Faut Il Obéir Aux Lois

l'évasion après avoir dialogué avec les lois qui lui étaient apparues en songe.  Dans ce travail, on doit répondre à une problématique qui consiste à savoir, est-il juste ou injuste l’acte de l’évasion de Socrate de la prison pour éviter une mort certaine? Dans un premier temps, nous exposons les arguments de Criton pour convaincre Socrate de s’enfuir de la prison. Ensuite, nous démontrons la réponse de Socrate qui rappelle l’importance qu’il ne faut jamais répondre à l'injustice par l'injustice

de force, de domination, il faut instaurer des règles et des lois, l’ajout de ces dernières et ainsi une bonne chose afin de protéger notre liberté. Par exemple Sartre illustre très bien mon propos en disant « Nous n’avions jamais était aussi libre que sous l’occupation allemande » Ainsi ce que Sartre veut nous dire est que notre liberté existe lorsque nous sommes amenés à faire des choix, lorsque nous sommes face à la contrainte.Deuxièmement, le fait d’obéir à des lois, à des règles ne veut pas forcément

nous nous sentons libre lorsque personne ne nous commande. Si nous devons obéir, nous avons le sentiment de ne plus agir à notre guise, de ne plus être vraimetn libre. Ces idées paraissent évidentes. Peut-on pourtant les accepter sans examen? Peut-on simplement opposer liberté et obéissance? Obéir, est-ce réellement et nécessairement renoncer à être libre? Avant de répondre à cette question, pour mieux la comprendre, il faut en étudier les concepts principaux. Qu'est-ce qu'obéir? C'est essentiellement

d’autrui à la nôtre. Quiconque est maître ne peut être libre, et régner c’est obéir. Il n’y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu’un est au-dessus des lois : dans l’état même de nature l’homme n’est libre qu’à la faveur de la loi naturelle qui commande à tous. Un peuple libre obéit, mais il ne sert pas ; il a des chefs et non pas des maîtres ; il obéit aux lois, mais il n’obéit qu’aux lois et c’est par la force des lois qu’il n’obéit pas aux hommes. Toutes les barrières qu’on donne dans les

Nous allons donc définir les termes du dujet somme « être libre » ce qui renvoie à la liberté, ce qui exprime l'autonomie, l'indépendance, le choix et le pouvoir de l'homme. « Obéir » signigfie se soumettre, c'est-à-dire respecter des règles, des obligations, des devoirs et des lois. « A rien » c'est-à-dire ne pas obéir aux règles, à la morale de notre société. Il est important de tenter d'y répondre car si nous sommes libres de tout faire nous pouvons tout simplement décider de retirer la liberté

ENTRE LOIS NATURELLES ET RELIGION Compatibilité ou contradiction PLAN : Introduction 1. La liberté 1. Les lois naturelles 2. Rapport entre lois et Écriture Sainte 2. La Religion 1. La conception de Dieu 1. L’honneur du divin 1. Le culte 2. La prière 2. La conception de la religion chrétienne 1. L’église 2. Le pardon Conclusion

L’homme est-il un être totalement libre ? La liberté fait-elle partie de l’homme depuis son existence ? Ou bien s’acquiert-elle ? Pour que l’homme soit un être libre, il faut qu’il ait une totale conscience de soi-même. Être libre, ce n’est pas quelque chose d’inné, c’est quelque chose qu’il faut avoir, gagner. Pour le philosophe Hegel, l’homme grec est moins libre qu’un homme de notre sa société. Pourquoi ? Car ces hommes avaient une idée incomplète de la définition de la liberté

l'égalité des pouvoirs et la loi est là pour faire régner la justice. Mais, ces lois sont elles toujours justes ? Qu'est ce qui nous permet de le dire ? Sur quoi nous reposons nous pour l'affirmer ? Quelles sont ces conditions ? Nous verrons dans un premier temps ce qui fait qu'une loi est juste. Cependant, nous verrons qu'elle peut parfois être injuste. Enfin, nous nous demanderons s'il suffit , pour être juste , d'obéir aux lois. I - Une loi est juste 1) Par convention En principe, les gens, par

c'est pouvoir faire tout ce dont j'ai envie, alors je ne suis libre que quand je peux faire tout ce que je peux faire, et c'est pourquoi l'obéissance à autre chose qu'à notre propre volonté nous apparaît toujours comme un obstacle : l'essence des lois et des règles, c'est justement de m'interdire de faire ce que j'ai pourtant la possibilité de faire. « Je fais ce que je veux ! » Oui certes, mais est-ce moi, qui veux ce que je veux ? Suis-je libre, autrement dit, de décider de mes envies, de mes

déduire que dans la nature il n’y a pas de droit. On a donc un produit purement humain et non naturel. Le problème avec l’Homme, avec nous, c’est qu’on est en société depuis tellement longtemps que presque instinctivement on va se mettre à faire des lois, des règles, bref, du droit. Pour Aristote, on est des êtres vivants politique, le cadre juridique est notre norme, c’est ce qui fait qu’on a un mode de vie normal. Mais qu’est-ce que ça veut dire ? C’est simple : la nature humaine c’est de vivre en