Farce Métaphysique

monde ? Les cinq sens doivent faire l’objet de notre méfiance à leur égard. En effet, ils s’opposent à la raison car ils peuvent nous induire en erreur en nous faisant percevoir des « réalités » là où elles ne sont qu’illusions. Dans Méditations métaphysique, Descartes écrit : « j’ai quelques fois éprouvé que ces sens étaient trompeurs, et il est de la prudence de ne se fier jamais entièrement à ceux qui nous ont une fois trompé ». Nous pouvons être confrontés à ces illusions lorsqu’elles sont créées

Première idée : les biens sont selon Descartes, l’ensemble de ce qu’on possède ou qu’on est susceptible de posséder. Ceci impliquerai de penser que le souverain bien est lui-même la réunion de tous les biens provenant : « tant de l’âme que du corps et de la fortune » l.3. Mais ceci semble erroné selon lui car en réalité, le souverain bien de tout un chacun est en fait une envie de : « Bien faire »l.5 dans le but d’en ressentir son : « contentement » l.5 Deuxième idée : les biens du corps et de

qu’il ne considère pas la fin à poursuivre. Il vaut donc, non par son contenu (ce qu’il ordonne), mais par sa seule forme (l’obligation non conditionnée), qui est celle même de l’universalité, c’est-à-dire de la loi. Aussi les Fondements de la Métaphysique des m ?urs en donnent-ils une formule :"Agis uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle." 4. Hétéronomie et autonomie de la volonté La bonne volonté, ou volonté de faire

n'étant qu'une illusion. L'intuition centrale chez Parménide est que l'Etre est tout et que le non-être n'est même pas pensable. Tout cela a des conséquences tant qu'à la manière de comment penser ce qui est. Il est le père de la tradition métaphysique occidentale. Parménide et Héraclite sont contemporains et tentent de déduire logiquement les choses les unes des autres. Etre : -éternel: si l'être est c'est qu'il ne connait ni génération, ni destruction, autrement il n'est pas

le corps. La philosophie de Platon est une philosophie idéaliste (défend la prééminence du monde des idées - l’âme immatériel sur la réalité) (cette idée de séparation du corps et de l’âme se retrouve chez quelques pères de l’Eglise) 2) La métaphysique : une approche réaliste représentée par Aristote * Pythagore : le cerveau est le siège de l’intelligence et de la folie * Hippocrate : classe les troubles mentaux en relation avec les tempéraments sanguins (toutes les maladies sont physiques

La dissertation de 1770 Emmanuel Kant EUR 10,00 Disponible Ajouter au panier Présentation - Table des matières - Extrait Si la Dissertation de 1770 occupe une place particulière dans l’histoire de la pensée kantienne, ce n’est pas qu’elle anticipe sur la doctrine critique, comme on le dit souvent, mais c’est qu’elle est traversée par une tension de laquelle émergera le problème critique. Kant tente en effet d’y saisir ensemble différentes lignes de pensée constituées pendant la

de la prière consciencieusement effectué), mais cetteprière semble vaine («inaudible»). Les longs silences suggèrent que le dialogue est rompu avec un hypothétique dieu (signe de la dégradation de l’être en marche vers le néant ?). Le message métaphysique de Beckett est toutefois proposé avec distanciation : l’humour noir se mêle au pathétique. Beckett souligne avec ironie l’inconscience de Winnie, qui s’enfonce dans la terre mais reste optimiste (préoccupations simples, babioles, «journée divine»)

« candeur ». Pangloss : Pangloss est le précepteur de Candide. Voltaire en fait immédiatement un personnage hautement comique en disant de lui qu’il enseigne la « métaphysico-théologocosmolonigologie », un mélange de trois disciplines distinctes : la métaphysique, la théologie et la cosmologie qui, mises bout à bout, forment un résultat absurde, premier indice qui conduit le lecteur à penser que Pangloss a tout d’un nigaud. Voltaire se moque de la science, ou du moins de certaines disciplines, et ne manque

appeler la culture scientifique4 et que les travaux auxquels elles donnent lieu ne sont (heureusement !) pas soumis au même rythme d'obsolescence que les publications 4. Cf. Jean-René Ladmiral, « Pour une philosophie de la traduction », in Revue de métaphysique et de morale, n° 1/1989, p. 14 et passim. C'est tout un dossier sur La traduction philosophique que rassemble ce numéro. Au reste, on notera que je me suis efforcé d'indiquer, dans les notes de la présente préface, un bon nombre de ces numéros

voyons est elle réel ou somme nous bercé dans une illusion? Devons nous y croire? C'est à ces questions que nous allons réfléchir dans le corpus qui nous est proposé. Nous étudierons un extrait de l'œuvre philosophique de Descarte, Méditation métaphysiques, paru en 1641 ; un poème de Jack Vallée intitulé la vie est un songe; puis un extrait du site site web mythesetcinema, intitulé La matrice paru en 1641 et enfin un extrait d'un livre de Bertrand Russel intitulé, Problèmes de la philosophie, de