Faut Il Obéir Aux Lois

Spinoza. A/ COMPREHENSION : 1. Pour Spinoza, le droit naturel d’un individu se fait par la puissance de cet être, c’est-à-dire le potentiel d’un être, sa force active sur le plan physique, ou son intelligence. L’homme agirait selon les lois de la nature, chacun à son propre comportement. Si l’un est doté de raison comme le dit Spinoza et qu’un autre n’est qu’ignorant, ceci est dû à la nature et ils agissent selon un droit naturel. Par conséquent chaque être existant dans la nature possède

lui-même : « Je suis libre, écrit Épictète, et ami de Dieu, afin de lui obéir volontairement et de bon gré : et il me faut ne m'incliner devant personne ni ne céder à aucun événement. » Et de quel Dieu s'agit-il ? De la « Loi naturelle », « la raison souveraine et innée qui nous commande ce que nous avons à faire […], la véritable loi… conforme à l'ordre, qui est diffuse et la même chez tous les hommes. » (Cicéron, Des lois). L'obéissance à soi-même est donc bien à la fois condition d'affranchissement

vérifier sa validité → MILGRAM applique cette méthode aux phénomènes des camps, mais comme il ne peut pas la refaire dans les mêmes conditions, il trouve une solution similaire qui met également en situation un individu soumit à une autorité préférant obéir que d’écouter sa conscience morale. → Questionnaire et électrocution en cas d’erreur de complices. → Il se rend compte à sa grande surprise, que peu des cobayes ont des scrupules quant à électrocuter en cas d’erreur, et suivent les règles établies

des exigences morales, ou la stabilité de l'État, la politique, sont-elles des fins en soi ? Faut-il chercher l’ordre et pouvoir le faire régner par tous les moyens possibles ? Si on considère qu'un État légitime se donne pour fin la coexistence de la liberté extérieure des citoyens, l'État ne doivent pas se préoccuper directement de la morale, c'est-à-dire des intentions qui nous font agir ou obéir aux lois de plus, si le droit et la morale étaient équivalents, on pourrait toujours dire qu'on a volé

I. Premièrement , l’obéissance est inéluctable. En effet dès le plus jeune âge , l’enfant n’étant pas suffisamment mature ,est encadré par ses parents. Ses parents lui apprennent à obéir . Il en est de même pour l’école, dans la relation maître-disciple , le maître apprend à l’élève à respecter des règles. Le corps de ce dernier doit répondre aux attentes du professeur , on pourrait parler de « dressage de corps «  . Il est vrai que l’élève se doit de se tenir droit sur sa chaise, se taire , ne

des causes qui nous déterminent à agir : « La sensation fallacieuse de liberté s`exprime du fait que ce qui conditionne notre action est généralement du domaine de l`inconscient, et que par contre le discours est, lui, du domaine du conscient1.» Il faut reconnaitre qu`on ne repère qu`aucune comparaison entre les réponses de ces deux esprits. C’est ce qui provoque en effet une vive controverse entre ses deux grands esprits sur le terme de la liberté. Premièrement, selon Jean Paul Sartre, l`existence

Respecter : traiter avec considération, estimer OU ne pas porter atteinte à, obéir à une loi Est-ce : – peut concerner le but, la raison du combat (on combattrait l’injustice au nom du droit, pour le droit ) OU la modalité du combat ( on combattrait l’injustice en respectant le droit, par le droit) - si c’est au nom du droit qu’on combat l’injustice, c’est en faisant quoi ? désobéir est-ce la seule solution ? L’injustice : ce qui est contraire à la justice, au sens de loi positive

placés que nous pour décider, à notre place, de notre bien. En obéissant nous agissons conformément au devoir (nous agissons par crainte d’une punition ou pour faire plaisir à notre entourage et en être récompensé par exemple), mais pas par devoir. Or obéir n’est pas une vertu (disposition réfléchie et volontaire à faire le bien), ce n’est pas accomplir son devoir moral. En effet, l’apprentissage du devoir par les parents ne doit pas préparer l’enfant à se soumettre à une autorité extérieure, mais a pour

imposent des actions permises ou défendues ; ces règles proviennent de la morale que les individus s’obligent à adopter par pure conviction religieuse ou par simple respect de devoir et de nécessité. De plus vient s’ajouter la justice, qui impose des lois à tous les individus, dans le but de cadrer les rapports entre les membres d'une société, et si elles ne sont pas respectées, il en résulte des sanctions. De se fait, l’exigence d’être heureux pour l’homme parait peut probable à satisfaire. On

une transcendance → extérieur à l'homme. Mais les remords de ne pas avoir accompli son devoir = le signe de cette présence en nous de la conscience du bien et du mal. Rousseau considère le devoir comme un instinct. Les lois de la nature (determinisme) → inviolable Lois humaines (raison) → l'homme peut les violer L'IMPERATIF CATEGORIQUE de Kant « je dois me conduire de telle sorte que je puisse aussi vouloir que ma maxime devienne une loi universelle » une loi universelle applicable en