Faut Il Renoncer Nature Humaine

d'institution humaine, tout homme peut à son gré disposer de ce qu'il possède. Mais il n'en est pas de même des dons essentiels de la nature, tels que la vie et la liberté, dont il est permis à chacun de jouir, et dont il est moins douteux qu'on ait droit de se dépouiller : en s'ôtant l'un on dégrade son être, en s'ôtant l'autre on l'anéantit autant qu'il est en soi (3) ; et, comme nul bien temporel (4) ne peut d d m a e é o mgr de l'une et de l'autre, ce serait offenser à la fois la nature et la raison

mais est en confrontation avec lui même : il agit en tant que roi mais sait bien que ce n’est pas sa place. Importance du hasard : La possession de richesse résulte aussi de multiples hasards (« vous n’y avez aucun droit de vous-même et par votre nature »). On ne se trouve au monde que du fait d’une infinité de hasards (naissance dépend de mariages, nés eux-mêmes de rencontres dues au hasard). On dit que ses richesses proviennent de ses ancêtres, mais c’est par milles hasards que ceux-ci les ont

Avons nous raison de renoncer a nos croyances? La croyance c'est une certitude sans preuve. Ceci expliquant le monde à travers un point de vue et non par un regard objectif, la philosophie. Ce dernier étant nécessaire pour le bon fonctionnement de la cité. Notre raison se présent comme une réflexion plus adaptée et évoluée que la croyance ou la foi. Alors, une question peut se poser: "Avons-nous raison de renoncer a nos croyances? " En autres termes, est-ce que notre raison essaie-t-elle d'entièrement

a. L'homme est caractérisé (du fait de sa conscience et de sa liberté) par une capacité constante de transformer le monde et le réel. Sa seule nature profonde est de pouvoir modifier sa nature (cf. Sartre, l'existentialisme.) Si tel n'était pas le cas, le sujet ne serait qu'animal ou objet. On ne saurait restreindre cette caractéristique de l'être humain. En conséquence, l'homme peut bien vouloir l'impossible, et le doit, même. b. Vouloir un autre monde, une autre réalité, telle est la puissance

musulman, chrétien, juif, hindou ou bouddhiste, nous sommes tous, d’abord et avant tout, des êtres humains partageant différentes valeurs et opinions mais dépendant tous du bon fonctionnement de la société dans laquelle nous vivons. Nous devons, tous et chacun, contribuer à créer et à maintenir une paix universelle malgré la diversité des peuples, des races, des cultures et des traditions religieuses humaines. De ce fait, très souvent, on remarque l’énorme distance existant entre les masses religieuses

peste (Camus) Le roman se divise en 5 parties : la structure de la tragédie. La 1° partie révèle la difficulté de nommer le mal qui s’attaque d’abord aux rats et qui par ce fait, cache sa véritable nature. C’est aussi une exposition : présentation des principaux personnages, du lieu, de l’action, de la nature du livre. Enfin, le lecteur découvre un narrateur tenant la chronique d’événements s’étant produits à Oran en 194… Le dénouement amène l’espoir car la peste se retire mais cette disparition

droit. La justice objective ou légale renvoie à la stricte obéissance aux lois. La justice morale désigne une attitude humaine vis-à-vis des autres. La loi permet de faire régner l’égalité entre les hommes car celle-ci est voté par tous et pour tous. Ainsi, la loi permet de réguler les rapports sociaux. En cas de litige, la loi s’impose par sa neutralité et son impartialité. On renonce à sa liberté naturelle de faire tout ce qu’on veut, c'est une liberté limitée par la loi où l’on se heurte toujours

Le communisme imaginé par Marx est la forme la plus récente de ce rêve. Ce rêve est toujours demeuré vain, comme tous les rêves, ou, s'il a pu consoler, ce n'est que comme un opium ; il est temps de renoncer a rêver la liberté, et de se décider à la concevoir. C'est la liberté parfaite qu'il faut s'efforcer de se représenter clairement, non pas dans l'espoir d'y atteindre, mais dans l'espoir d'atteindre une liberté moins imparfaite que n'est notre condition actuelle ; car le meilleur n'est concevable

destinée à subir. Mais on ne tarde pas à s'apercevoir que la valeur de semblable investigation est diminuée dès l'abord par divers facteurs, surtout par le fait qu'il n'existe que peu de personnes capables d'avoir une vue d'ensemble de l'activité humaine dans tous ses domaines. La plupart des hommes se sont vus contraints de se limiter à un seul de ces domaines ou à bien peu d'entre eux ; et moins nous connaissons du passé et du présent, plus notre jugement sur le futur est forcément incertain. De

Introduction La liberté… Quel joli mot ! La liberté est un idéal. C'est justement parce qu'il nous plaît tant qu'il faut s'en méfier : LIBERTÉ : c’est un de ces détestables mots qui ont plus de valeur que de sens ; qui chantent plus qu’ils ne parlent ; qui demandent plus qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est barbouillée de Théologie, de Métaphysique, de Morale et de Politique ; mots très bons pour la controverse, la dialectique, l’éloquence