Farce Caractéristiques

en Grèce, puis Plaute et Térence, à Rome en sont les plus illustres représentants. • En France, la farce est particulièrement présente au Moyen Âge (xiiie -xvie siècle). Elle se donne alors en plein air, à l'occasion d'une fête. L'intrigue (généralement une grossière mystification) est très simple, le dénouement heureux et les personnages populaires. L'exemple le plus caractéristique est la Farce de Maître Pathelin. • La comédie s'est développée et complexifiée à partir de l'époque classique, avec

Angélique a déjà un amant : Cléante.Arguments : Comédie particulière car elle reprend les caractéristiques de la comédie en les combinant avec un sujet original : le faux malade qui devient le thème principal de la pièce.· Pas une simple série de farce mais un pièce riche en enseignement.· Facile à lire en prose, très drôle mais aussi émouvante.· Spectacle intégral par les ballets des intermèdes avec farce acrobaties et saynètes burlesques· Histoire entrainante on ne s’ennuie pas.· Personnages très

La dissertation sur œuvre :Le Malade imaginaire, Molière Rappel de la méthodologie (cf. cours sur mon site et Pronote)1.Compréhension et délimitation du sujet ; définition des termes reformulation de la problématique2.Recherche des idées, des arguments et des exemples – mobilisation de ses connaissances sur l’œuvre et le parcours. 3. Organisation des idées PLAN (thématique, analytique

énumèrent les organes en latin. Mais si on fait attention aux mots, on s’aperçoit que leur discours vise à expliquer qu’un organe en vaut bien un autre. Autant dire qu’ils ne savent rien et que leur confier sa santé relève de la folie. Le fils a la caractéristique d’être stupide et, ce qui est drôle, c’est que le père s’enorgueillit de cette stupidité : « les arbres tardifs sont ceux qui portent les meilleurs fruits », « il poursuit un raisonnement jusque dans les derniers recoins de la logique », acte

la réalité v 27 : « en grand danger d’être battue » - le terme de « farce » montre le ridicule → Morale implicite à travers l’humour - morale explicite à partir du vers 30 (2è partie) → On passe de l’anecdote à la réflexion philosophique à valeur générale - emploi de questions rhétoriques (v 30-31) → montrer au lecteur que tout le monde est concerné - énumération de différents personnages → Persos aux caractéristiques totalement opposées → Antithèse entre « sages » et « fous » → Globalité

traduit l'impression particulière que produit un texte sur la sensibilité du lecteur (tristesse, peur, étonnement, rire etc.). On retiendra ici 7 registres : tragique, épique, fantastique, pathétique, comique, lyrique et élégiaque. |REGISTRE & CARACTERISTIQUES |EFFETS |THÈMES |PROCÉDÉS |GENRES | |LE REGISTRE TRAGIQUE

plus se plaignent (l. 42 et suivantes, sc 3). Ils sont insultés par la maîtresse de maison (« tas d'Arabes »), et empoisonnés par leur hôte, père Ubu (l. 37, sc 3). L'hôte chasse ses invités comme des malpropres, comme le ferait un personnage de farce (l. 40-49, sc 3). > Volonté non-réaliste, scène nonvraisemblable. Le canevas politique de conjuration n'est qu'un prétexte à la parodie de la « scène de genre », bien connue par Jarry, fin connaisseur de l'histoire littéraire. De même, à la scène

textes théâtraux comportent souvent des adultères, des portent qui claquent, des amants dans le placard. La farce aussi, est un autre genre théâtral, qui a aussi pour but de faire rire mais qui souvent a des caractéristiques grossières. Elle présente des situations et des personnages ridicules où règnent tromperie et ruse. Nous pouvons citer Molière et Les Fourberies de Scapin qui est une farce traditionnelle. Dans Le Bourgeois-Gentilhomme, le personnage essaie de faire rire les nobles, au détriment

naturelles. Il fallait non pas cacher les ficelles, mais les rendre plus visibles encore, délibérément évidentes, aller à fond dans le grotesque, la caricature, au-delà de la pâle ironie des spirituelles comédies de salon. Pas de comédies de salon, mais la farce, la charge parodique extrême. Humour, oui, mais avec les moyens du burlesque. Un comique dur, sans finesse, excessif. Pas de comédies dramatiques, non plus. Mais revenir à l'insoutenable. Pousser tout au paroxysme, là où sont les sources du tragique

il met en scène, dans ce passage, M. Jourdain, un bourgeois qui se prend pour un noble, et qui est victime d’un subterfuge. La visée de cette scène est de faire rire à ses dépens pour dénoncer le snobisme de ce personnage. En effet, l’une des caractéristiques de la comédie consiste à corriger les mœurs par le rire (castigare ridendo mores). Le texte B est tragique : il s’agit d’un extrait d’Andromaque de Racine. Nous y retrouvons d’abord une situation d’essence tragique : Andromaque, prisonnière,