Fausse Promesse Kant

comme en mal. Même si celle-ci est susceptible de nous faire éprouver du remords ou de la «  mauvaise conscience  », elle fait pourtant notre dignité. La conception kantienne de la morale pose la question du devoir  : « Que dois-je faire? ». Kant énonce le principe de l’impératif catégorique qui se présenterait tel une loi universelle d’actions, guidée par des impératifs moraux. C’est ce qui détermine sa formule : « Agis de façon telle que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne

actions en bien comme en mal. Même si celle-ci est susceptible de nous faire éprouver du remords ou de la « mauvaise conscience », elle fait pourtant notre dignité. La conception kantienne de la morale pose la question du devoir : « Que dois-je faire? ». Kant énonce le principe de l’impératif catégorique qui se présenterait tel une loi universelle d’actions, guidée par des impératifs moraux. C’est ce qui détermine sa formule : « Agis de façon telle que tu traites l’humanité aussi bien dans ta personne que

qui dit que les volontés des parties dans un contrat sont toutes puissantes. A – Le mythe de l’autonomie de la volonté • La légende En 1804 le Code aurait consacré la théorie de l’autonomie de la volonté (développée par Kant). Cette théorie signifierait que ce sont les volontés privées accordées dans le contrat la règle à laquelle elles entendent se soumettre. Puisque c’est la volonté qui se tient à elle-même de loi, il est clair que les volontés des parties sont totalement

sociétés « modernes », sont celles qui s’efforcent (ou, peut-être, qui le prétendent) de reconnaître les « enseignements de l’expérience ». 9. Ce qui importe, ici, ce n’est pas principalement leur « valeur de vérité » (savoir si elles sont vraies ou fausses de fait), mais c’est leur « valeur épistémologique », c’est-à-dire la manière dont elles sont établies, la maîtrise et la clarté de la représentation que l’on en a, et, ainsi, la portée qu’on peut leur attribuer en toute lucidité et en toute sûreté

d’inconscient – ou, plus exactement, de ses antécédents philosophiques depuis le début du XVIIe  siècle. Vaste voyage dans le temps, avec visite obligatoire de quelques monuments qui ont pour nom Descartes, Pascal, Malebranche, Spinoza, Leibniz, Hume, Kant, Fichte, Schelling, Schopenhauer, Nietzsche, Husserl, MerleauPonty et Heidegger. La question du sujet Ce n’est pas le genre de balade qu’on fait en un week-end, fleur à la boutonnière et Guide vert sous le bras. Mais, pourvu qu’il dispose

avec succès le test de la réfutabilité, c'est-à-dire de la falsifiabilité. Une théorie est alors scientifique dans ce cas, non pas parce qu’elle a été vérifiée, mais parce qu’elle n’est pas fausse, et donc parce qu’elle n’est pas encore fausse. Mais elle peut devenir fausse, et c’est parce qu’elle peut devenir fausse qu’elle est scientifique. La scientificité ne repose donc pas sur sa vérifiabilité empirique, mais sur sa réfutabilité et sa falsifiabilité empirique. Exemple du Marxisme : Tous les changements

chose, dans le second cas embellie, affinée, “sublimée”, même si tous les médecins l’affirment et même si ce fut là l’idée de Kant et de Schopenhauer. Avant d’en venir aux raisons pour lesquelles il convient de faire à mon avis une séparation nette entre les deux, je voudrais dire ceci. L’opinion de Kant en cette matière ne saurait être retenue, pour la raison bien simple que Kant a ignoré l’amour aussi bien que l’instinct sexuel, à un point où peut-être aucun homme ne l’a fait avant et après lui. Il

sociétés « modernes », sont celles qui s’efforcent (ou, peut-être, qui le prétendent) de reconnaître les « enseignements de l’expérience ». 9. Ce qui importe, ici, ce n’est pas principalement leur « valeur de vérité » (savoir si elles sont vraies ou fausses de fait), mais c’est leur « valeur épistémologique », c’est-à-dire la manière dont elles sont établies, la maîtrise et la clarté de la représentation que l’on en a, et, ainsi, la portée qu’on peut leur attribuer en toute lucidité et en toute sûreté

peut la penser par son but, mais on le doit ! 1. On ne peut se contenter du triste “spectacle de l’histoire” ( qui l’objet d’étude de l’historien) , “une cohue bigarrée” selon Hegel qui semble n’être qu’un “cours insensé”, “tissu de folies” selon Kant, une “épopée démente” selon Cioran. Ce spectacle devrait être celui de la perfectibilité et de la liberté humaine, et on n’y voit que l’absence de rationalité ou même la rationalité au service du mal, la répétition ( même si ce n’est pas au strict

commencement du XIXème se situe en 1789, et que sa fin est en 1914. Pour lui, royaliste, l’idée que la Révolution, et donc l'avènement de la liberté et de l'égalité, a marqué le point de départ d'une période de bien et de progrès dans tous les domaines, est fausse. Mais ceux pour qui c'était vrai prennent le même point de départ: 1789. On note au passage son ingratitude dans la dénonciation de la République, en effet la violence de ses attaques est due à un des grands acquis du XIXème: la liberté de la presse