Faudrait Il Vivre Sans Passion

livres, pour le protéger contre l'influence néfaste de la civilisation, en lui laissant la liberté pour qu’il se forme par sa propre expérience, la nature étant le meilleur précepteur pour qu'en dépit de la civilisation soit recréé un homme naturel : «Vivre est le métier que je lui veux apprendre». Résumé Livre I Il est consacré à la première enfance et aux toutes premières impressions et sensations. Jusqu’à l’âge de cinq ans, l'éducation consiste à empêcher «les préjugés, l'autorité

difficulté, on parle de plaisir durable. Comme on peut le voir dans le texte de René Descartes ils parlent d’âmes vulgaires et de grandes âmes. Les âmes vulgaires sont heureuses sans réfléchir car elle agisse sans réfléchir, elles s’en vont à leur passion sans réfléchir mais pour René Descartes ces personnes ne pourront jamais être heureuses. Contrairement aux grandes âmes qui ne peuvent être heureuses qu’en réfléchissant car elle ne pourrait jamais envisager de faire quelque choses sans y réfléchir

vrai du faux + bien du mal. Ainsi, rationalistes, comme Descartes ou Malebranche, estiment que raison corrige témoignage trompeur des sens et ls délires de imagination, combat ls préjugés et permet à l’H de se gouverner sans être aveuglé par ses passions . 3 prblm : Mais raison à t’elle tjrs raison ? Tout doit-t’il toujours être soumise à sa juridiction ? La question appelle une analyse critique des pouvoirs et de nature même ce que on appelle raison . 1) Le rationalisme : la raison à toujours raison

contrat. Vers les premiers siècles de notre ère, l’écriture donc la lecture était bien présente pourtant les gens vivaient bien sans .De nos jours, très peu de gens lisent même si la majorité sait le faire. Flaubert a écrit XIXème siècle « lisez pour vivre ». Mais est-ce une exagération ? Ne pourrions-nous pas être épanouis sans savoir lire ? Nous analyserons puis nous commenterons dans une première partie le rôle de la lecture jusqu’au XIXème siècle  puis finalement nous verrons comment ce rôle à évolué

son apparence. Si quelqu’un disait n’accorder foi qu’à ce qu’il voit, il se condamnerait donc à une connaissance partielle et pauvre, pour ne pas dire fausse, de la réalité. Il aurait une apparence de savoir mais pas un savoir réel. Enfin, il ne faudrait pas oublier que nous croyons souvent à tort avoir des perceptions qui n’ont pas eu lieu. Combien de rêves nous donnent l’illusion d’avoir réellement entendu, ou vu, ou touché des choses qui n’existaient que dans notre imagination ? Et dans la

Être, paraître, sembler, devenir, rester, passer pour, avoir l’air ; Bien des verbes différents, mais qui définissent si bien la vie, la vie en société plus particulièrement, ce qui m’amène à me demander : sommes-nous réellement faits pour vivre en société ? Lorsque je parle de vie en société, je pense aux relations qu’on entretient avec les autres au quotidien. Je ne parle pas au sens des lois ! La vie en société qui touche chacun d’entre nous, volontairement ou pas. La vie en société lorsqu’on

penchant au plaisir, qu'il lui est tout à fait impossible d'y résister quand se présentent l'objet aimé et l'occasion : si, devant la maison où il rencontre cette occasion, une potence était dressée pour l'y attacher aussitôt qu'il aurait satisfait sa passion, ne triompherait-il pas alors de son penchant ? On ne doit pas chercher longtemps ce qu'il répondrait. Mais demandez-lui si, dans le cas où son prince lui ordonnerait, en le menaçant d'une mort immédiate, de porter un faux témoignage contre un honnête

naturel et innée, dans quelle mesure aurions-nous besoin de lutter contre cette domination ? La philosophie d’Aristote affirme que certains hommes ne s’appartiendraient pas eux-mêmes, dans cette mesure, il aurait donc besoin de l’homme libre pour vivre, car sans lui ils seraient désemparés, sans faculté délibérative. Mais peut-on réellement affirmer que de tels hommes existent ? La situation d’esclave n’est-elle pas plutôt une situation voulue, plutôt qu’une situation innée ? 2-le choix d’obéir

serait détruite. - Il y a cependant une contradiction logique qu'implique notre réponse à la question.Si la liberté consiste à dire non, il faudrait donc répondre non à la question pour être libre mais dire non il ne faut pas dire non cela revient à dire oui. Si on répond oui à la question on affirme de façon contradictoire qu'il faudrait dire non. Il faudrait cependant préciser qu'elle est l'objet de la négation ou de l'affirmation c'est à dire oui ou non à qui ?, à quoi ? et dans quelles circonstances

fait de la recherche du plaisir un but dans la vie. Ce plaisir est mesuré comme le bien le plus important de l'existence humaine. L’hédonisme, c’est prendre une direction qui mène à la recherche constante du bonheur. C’est-à-dire vivre pour satisfaire ses passions, ses désirs et en avoir le plus possible. Car nos désirs proviennent de notre corps. On ne peut pas assouvir tous nos désirs mais on peut en avoir le plus possible pour mener une vie heureuse. Hegel est un philosophe l (1770-1831)