Farce Métaphysique

science existe. Dans De Coelo, il fait l'éloge des Eleates → Sans l'existence de nature mobiles, il ne peut y avoir connaissance ou savoir. La science du savoir immuable est le plus important des savoirs (Métaphysiques, Physiques, De Coelo, Topiques) → Idéal Platonicien de la science. Métaphysiques Aristote → Science première, architectonique, science qui est en elle même sa propre fin. Dans Éthique a Nicomaque, la phronésis est une vertu, une vertu importante, mais elle n'est pas la plus haute (la

fondements idéologiques du colonialisme et l’idée de conversion universelle des aborigènes au christianisme. Quelle était la religion de Voltaire ? Aujourd’hui on utilise le terme déisme pour la désigner. C’est une religion non dogmatique, non métaphysique, fondée sur les valeurs morales et quelques conceptions considérées comme généralement acceptables pour chacun de la planète. Dans ce système Dieu est plutôt un horloger, créateur de l’Univers qui intervient peu dans les affaires du monde. Dieu

ne sait pas exactement à quel moment se déroule l'histoire. Ce conte est philosophique car il présente la doctrine de l'auteur : celle de la terre, du retour à la réalité, du travail sur le réel et l'humain. Tout cela est bien loin des débats métaphysiques de ses contemporains. Rien n'est « merveilleux » chez Voltaire. Il a trouvé cette nouvelle forme littéraire pour exprimer des vérités pratiques, pour faire entendre une voix philosophique à d'autres qu'aux philosophes de métier. Dans Candide, l'auteur

- Le langage écrit. On peut réfléchir et critiquer une idée lorsqu’elle est sur papier. L’écrit permet l’hérédité de l’idée. 1.4. QUELLES SONT LES DISCIPLINES QUI CONSTITUENT LA PHILOSOPHIE ? La logique, l’éthique, l’esthétique, la métaphysique et l’anthropologie. 1. La logique = science de la pensée cohérente. Détermine le Vrai du Faux dans le langage. On cite le syllogisme, inventé par ARISTOTE (6ème ACN) qui est un raisonnement en 3 parties (généralité, particularité, conclusion)

une série de malheur afin de contredire cette philosophie, ramenant Candide à la raison pour Voltaire. Il finira par revenir de ses croyances optimistes, et se retirer modestement pour «cultiver son jardin », sans plus prétendre s'embarrasser de métaphysique car il n'y a pas de réponse.

tout ce qui touche à la divinité, et les agnostiques : ceux-ci préfèrent sagement refuser à se prononcer sur ce qui touche au divin, ils sont donc dans le doute et plus ouverts que les athées … Il y a donc un seuil étroit entre l’empirisme et la métaphysique (pitit schéma mignon, voir cours). Une lecture de la page 3 est conseillée ! C’est ici que les choses sérieuses commencent : « La seule raison ? » Jean Rostand, p7 Concernant ce texte, il n’y a qu’une chose à retenir : Jean Rostand est un parfait

fait, et celui du droit. Il va de soi que la conjonction de toutes ces difficultés ne nous autorise pas à traiter frontalement le problème de la définition de la vie, d'autant qu'elles nous entraînent aussi bien sur un terrain épistémologique que "métaphysique". Définir la vie (entendue comme "vivant"), c'est déterminer de façon exacte ce qu'est la vie, autrement dit déterminer sa nature ou son essence. Or, faire de la vie une substance à part entière, n'est-ce pas s'empêcher d'étudier la vie comme

lorsqu'elle aurait peut-être cessé de l'être, ou que j'aurais cessé de l'estimer telle. Descartes, Le Discours de la Méthode (quatrième partie) Je ne sais si je dois vous entretenir des premières méditations que j'y ai faites; car elles sont si métaphysiques et si peu communes, qu'elles ne seront peut-être pas au goût de tout le monde: et toutefois, afin qu'on puisse juger si les fondements que j'ai pris sont assez fermes, je me trouve en quelque façon contraint d'en parler. J'avais dès long-temps

c’est-à-dire celui qui n’a pas adopté la religion majoritaire.
dans sa version d’origine, le libertin est celui qui remet en cause les dogmes établis, c’est un libre penseur (ou libertin d’esprit) dans la mesure où il est affranchi, en particulier, de la métaphysique et de l’éthique religieuse (exemple : Dom Juan de Molière)
• le sens qui prévaut de nos jours se réfère au libertin de mœurs, c’est-à-dire celui qui s’adonne aux plaisirs charnels (voire à la sexualité de groupe) avec une liberté qui dépasse les

passée, éveillé de sa sclérose profane et se débarrassera des dernières scories de ses métaux pour mieux saisir la quintessence de son être. J’ai souvent lu le mot « dépersonnalisé », je ne crois pas qu’il soit juste… le FM tire son énergie métaphysique de sa capacité à se dégager de ce qu’il est et restera, de sa nature profonde. S’il y avait dépersonnalisation, il n’y aurait pas d’effort. Or sans l’effort la démarche maçonnique est vaine. Il semble que dans certains rites, c’est ce breuvage