une direction régionale de la santé, outre la modernisation de l'hôpital Al Farabi). Les projets administratifs concernent l'aménagement du siège de la préfecture et la construction de ceux du conseil de la région et de la Régie de distribution d'eau et d'électricité. A cette kyrielle de chantiers, viendront s'ajouter de grands

vol. 2, pp 313-315, cité dans Puerta Vilchez, Historia del Pensamiento estético arabe, p. 708-709. 12 Maurice Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perception. (Paris, 1945). 13 Contrairement aux autres grands philosophes médiévaux tels que al-Farabi, Ibn Sina et même positiviste Ibn Rushd. 14 Voir la définition de «phénoménologie» dans Le Dictionnaire de Cambridge de philosophie (Cambridge, 1995), pp 578-79. Voir aussi Martin Heidegger Achetez avec Qu'est-CE qu'une choisi? (Paris, 1971) et

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