Faut Il Augmenter Les Prelevements Obligatoires

les personnes ne souhaitent pas travailler aux conditions du marché du travail. ➢ L’Etat intervient trop ce qui nécessite des dépenses (Etat dispendieux) d’où une obligation pour l’Etat d’augmenter ses recettes (prélèvements obligatoires et impôts) : ➢ Hausse des prélèvements obligatoires => Hausse des coûts de production => Baisse de la marge des entreprises => Baisse des bénéfices => Baisse de l’investissement => Baisse de l’emploi. ➢ Hausse des coûts de production => Hausse du prix => entreprise

comme absolument juste", avait dit le chef de l'Etat, qui avait émis l'hypothèse d'un "prélèvement spécifique pour une catégorie de la population". Que "les revenus financiers des entreprises soient mis à contribution" est une des solutions portées par la CGT, comme le développait récemment Eric Aubin, membre de la direction confédérale de la CGT, dans un chat au Monde.fr PAS DE HAUSSE DES PRÉLÈVEMENTS OBLIGATOIRES Il a par ailleurs redit que deux solutions ne lui paraissaient pas souhaitables

diminution des impôts Marie ? Marie : Non. Je me demande même en quoi cette volonté est justifiée. En effet, elle n'était pas aussi présente lorsque les prélèvements obligatoires représentaient 45% du PIB total de la France en 2001. Rapelons qu'aujourd'hui ils n'en représente que 43.8%. Et pour revenir brièvement au sujet précèdent, les prélèvements fiscaux représentaient 23.1% du PIB français en 2001 alors qu'ils n'en représentaient que 22% à la fin de 2006. On peut donc remarquer l'allègement

comportement, la propension marginal à consommer c= dC /dR ou dC/dR >0 2. L’investissement, la fonction d’investissement L’investissement global est une fonction décroissante du taux d’intérêt. Lorsque le taux d’intérêt diminue l’investissement augment et inversement. I=i(r) I=f(r) I’(r)=dI/dr <0 Taux marginal d’investissement I=-br+Io b>0 -b=dI/dr<0 3. Les équations de IS Y=c Y+Co –br+ Io Y-cY=-br+Io+Co Y=-kbr + k (Io + Co) Equation de IS Exemple : I=-br+Io=-2500r+300

providence favorable au développement de la croissance économique A travers les prélèvements obligatoires et les cotisations sociales, qui contribuent au développement des infrastructures publiques ou qui soutiennent l’initiative privée, l’Etat joue son rôle de « Welfare state » ; un rôle renforcé par la politique de relance économique dont ce dernier dispose par l’intermédiaire des dépenses publiques. a/Les prélèvements obligatoires et les cotisations sociales contribuent au développement des infrastructures

2010 Rapport sur les prélèvements obligatoires et leur évolution TABLE DES MATIÈRES Introduction ................................................................................................................................................................................................................... 5 Les prélèvements obligatoires en 2008 et leur évolution ............................................................. 7 Les prélèvements obligatoires en 2009, 2010 et 2011 .

Rareté : elle signifie que les ressources sont limitées alors que les besoins sont illimités, il faut donc faire des choix. Entre deux possibilités les individus choisissent celles qui leur apportent la plus grande utilité.   Utilité : c'est le niveau de satisfaction atteint par un individu grâce à sa consommation totale.   Utilité marginale : c'est la satisfaction obtenue par la consommation d'une unité supplémentaire.   Les Prix : *le prix d'équilibre : c'est le prix pur lequel l'offre

défaillances. Ce faisant, elle remplit alors trois grandes fonctions à savoir la fonction d’allocation des ressources, de répartition et de stabilisation (I). Les interventions de la puissance publique vont être en grande partie financées par les prélèvements obligatoires qui constituent la majorité de son budget (II). Si les marchés peuvent être défaillants, ils peuvent également être en déséquilibre. On retrouve alors l’idée de déséquilibres macroéconomiques abordée dans le chapitre 1. Il s’agira alors de

et qui viennent en déduction. En 2004, les 25% les plus riches des Français possédaient un patrimoine supérieur à 258 663 euros. Tandis que les 25% les plus pauvres possédaient un patrimoine de moins de 10520 euros. L'écart a considérablement augmenté depuis le début des années 1990 puisque le rapport interdécile est passé d'environ 16.5 à 24.6. En 2004, les 10% les plus riches des français possèdent 45% de l'ensemble du patrimoine. III. Les objectifs et instruments de la redistribution

Centralité (Keynes) : au centre de l’économie. Effet multiplicateur : a des effets sur plusieurs secteurs Loi de Say : « l’offre crée sa propre demande » (loi des débouchés) : suppose qu’il n’y a pas de problème de débouchés. Pour Keynes, il faut anticiper la demande : loi des débouchés impossible. Psychologie individuelle : entrepreneur novateur. Chez Keynes : Anticipation de la demande : incertitude. Capacité de production existante : taux d’utilisation. Rendement financier escompté