Faudrait Il Vivre Sans Passion

désordre et violence. La morale, en elle-même, s’efforce de soumettre les désirs et les passions sous le contrôle de la raison. Elle est soutenue par la détermination et la volonté. Le désir devint une passion lorsqu’il est sans limite. L’hubris ou démesure est le danger que représente tout désir non maitrisé. C’est pour cette raison qu’Aristote soutient que la vertu est dans le juste milieu entre deux passions extrême. Cette qualité est le courage qui est située entre la lâcheté et l’audace. Le

ce qui nous libère de l’inconscience. Elle dépend des sentiments, de se qui est ressentie. De cette manière, on peut être libéré d’une émotion négative telle que le stress ou l’inquiétude qui entrave la pensée mais pas le corps. On peut très bien vivre en croyant être maitre de sa vie alors que l’on vie dans l’inconscience. Un échec, une déception entrainera alors une remise en cause de ce qui semblait évident et la prise de conscience mènera à la recherche de la vérité. Cependant, la prise de

le bonheur ne représente qu’un risque car on ne sait pas où cela peut nous mener. Aussi pour Kant, pour avoir un concept idéal du bonheur, il faudrait tout savoir et tout prévoir mais c’est une chose impossible. “Il incapable de déterminer avec une entière certitude d'après quelque principe ce qui le rendrait véritablement heureux : pour cela il lui faudrait l'omniscience". On peut donc en conclure que l’homme ne peut accéder qu’au bonheur avec des règles car le bonheur est propre à chacun, et nous

entière, un bout de liberté n’est pas la liberté » une liberté limitée ou octroyé ne répond pas à la définition de liberté. Ainsi la liberté veut s’affranchir des lois que la société dans laquelle l’être humain évolue, elle pourrait alors le pousser à vivre en marge de la société, en autarcie replié sur lui-même se suffisant et en assouvissant tous ses besoins tels que se nourrir, se loger, s’habiller, s’aimer. Mais dans la société actuelle un Robinson Crusoé ne peut être envisageable car l’on a toujours

pour échanger avec les autres il faut un système de calcul, la monnaie, j’échange mon travail contre de l’argent et avec cet argent je vais acheter le fruit du travail de quelqu’un d’autre. Injustice liée à l’évaluation de la tâche, du salaire. Il faudrait que ça reste un moyen d’échange et pas une fin. Distinctions entre riches et pauvres. Quelqu’un qui désire s’enrichir est immoral, rien que le désir. Quand on recherche l’argent pour l’argent on va l’accumuler, on thésauriser l’argent, un argent

question de la valeur du désir. Le désir des uns n’est pas forcément le désir des autres. A cause de cela, les désirs peuvent créer des conflits. Mais, d’un autre côté, que serait une humanité sans désir ? Aurait-elle encore des motivations ? Pour vivre ne faut-il pas en avoir le désir ? On arrive donc à l’idée, le désir c’est la vie et la question de la valeur du désir c’est aussi une question de la valeur de la vie. I) Le désir comme expression d’un manque Pour répondre à la question :

nouveau, ont froid, serapprochent, se piquent… et ainsi de suite. Les hommes ont des relations enaccordéon, ils veulent s’éloigner, mais quand ils sont seuls ils veulent revenir vers lesautres. L’insociable sociabilité contribue, avec les trois passions principales, à faire de l’Histoire un champ de bataille. Nos ambitions vont se heurter aux ambitions des autres. Il y a des conflits pour desterritoires, car le nationalisme et les revendications des uns se heurtent au nationalisme et auxrevendications

parle de Philippe II qui aurait par décret promis de l’argent contre l’assassinat u prince d’Orange. Cela renverse les valeurs et est liberticide pour les gens car c’est les inciter à vivre immoralement. Pour un libéral comme Montesquieu, la loi à voir avec la morale. c) La liberté comme affranchissement des passions Enfin, la loi impose à l’homme une conduite. Il ne peut plus satisfaire intégralements ses désirs (comme montré précédemment → Calliclès). Néanmoins selon Socrate, la satisfaction

l’inquiétude, la souffrance et/ou le stress, est une chose trop abstraite pour l’homme qui, la plupart du temps, le poursuit de manière vaine (d’après la classification des désirs d’Epicure), en lui associant des critères de réussite sociale ( vivre une passion amoureuse, se marier, avoir des enfants, une maison, de la richesse, du prestige, de la reconnaissance, du pouvoir…). L’homme associe donc son bonheur à une certaine situation qu’il imagine avec précision, et dont la certitude qu’elle se réalise

Etat sans gouvernement nécessite certaines conditions, comme l'absence d'avarice ou la disparition de la propriété privée; et cela étant difficile, il semblerait avoir un besoin social de gouvernement pour éviter de se perdre dans l'insignifiant. Il faudrait d'abord définir qui exactement a besoin du gouvernement. Il y a la possibilité du besoin personnel de chacun, mais est il important ou bien le gouvernement n'est qu'une stricte nécessité pour assurer l'ordre ? Le premier point qui supposerait qu'il