Faut Il Se Mefier De La Science

l’expérience humaine est précisément lié à cette réflexion sur les événements. On en dégage des schémas habituels où tel type d’événement précède tel autre type d’événement. L’expérience serait donc viscéralement liée à une démarche inductive. Cependant en science explorer le monde empirique implique des théories déductives. Les mathématiques ne sont-elles pas des fictions cohérentes obéissant à des règles logiques a priori sans rapport semble-t-il à l’expérience ? Le point de vue empiriste pour subsister devra

est en accord avec sa façon de penser : « Voilà comment il se faut garder de s’attacher aux opinions vulgaires, et les faut juger par la voie de la raison, non par la voix commune » (L. 8-10). Donc, en s’identifiant avec la Pyrrhus, Montaigne donne directement sa pensée et sa façon de juger. L’identification est renforcée par la pensée qu’il présente dès le début, à savoir qu’il faut se méfier des apparences, c’est-à-dire qu’il faut appliquer la raison pour juger et non pas écouter ce que disent

monde qui se réfléchit dans la subjectivité. Il y a un mélange de réceptivité et spontanéité. Par cela le monde acquiert une couche de signification jugé par nos émotions. Expérience : dans le domaine scientifique on a ce caractère mixte car il faut observer, avoir un sens des faits. Observations, mais les faits doivent être interrogés, il y a une hypothèse. Einstein : aucun chemin conduit de l’hypothèse à l'observation des faits *Kant « critique de la raison pur » : le savant n'est pas face

de travail immense. Il revoit inlassablement ses Essais et des nombreuses corrections ont lieu. Il accumule les citations latine (1300 environ au total) pour prouver son érudition, même si il sait ne pas s'en vanter. "la philosophie est la science qui nous apprend à vivre" dit Montaigne lorsqu'il veut parler du mouvement de la pensée vivante lorsqu'elle se confronte à l'essentiel (mort, amour, amitié, éducation, solitude, expérience) et à soi. C'est l'apprentissage de la sagesse. La philosophie

peu à peu le monde extérieur. Quoi qu’il en soit, les machines ne laissent personne indifférent. La peur des machines est-elle justifiée ? On emploi le terme redouter pour désigner une grande crainte. Alors on se pose la question de savoir s’il faut redouter les machines. Une dissertation en trois parties permettra de répondre à cette problématique. Elle permettra de démêler les inquiétudes sensées des angoisses infondées Pour cela, elle commencera tout d’abord en abordant le rôle bénéfique des

a des classes sociales et la classe dominante a le pouvoir, non seulement économique et politique, mais a aussi valorisé certaines pratiques culturelles. Ils ont construit des académies pour s'approprier la culture et affirmer leur suprématie. Il faut dominer le peuple intellectuellement. C'est pour cela qu'on été créés tous les concours, pour les arts notamment. Napoléon en pondait un tous les jours. Le pouvoir se transforme en maitre souverain des arts. Napoléon en 1800 demande à un membre de

de l’information, ont évolué. Ils peuvent non seulement diffuser de l’information, mais aussi la masquer, ou la modifier. Il faut donc se méfier ! Les médias ont une présence telle qu’on pourrait le comparer à un membre de notre famille, mais il ne faut pas lui faire confiance, comme s’il s’agissait d’un individu à part entière. L’information est diffusée en masse, et il faut savoir la sélectionner. Attention à vous ! 1. Jusqu’où peut aller le pouvoir des médias ? On les nomme le 4°

L’Histoire Une science humaine L’histoire, du grec istoria : enquête, dans son sens usuel rassemble toutes les connaissances relatives au passé de l’humanité. Cette discipline s’apparente à une science par sa rigueur et son exigence de vérité. Mais si l’histoire est une science, ce n’est pas une science exacte mais une « science humaine », c’est-à-dire une science dont l’objet est l’homme. Or le comportement des hommes ne peut être étudié ni rapporté comme ceux d’une planète ou d’une molécule de

comprendre. L’expérimentation, quant à elle, recrée artificiellement des conditions d’expériences afin de tester des hypothèses. On pourrait penser que la science devrait se borner à constater ou établir des faits, en laissant parler les phénomènes. Bachelard s’oppose à cette idée : face à la nature, la raison ne saurait rester passive ; elle doit se méfier. Ce ne sont jamais les réponses les plus immédiates qui sont les bonnes. La pensée est une sorte de combat, contre les apparences, contre les données

Ce que je suis dépend-il de ma liberté ? La liberté est un idéal pour les hommes, mais il faut s'en méfier. A première vue, la liberté est le fait de faire ce que l'on veut sans contraintes, on peut donc parler de liberté d'agir. La liberté désigne « l'absence d'opposition » pour Thomas Hobbes. C'est donc ne pas être empêché de faire ce que l'on veut et ce que l'on peut faire. Pour être libre il faut donc soit briser les murs qui nous privent de liberté ou bien les contourner. Rapportons nous